AccueilAccueil  RechercherRechercher  MembresMembres  Dernières imagesDernières images  S'enregistrerS'enregistrer  ConnexionConnexion  
INFORMATION IMPORTANTE
FERMETURE DU FORUM
Annonces
FERMETURE DU FORUM
INFORMATION IMPORTANTE
FERMETURE DU FORUM
Le Deal du moment : -21%
LEGO® Icons 10329 Les Plantes Miniatures, ...
Voir le deal
39.59 €

Partagez
 

 Respect is not worth submission. <gellert> +18

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas 
AuteurMessage
Perseus Parkinson
sans camp
Perseus Parkinson
face claim : Jason Momoa
pseudo : kellyian
Respect is not worth submission. <gellert> +18  200726080531619932
particularité : waouf.
Respect is not worth submission. <gellert> +18  Empty
Message (ϟϟ) Sujet: Respect is not worth submission. <gellert> +18    Respect is not worth submission. <gellert> +18  EmptyLun 8 Juin - 1:17

Lumière dans la nuit noire.
Telle une ombre, il passe les portes du manoir endormi, traverse les pièces les unes après les autres et les livre à la noirceur de la lune. Il renifle, sentant encore l’odeur du tabac chaud planant dans les airs. Odeur désagréable mais familière, qu’il identifie depuis son arrivée dans les entrailles du manoir Grindelwald, à son maître. Désespoir et désinvolture, il regard les verres d’alcool de ci et de là, et sent l’amertume l’envahir de nouveau. Rictus aux lèvres, l’envie de broyer quelque chose de ses crocs perle sur sa langue. Il grogne tout bas, l’animal, avant d’emprunter les marches. Mémoire auditive et du corps, la bête se faufile sans mal à l’étage sans faire craquer le bois de la demeure. Instinct de prédateur toujours présent et guide le moindre de ses faits et gestes, jusqu’à sa respiration, les silences et les arrêts.
Sa langue glisse sur ses lippes, capturant le parfum et le goût de l’humain qui plane dans les airs. La faim est factice, lui qui est repu depuis quelques jours et a goûté aussi la chair défendue de la femme. Les pensées assassines et les intentions drastiques, il ne tarde pas à se glisser dans la chambre du maître profondément endormi. trop profondément endormi, il est bien là le problème.

Silencieux, il endosse le costume de l’ange protecteur, l’ange animé d’un désir acide et vengeur. Animal territorial, il joue encore avec les limites d’autrefois et aujourd’hui. Animal joueur, il joue encore avec les limites de cet homme qui autrefois était autre chose qu’un maître.
Silencieux, il attrape le sureau entre ses doigts et pose la baguette plus loin dans la pièce, hors d’atteinte du sorcier. Ecrase la cigarette encore fumante dans le cendrier. Attrape le verre de whisky presque vide et la bouteille qui l’accompagne. Le loup garou laisse sa lourde carcasse se poser sur un fauteuil tourné vers le lit du maître. Il hume l’effluve alcoolisée, l’avale avant de délaisser le verre sur une table.

Il fixe l’homme endormi. Il fixe le Ministre de la Magie perdu dans son sommeil sans rêve, étouffé par l’alcool et il ne sait quoi encore. Il est bercé par ses respirations et mieux encore les battements réguliers de son cœur, qui lui semble parfois si rapide par rapport à ceux qui s’animent bien plus lentement dans sa poitrine.
Il le fixe longtemps, cet homme puant de colère et d’anxiété.  Il hésite un instant à mettre le feu aux tapis et observer la carcasse endormie s’agiter. Obsession élémentaire d’autrefois.

Il est temps.

Il se lève et jette brusquement la bouteille dans l’antre de la cheminée. Verre qui se brise. Alcool qui s’embrasse. Chambre qui s’illumine brusquement. Chaleur brûlante.

Le loup recule jusqu’à la couche, espérant que l’homme s’éveille, si celui-ci possède encore une once d’instinct de survie malgré cette longue intrusion dans son intimité.

Le monstre l’attend, les prunelles d’or liquide rivées sur lui. Juste là, à son chevet, à son éveil, au bout de son souffle, au creux de son inconscient. Le beau prince alcoolique s’agite, semble perdu, mais oui, où est-il parmi les limbes de l’alcool ? Le chien accepte quelques gestes vaseux, avant de poser la main sur le sorcier au sang aussi impur que le sien. Dans un grondement menaçant ou contrarié, il accompagne, ou dirige, son réveil et son lever, avant de glisser ses doigts puissants contre la mâchoire de l’éminent sorcier.
La vérité ronronne dans le grondement : « Tu es faible. » Il plisse les yeux et dévisage son maître. Amitié rebelle. « Tu aurais pu mourir ce soir. » Et tous les suivants. Est-il réellement en train de le tirer vers le haut, ou le noyer lentement ? « Ne vois-tu pas ce qu’ils sont en train de faire ? De te faire ? » Il gronde plus fort, ses phalanges blanchissant sur la mâchoire du bulgare. Puis brusquement il le repousse, et le monstre s’écarte, faussement calmé. L’amertume et la rancune dansent dans son âme. « Ce n’est que le début. » Et l’alcool n’est pas la solution. Elle sera au contraire ce qui signera ta perte de contrôle, ta perte de tout. Tu dois garder l’esprit clair et le contrôle sur toi et le reste.

Le loup expire, agacé d’être l’esclave d’un enfant, chien de ses propres émotions.
Revenir en haut Aller en bas
https://forthegreatergood.forumactif.com/t1775-perseus-i-m-just-
Gellert Grindelwald
coalition sorcière
Gellert Grindelwald
crédits : voluspa + alex
face claim : cillian murphy
pseudo : Kraeken
Respect is not worth submission. <gellert> +18  OV1OHUO
études : Quelques années a Durmstrang, d'autres dans des voyages sans but
Respect is not worth submission. <gellert> +18  Empty
Message (ϟϟ) Sujet: Re: Respect is not worth submission. <gellert> +18    Respect is not worth submission. <gellert> +18  EmptyLun 8 Juin - 22:13

Souffler, enfin souffler. Cela faisait deux jours que Gellert n’avait pas dormi, veillant nuit et jours sur Albus, parce qu’il voulait être sûr de ne pas le perdre, parce qu’il veut être sûr qu’il n’allait pas disparaître. Et il avait bû, pendant deux jours, sans s’arrêter, crachant ses poumons à force de cigarettes enchaînées, les yeux brûlants, rouges, cernes marquées sous les yeux éclairs qui étaient éteints.

Mais finalement, il s’était réveillé, avait ouvert les yeux, même quelques instants et ça avait suffit. Blanche avait pris la relève, et Gellert avait eu besoin de s’échapper. La chambre était sombre, vide,, les rideaux fermés, les flammes presque éteintes dans la cheminée, Gellert avait emporté plusieurs bouteilles avec lui, se servant plusieurs verres, passant la main sur le visage avec plus ou moins de brutalité, pour faire sortir les images pour faire sortir la peur. Cette peur qui lui avait tordu les tripes pendant deux jours durant. Et il avait fini par attraper des goûtes, deux, pour finalement fermer les yeux, repos mérité, sommeil sans rêve, pour reposer un corps abîmé. Mélange dangereux auquel il avait l’habitude car seul remède contre ses insomnies persistantes.

Et il y avait eu le bruit, la lumière d’un coup, l’odeur d’alcool brûlé alors qu’il s'extirpe difficilement du sommeil, sa main tâtonnant à ses côtés à la recherche de sa baguette. Le coeur qui ratait un battement alors que le maître ouvrait les yeux, les iris éclairs se posant sur la carcasse qui s’approchait rapidement saisissant de ses doigts crasseux le visage du maître qui poussait entre les dents un marmonnement mauvais. « Tu es faible. Tu aurais pu mourir ce soir. Ne vois-tu pas ce qu’ils sont en train de faire ? De te faire ? » Les mots claquent, et alors que l’autre le repousse, le myocarde se gonfle de venin, le regard mauvais du mage noir qui se redresse, il se tient debout sur ses deux jambes, prenant son équilibre en silence, le torse dénudé, les muscles qui se crispent avec les poings qui se ferment, la mâchoire serrée et les yeux blizzards. ”Tiens ta langue Perseus” La voix était calme mais glacée, elle s’insinuait dans les veines et les esprits avec danger. Alors le maître s’avançait, et si la carrure de l’autre était plus impressionnante, elle ne retenait pas le sorcier de se placer seulement à quelques centimètres, les élans d’alcools assez forts pour que le chien les sente, les éclairs se plongeant dans les yeux de l’ami d’avant, du secret caché, des souvenirs enterrés. ”Le jour où j’aurai besoin des conseils d’un chien de garde je tirerais sur la laisse.” Il crachait au sol, Il a les sens encore inhibés, pas vraiment tiré de son sommeil pas vraiment calmé de ses douleurs et ses colères. Et les poings sont réceptacles de cette colère alors que le sureau est hors de portée, la rage elle cherche toujours un moyen de s’exprimer, en coup sec, bras tendu, les phalanges qui s’écrasent sur la pomme d’adam du loup, déstabilisant l’adversaire suffisamment longtemps pour que Gellert récupère son arme, les perles amies entre ses doigts, l’incantation doucement murmurée, crucio, le corps qui se tords sous ses yeux, sourire léger sur les lèvres. ”Ne jamais quitter son adversaire des yeux pas vrai ?” Il reprends ses esprits en relevant la baguette, interrompant, le sortilège. D’un mouvement sec de la baguette et dans un bruit violent les meubles de la chambre allaient s’écraser contre les murs, bruits d’objets brisés habituels quand les deux hommes se confrontaient, libérant l’espace pour leur arène de fortune. Et craquant doucement les os de ses bras, il déposait le sureau sur l’âtre de la cheminée. Se retournant face au loup déjà relevé. Les mains levées pour signifier le geste fait en sa faveur. L’aigle et le loup marchant doucement, se jaugeant, ne se quittant pas du regard, alerte au moindre changement dans la position de l’autre, Gellert fit semblant d’avancer vers l’autre, sourire léger, poussant du pied une bouteille rescapée. ”J’avais besoin de taper sur quelque chose ça tombe bien” les yeux débordant de violence, il avait toujours su se battre à la moldue, leçon apprise de force par son père violent et par les nombreuses fugues dans des villages non-sorciers. Il dressait alors les poings, pliant doucement les doigts avec un sourire animal sur les lèvres pour inviter l’adversaire a tester sa défense.
Revenir en haut Aller en bas
Perseus Parkinson
sans camp
Perseus Parkinson
face claim : Jason Momoa
pseudo : kellyian
Respect is not worth submission. <gellert> +18  200726080531619932
particularité : waouf.
Respect is not worth submission. <gellert> +18  Empty
Message (ϟϟ) Sujet: Re: Respect is not worth submission. <gellert> +18    Respect is not worth submission. <gellert> +18  EmptyVen 12 Juin - 11:54

Elève-toi, stupide sorcier. Sur tes pieds, sur les cendres de ta colère, sur les montagnes de ta rancœur. Peu importe sur quoi tu te tiens, tant que tu te dresses face à ce monde. Ne courbe pas l’échine, ne se recroqueville pas sur toi-même, ou tu signeras ta fin.

« Tiens ta langue Perseus. »
« Et toi, réveille-toi. »

Il sent la colère palpiter dans le cœur de son maître, pulser dans ses veines. Pourtant, ton organe semble palpiter trop vite, embourbé dans l’alcool. Ton chien échappe un grondement agacé, sincèrement dégoûté par ton comportement. Celui qui prône la grandeur, le dur labeur et l’honnêteté, il ne tolère pas de te voir te tortiller dans l’ombre, te morfondre dans l’alcool et inhalé le tout pour éviter de ruminer.

« Le jour où j’aurai besoin des conseils d’un chien de garde, je tirerai sur la laisse. »

Un rire mauvais ronronne dans sa gorge.

« Comme il est facile, de te souvenir de ce que bon te semble. »

Tu es terriblement proche de lui. Son nez se plisse, et il gronde, plissant les yeux, plantés dans les tiens.

« Tu renifles l’alcool à des mètres. Tu ne saurais même pas distinguer tes alliés de tes ennemis. »

Il voit le coup arriver, mais il ne le pare pas. Il a l’habitude d’être une autre forme d’échappatoire. La douleur est sa maîtresse préférée, elle se love bien trop souvent contre lui, nuit et jour. Lorsqu’elle déguerpie trop longtemps, il sentirait presque un manque palpiter en lui, racler dans son être à la recherche de cette flamme qui embrase ses nerfs.

Il craque, tarde à respirer. La baguette en évidence plus loin ne tarde pas à disparaître entre tes doigts.
Son rire se mêle à sa toux, avant de se mêler aussi aux gémissements de douleur. La haute et massive ombre du chien se recroqueville, mettant un genou au sol. Son échine se comprime, les nerfs s’enflamment et la douleur est vivace, comme un millier d’aiguille venant s’enfoncer le long de ses nerfs. L’élancement s’aventure du bout de ses doigts à sa nuque. Tout son être lui fait mal. Supplice rampant, mettant à vif tout son être entier, gainant les muscles saillants, excitant la conscience énervée, fragmentant sa conscience du monde. Tout est soudainement rouge, puis blanc. Douleur cuisante, réalité vivante. Plus rien n’existe. La souffrance soulage, la douleur apaise, retour à la normale, comme l’amante qui le berce contre son sein.

Silence.
Calme.
Relâchement.

Il expire le soulagement, presque surpris que cela se termine si vite.

Il papillonne quelques secondes, sa langue picote encore. Il serre les dents et se redresse lentement, géant aux gestes précautionneux. Un goût amer dans la bouche, bientôt remplacé par la cendre. Sensation étrange laissée par le crucio.

Il frémit, les nerfs encore à vit, pas assez sur ses gardes, lorsque les meubles s’écartent brusquement. Crissement sur le parquet qui viole son ouïe.

Redresse-toi sorcier et déploie tes ailes. Ton comportement est inacceptable.

« J’avais besoin de taper sur quelque chose ça tombe bien. »

Tous esclaves de vos besoins primaires. Tous handicapés émotionnels, à refuser de ressentir et vivre pleinement vos émotions, à les disséquer, les comprendre et y remédier. Estropiés sentimentaux, kamikaze de ce nouveau monde, victime des étiquettes et de vos propres peurs.

« Je ne t’ai pas juré fidélité sur ma vie, pour te regarder tomber. »

Il fixe son ami, son maître, dans sa position défensive. Il sait très bien, que s’il frappe réellement, il te fera mal. Tu es imbibé d’alcool, encore sous l’effet de ses goûtes, affamé et fatigué. S’il te frappe vraiment, il va te faire mal. Mais c’est peut-être ce que tu cherches.

« Tu as besoin de te défouler ? »  Il avance, le chien, vers toi. Et il ne se protège pas. Il crache encore, douloureusement franc. Il n’a plus rien à perdre, ou presque. Que peux-tu lui prendre encore que tu n’as déjà ? « Tu sais à qui tu es en train de ressembler ? » Il te fixe. Te dévisage lentement. « Défoule-toi sur tes véritables ennemis. Et demain, l’alcool te brûlera, si tu t’y noies encore. »

Menace franche.

Il est sur ses gardes pourtant, prêt à parer n’importe quel de tes coups. Et s’il doit te faire prisonnier de son étreinte pour te faire comprendre que tu te mets dans un état où tu es esclave de l’alcool, il le fera.

Chien obéissant et docile, mais pas chien stupide et fou. Tu oublies trop souvent vos liens passés, mais il n’a pas oublié, lui, où tu étais quand il avait besoin d’aide, et où il était lors de tes premières expérimentations.

Il n’a pas signé de sa vie, pour ça.

Revenir en haut Aller en bas
https://forthegreatergood.forumactif.com/t1775-perseus-i-m-just-
Gellert Grindelwald
coalition sorcière
Gellert Grindelwald
crédits : voluspa + alex
face claim : cillian murphy
pseudo : Kraeken
Respect is not worth submission. <gellert> +18  OV1OHUO
études : Quelques années a Durmstrang, d'autres dans des voyages sans but
Respect is not worth submission. <gellert> +18  Empty
Message (ϟϟ) Sujet: Re: Respect is not worth submission. <gellert> +18    Respect is not worth submission. <gellert> +18  EmptySam 13 Juin - 23:51


C’était la nuit des violences, les violences pour oublier un peu les pensées, pour avoir la douleur en alliée, le carmin qui voulait s’échapper, la pression qui était trop présente. Mais l’esprit lui était toujours un peu absent, endormi encore par la potion et par l’alcool ingéré. Il avait juste envie de souffler, juste envie de se reposer, et l’autre ne semblait pas le comprendre. Alors il regardait se tordre de douleur, il regardait alors que le sort faisait son travail, cette douce violence dans laquelle il se plaisait a se glisser, mais qui semblait parfois insuffisante, ce besoin de claquer des poings, de sentir les os, c'était ça qu'il voulait, c'était ça dont il avait besoin pour le moment.

Crachant au sol le Bulgare levait les yeux sur l’esclave. Il voyait en lui tellement plus qu'un chien, qu'un clébard, mais au fond il ne restait rien de plus, et Gellert le savait, pour l'avoir observé pendant quelques années, pour avoir découvert par ses yeux une créature dont les talents étaient plus qu'utiles, pour avoir tenté de l'apprivoiser, après lui avoir glissé dans la tête l'idée selon laquelle le monstre pouvait être contrôlé, et il l'observait, le jugeait silencieusement.

« Je ne t’ai pas juré fidélité sur ma vie, pour te regarder tomber. »

Gellert lâche alors un rire sauvage, qui s’échappe par la gorge dans un son rauque, il lève les yeux au ciel, secoue un peu la tête. Il en a marre le sorcier, le ministre, il en a marre de tous ceux qui observent mais qui ne voient rien, il veut souffler, une fois, bizarrement, les épaules nouées qui font grimacer, la tête qui tourne un peu, pas totalement sorti de son état second, il se sait plongé dans des vices dangereux, mais il en avait besoin pour gaerder la tête hors de l'eau, parcequ'il avait failli perdre son pillier, et étrangement, ça excusait tout a ses yeux. Mais ça n'excusait en rien la mutinerie du chien, il aboyait trop fort pour l'encéphale épuisé. Et il réveillait la colère, par delà l lien qui unissait les deux êtres.

”Pourquoi Perseus ? Pourquoi as-tu juré finalement ?”

Ils se tournaient autour, si l’autre était un chien, lui aussi parfois se laissait aller à faire sortir l’animal, il avait connu la violence des poings, il avait même connu l’euphorie de la douleur, des nez qui craquent sous les phalanges habitués à la violence. La violence qui lui rappelait son enfance, ce village dans lequel il avait grandi, où il devait se battre pour tout, pour survivre simplement.

«Tu sais à qui tu es en train de ressembler ?» Il levait le doigt, essayant de couvrir la voix de l’autre avant qu’il n’aille trop loin, il crachait le serpent, prêt à mordre. ”Ferme la Parkinson” Les mots crachent dans le bulgare natal de l'aigle, mais l’autre reprenait de plus belle, toujours plus près plus provocant.  «Défoule-toi sur tes véritables ennemis. Et demain, l’alcool te brûlera, si tu t’y noies encore. »

Et le mage noire plantait ses yeux vers le chien qui osait s’avancer, ce n’était plus des éclairs, c’était des tempêtes, l’autre usant de ce lien qu’ils avaient construits, au fil des lunes entre les pierres froides de Durmstrang.  Les secrets qui s’étaient échappées de lippes enfantines. Il serrait la mâchoire, parce qu’il avait bien compris ce que l’autre sous-entendait, et ça faisait revenir des souvenirs trop enfouis, trop lointains, pourtant toujours aussi vivants. La naissance de la violence

Et puis c’était le chaos, la folie, déclenchée par un regard, quand les iris se sont ancrés dans ceux du chien il avait fondu, un premier coup puis un deuxième, il se reculait parfois, pour revenir à la charge, se heurtant toujours à la garde du chien il se reculait alors.

”Tu ne sais rien de ce que je suis Perseus.” Les yeux crachaient la colère et lui crachait sur le sol, ”Trois putain de jours sans fermer les yeux et il faut que tu viennes me péter les couilles.” La rage transpirait dans les mots, dans les postillons qui s’envolaient, dans la rage qui éclatait, qui sûrement avait réveillé d’autres habitants du manoir, bien qu’habitués par les éclats de voix des deux anciens élèves de Durmstrang. Et il en avait marre Gellert, avait besoin de lui rappeler qui dirigeait, qui était le véritable maître. Alors il s’avançait, les bras baissés, saisissant le menton du loup entre ses doigts il baissait son visage pour planter ses iris dans les siens, les phallanges blanchies par la pression. ”Ne me dis pas que je vais devoir te mettre une laisses Perseus ? “ Sa langue venait caresser ses lippes, dangereusement proche, il finissait par enfoncer son poing dans les côtes du loup, abattant de nouveau les coups, bien que rapidement destabilisé par les effets des psychotropes ingérés, Mais il frappait, s’en foutait de recevoir des coups aussi, il hurlait, hurlait sa rage et ses poumons, hurlait sa colère, hurlait pour Albus qui n’était pas encore vraiment remis. Pour ses plans qui semblaient de moins en moins proches de se réaliser.


Revenir en haut Aller en bas
Perseus Parkinson
sans camp
Perseus Parkinson
face claim : Jason Momoa
pseudo : kellyian
Respect is not worth submission. <gellert> +18  200726080531619932
particularité : waouf.
Respect is not worth submission. <gellert> +18  Empty
Message (ϟϟ) Sujet: Re: Respect is not worth submission. <gellert> +18    Respect is not worth submission. <gellert> +18  EmptyLun 22 Juin - 11:35

Eclats rauques qui dansent vers le ciel, échappant mépris, colère et désespoir. Victime d’un coup du sort, d’une machination ou d’une véritable malédiction ? Le loup frémit au rire rauque du maître, il sent ses poils s’hérisser sur sa chair, dévorant son échine et son crâne. Il la sent, la magie palpiter dans son sang, cette magie primitive qui réagit à la tienne. Si il devait la peindre, la représenter, elle serait telle une tempête glaciale autour de toi, un bloc déchiqueté, prêt à déployer mille et uns éclats de glace, pieux givrés pour planter quiconque s’approche de trop. Feu et haine peuvent se lier, colère et fièvre peuvent s’embraser et faire se dissoudre cette glace. Te noyer dans tes propres démons, clamser dans cet eau putride, agoniser dans ces relents de gnole.  Quintessence de la stupidité sorcière, substance de la faiblesse humaine, concentré d’humanité étriquée. Pourrie jusqu’à la moelle, il est pourtant prêt à défoncer tes cervicales pour te faire ouvrir les yeux sur ton état. Ces poisons, ces pousses-au-crime ne sont guère des réponses à tes maux, soluté déterminé pour t’amener vers une épilogue avorté.

« Pourquoi Perseus ? » Pourquoi a-t-il juré finalement ? Avait-il réellement le choix ? Entre la misère et la violence et cette vie que tu lui offres ? Bien sûr qu’il avait le choix, et il l’a pris entre ses griffes et ses crocs. « Mourir pour tes convictions, ou pour le plaisir futile de ces vermines ? » Un début de rire ou de grognement ronronne dans sa gorge. Son sourire dévoile sa dentition, déformé par un amusement stupide, un mépris animal. « Savoir ployer l’échine au bon moment est une chose, face à qui en est une autre. »

Animaux en cage, prédateurs prêts pour la rixe, opposition fondamentale. Si le regard du chien est déterminé, franc, son sourire est une pute qui se fend dans son visage. Et il rit presque lorsque tu lève la main, le doigt, lorsque tu gueules plus fort que lui. Se la fermer, oui, toujours au bon moment, mais pas maintenant, pas ici. Jeter une allumette dans l’essence, le loup pare tes coups, son corps répond au tien, il se gorge de ton aura, de ta colère, de tout ce que tu émanes, de tout ce qu’il respire de toi. Empathique, animal, l’instinct le guide, ses sens aiguisés le commandent.
« Trois putain de jours sans fermer les yeux et il faut que tu viennes me péter les couilles. »
« Ce poison n’est pas la solution. »

Tu baisses la garde, il sait que ce n’est qu’un leurre. Il te laisse approcher, inspire, retrouve un souffle calme. Il s’amuse des tes mots, rit franchement et souffle à propos de cette laisse : « Cela te ferait bien trop plaisir. » Tu es proche. Il tend le cou un peu plus, et te réponds, ses prunelles plantées dans les tiennes : « Arrache-moi la langue, si tu veux. Cela ne m’empêchera pas de te mettre le nez dans ta merde. Ce poison n’est pas un repos. Il ne t’aidera pas à retrouver ce que tu cherches. Tu le sais. » Mots durs, ton sec et tranchant. Sa poitrine ronronne dans une rage entendue.
Pourtant, tu reviens vite à la charge. Il est un corps, une conscience qui épousent les tiens, parfait miroir, parfait opposé qui respire le calme et une douceur étrange. Il pare chacun des coups, pourrait attraper un membre, te repousser. Mais il te laisse cogner, frapper, exulter, il te laisse te défouler, te fatiguer. Protège l’essentiel, laisse libre ce qu’il peut encaisser. « Albus est en vie. » Il le répète plus fort, lorsque tu hurles, lorsque tu beugles ta rage, ton désespoir, ta haine.

Puis le loup commence à accepter tes erreurs, tes ouvertures. Il donne trois coups. Tes côtes. Ton estomac. Ta mâchoire. Puis il s’écarte. L’animal qui ne parle que trop rarement, ouvre la gueule, non pas pour mordre mais pour agiter son reste d’humanité. La voix rauque et calme,  il répète encore : « Albus est en vie. » Il fronce les sourcils, ses prunelles plantées dans les tiennes. « Tu as toujours le pouvoir. Ces conneries ne vont pas t’aider. Repose-toi réellement, cesser de leurrer ta conscience. Et si je dois venir fouiller tes bureaux, et ta chambre tous les jours, je le ferais. » Il fronce les sourcils, le chien de garde, avant de s’approcher lentement de toi. « Tu sais ce qu’ils vont te faire sur le long terme. Et c’est sur le long terme que tu œuvres, Gellert. C’est de toi que ce monde a besoin. » Il respire calmement. « Et pour ça, tu dois être là pour toi-même. « Silence. « Laisse ça pour les autres. » Ces conneries que tu ingurgites. La laisse ne changera rien au fait, que trop de monde craint de te dire la vérité en face. Il n’a pas peur des conséquences de ses mots. Le torturer une énième fois ? Parce que la réalité fait mal ? Il est déjà au courant.  Il ne te connait pas, évidemment, il a raté des années entières de ta vie. Mais il t’a côtoyé. Et aujourd’hui, il t’observe chaque jours, toi et les personnes que tu fréquentes.



Revenir en haut Aller en bas
https://forthegreatergood.forumactif.com/t1775-perseus-i-m-just-
Gellert Grindelwald
coalition sorcière
Gellert Grindelwald
crédits : voluspa + alex
face claim : cillian murphy
pseudo : Kraeken
Respect is not worth submission. <gellert> +18  OV1OHUO
études : Quelques années a Durmstrang, d'autres dans des voyages sans but
Respect is not worth submission. <gellert> +18  Empty
Message (ϟϟ) Sujet: Re: Respect is not worth submission. <gellert> +18    Respect is not worth submission. <gellert> +18  EmptyVen 3 Juil - 16:13

« Mourir pour tes convictions, ou pour le plaisir futile de ces vermines ? Savoir ployer l’échine au bon moment est une chose, face à qui en est une autre. » Voix qui trahit l’ancien lien entre les deux hommes, pourtant maintenant il ne fait que déformer un peu plus le visage du maître, colère coulant par tous les pores, probablement accentuée par l’abus d’alcool et de potion, et la colère à déverser qui passe dans les poings, qui frappe quand l’autre, plus à l’aise dans ce genre de joutes, bloque la plupart des coups, et quelque part Grindelwald s’en fou de ne pas le toucher, il frappe pour ne plus penser, concentre son encéphale embrouillé par les évènements. Pas tant de violence envers l’hybride, mais c’est plus facile de le prendre pour cible, ils se comprennent à leur manière, l’ont toujours fait, depuis cette époque où Gellert était l’allié chuchotant à son oreille, sans s’imaginer se retrouver aujourd’hui face à lui. Et puis les deux hommes se séparaient une première fois, la langue acérée de Gellert qui frappait, rappelant à l’autre sa place, car malgré la patience du Ministre, il n’était rien de plus qu’un esclave, utile certes, mais les mains liées par le Bulgare.

« Cela te ferait bien trop plaisir. Arrache-moi la langue, si tu veux. Cela ne m’empêchera pas de te mettre le nez dans ta merde. Ce poison n’est pas un repos. Il ne t’aidera pas à retrouver ce que tu cherches. Tu le sais. » Le bulgare toise l’autre d’un regard hautain, supérieur en tout point, les éclairs tremblent dans les iris alors que les lippes se retroussent nerveusement. ”Tu ne cesseras donc jamais d’aboyer…” murmure las qui s’échappe, une envie légère de lui sceller les lèvres a jamais, les poings se serrent pour laisser la violence s’exprimer à nouveau, dans cette danse qu’ils pratiquaient souvent, il laissait s’échapper la violence des instincts animaux qui parcouraient son carmin enflammé, il crachait sa hargne et sa rage, sa fatigue, son coeur qui saignait depuis que son époux était revenu entre ses mains, les blessures visibles soignées, mais il savait bien qu’Albus était touché, que quelque chose s’était passé, la faute à ces connards de rebelles qui prenaient à cet instant le visage de Perseus, cible disponible pour planter son venin, les coups qui pleuvent, l’autre les pare sans trop d’efforts, et dans la violence l’encéphale ne réponds plus, les réflexes sont brouillés par le besoin simple de frapper, violence moldue qu’il déteste et embrasse en même temps. Alors il ne fait plus attention à ses erreurs, sa garde baissée pour n’être qu’offensive. Et les réponses presque immédiates, le premier coup trouve les côtes, respiration qui se bloque sous une grimace, l’estomac frappé sous la surprise, la bile et l’alcool qui remontent dangereusement dans la gorge et la machoir qui fait reculer le bulgare, trois coups pour un échec et mat, le roi tombe, la main vient instinctivement serrer la mâchoire douloureuse, il tousse et crache bile mêlée au sang de la lèvre éclatée sous le coup.

« Albus est en vie. » Les iris qui se rejoignent, s’ancrent, alchimie étrange entre deux oubliés, deux étrangers qui s’étaient trouvés malgré eux. Destin lié depuis leur rencontre, voué à la destruction, le Bulgare responsable de cette vie que l’autre ,’avait pu avoir, il avait toute les raisons de vouloir le finir, et pourtant ne le faisait pas, et Gellert se redressait difficilement, grimaçant sous la douleur. Albus est en vie, à peine...et ça ne rassure par le ministre. « Tu as toujours le pouvoir. Ces conneries ne vont pas t’aider. Repose-toi réellement, cesser de leurrer ta conscience. Et si je dois venir fouiller tes bureaux, et ta chambre tous les jours, je le ferais. » Un souffle s’échappe des lèvres abîmées du Bulgare, les poings qui se relâchent alors qu’il laisse finalement l’autre parler sans risque de le tuer. Quand bien même l’envie ne manque pas. « Tu sais ce qu’ils vont te faire sur le long terme. Et c’est sur le long terme que tu œuvres, Gellert. C’est de toi que ce monde a besoin. Et pour ça, tu dois être là pour toi-même. Laisse ça pour les autres. » Les pupilles du bulgare se posaient dans celles du loup, il avait raison, aussi insupportable que cela soit, les interrogatoires étaient passées depuis trois jours et il n’avait pas agi, une main passait sur le visage, ”Ils ont raison quand ils disent que les chiens sont des animaux intelligents.” La voix était sèche, le regard était mauvais. Il récupérait le sureau sur l’âtre de la cheminée, une cigarette se posait entre ses lèvres avant de l’alumer. Il la pointait ensuite sur le loup. ”Peut-être que tu peux t’avérer utile après tout Perseus...comme avant.” Sourire mauvais, l’envie de reprendre ses études, mais il tait ses ambitions, pour l’instant du moins. Et décalant légèrement la baguette sur la droite, un Incendio silencieux qui s’échappait du sureau, passant à quelques centimètres du visage du Parkinson, enflammant la table de nuit dans laquelle était rangée la potion. ”Tu touches à mon whisky je t’émascule Perseus” Il sortait ensuite de la chambre, faisant signe à l’autre de le suivre jusqu’aux cuisines, il n’arriverait pas à dormir de toute façon. Un des elfes apparaissant devant lui. ”Des entrecôtes, saignantes” l’ordre claque alors que le ministre s'assoit et que les domestiques s'affairent.  Il faisait signe à l’autre de s’asseoir en crachant la fumée de sa cigarette.


@Perseus Parkinson

Revenir en haut Aller en bas
Perseus Parkinson
sans camp
Perseus Parkinson
face claim : Jason Momoa
pseudo : kellyian
Respect is not worth submission. <gellert> +18  200726080531619932
particularité : waouf.
Respect is not worth submission. <gellert> +18  Empty
Message (ϟϟ) Sujet: Re: Respect is not worth submission. <gellert> +18    Respect is not worth submission. <gellert> +18  EmptyDim 26 Juil - 21:10

Aboyer. A la mort, à la vie. Sous l’astre lunaire qui scintille de mille feux et brûle sa chair, la lacère pour en défaire ce costume d’homme et libérer la bête. Aboyer comme un chien, à tes pieds, pour te rappeler à l’ordre. Aboyer, face à la reine rouge pour lui rappeler la réalité. Aboyer, face à Minerva pour lui signifier que son destin est scellé depuis longtemps. Aboyer. Tes mots lui donnent envie de te cracher au visage, de vider l’alcool sur ton visage et y mettre le feu. T’observer hurler et te rouler au sol. Il aimerait bien voir ça. Te cracher au visage, t’entendre lui demander parfois, pour avoir foutu sa vie en l’air, pour l’enchaîner une deuxième fois. Il s’accroche à une illusion qui n’existe pas. Une loyauté que tu ne mérites sans doute pas. Il s’accroche comme un chien en manque d’un maître, en mal de fidélité, en manque de repère. Il déteste lorsque tu parles ainsi, il déteste lorsque tu le ramènes à une possession, reniant tout ce que vous avez pu partager, lui rappelant qu’il n’a été que leurré. Il veut y croire, à l’une de ces dernières choses qui lui restent et pourtant… Le devrait-il ? Ton visage se surperpose à celui de Selina Parkinson, où son sourire de putain dévore ses lèvres carmines, avant de rire si joviale, et lui tourner le dos, une bonne fois pour toute. Chien obéissant, chien abandonné. Sa famille n’est plus depuis fort longtemps. Sa famille n’est rien et ne lui tendra jamais la main. Et toi, comme les autres, tu n’es pas sa famille. Il se leurre sur ça.

Les chiens sont des animaux intelligents. Il t’observe te détourner. Ce qui l’ennuie terriblement, c’est cette manière que tu as, de te penser en sécurité avec lui. Lui tourner le dos, de manière délibérée, alors que ta baguette est à quelques pas. Il pourrait fondre sur toi, et te tuer en quelques secondes. L’idée lui traverse l’esprit. Car tu n’es pas mieux qu’Albus Dumbledore. Tu n’es pas mieux que Graal Grindelwald. Tu te complais dans ton sentiment de puissance, tu te crois intouchable. Qu’est-ce qui le retient au juste, d’agir ? D’agir et te rappeler que tu n’es pas invincible ? Que tu n’es qu’un homme ? Que tu n’es ni pur, ni dieu ?

Comme avant. Ses mâchoires se crispent un instant, et il te fixe toujours. Silencieux, le chien, le redevient. Il sait à quoi tu fais allusion, mais il ignore en quoi il a bien pu être utile, lorsque tu l’as libéré. Une nuit de liberté. Il te fixe, et te fait face, le colosse aux pieds d’argile. Il ne ressent très vite plus rien, d’une rapidité étonnante. Il n’exprime plus rien non plus.
Il ne réagit pas au sortilège. Alcool brûlé. Potion aussi. Il hoche la tête pour signifier le geste, avant de pivoter. Pourtant, un sourire fend soudainement son visage à tes mots, et il vient glisser ses doigts, sa large main contre ton épaule. « Et me retirer l’un de mes derniers plaisirs ? »  Il avance, avant de retenir un soupire. Quand même. « Tu devrais le faire de toi-même alors. T’en éloigner quelques temps. Et voir si ton corps tremble de manque. Quelle image pathétique que cela serait. » Toucher ton quelconque égo peut-être. Peut-être que le sureau saurait te rappeler à la raison, si il refusait d’agir sous tes abus. Cela serait si simple.

Il le suit sans trop savoir à quoi s’attendre. Et il hausse légèrement un sourcil en t’entendant face à l’elfe. C’est facile, le loup à toujours faim. L’acheter par son estomac, c’est presque trop facile. L’une de ses babines se retrousse et il grogne à moitié à l’entente de l’elfe qui croise son regard : « Bleue. »  Bien sûr. Les effets du loup sur tous ces goûts.

Il s’assieds en face de toi. Doit-il te dire, qu’il s’est tapé ta femme il y a quelques semaines, sous un coup de fureur, un coup de la lune ? Doit-il te dire qu’il l’a vue pleurer ? Ou que Blanche songe à s’enfuir ? Que Minerva lui a parlé liberté, sans qu’il ne comprenne vraiment pourquoi ? Doit-il faire plus ? Pour une amitié passée, sans doute feintée ?

Il te fixe sans rien dire. Il se sent inadapté à la scène. Trop immense pour ce banc et cette table. Il pose l’avant bras, le coude sur la table. Il fait encore si sombre dans la pièce, mais lentement les chandelles prennent vie. Ses prunelles sombres brillent, et il demande : « Vous allez perdre beaucoup avec les derniers évènements. Les nouvelles lois. Les interrogatoires. » Vous avez montrés vos véritables visages.



Revenir en haut Aller en bas
https://forthegreatergood.forumactif.com/t1775-perseus-i-m-just-
Contenu sponsorisé
Respect is not worth submission. <gellert> +18  Empty
Message (ϟϟ) Sujet: Re: Respect is not worth submission. <gellert> +18    Respect is not worth submission. <gellert> +18  Empty

Revenir en haut Aller en bas
 
Respect is not worth submission. <gellert> +18
Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut 
Page 1 sur 1
 Sujets similaires
-
» long may she reign - gellert.
» for what it's worth (moira) (délai 05/06)
» A porté des mains (Gellert)
» l'aigle et le colibri (gellert)
» sighs suffering - gellert

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
for the greater good :: miroir du rised :: Rps archivés-
Sauter vers: