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 l'aigle et le colibri (gellert)

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Naiara Fabregas
coalition sorcière
Naiara Fabregas
crédits : KANE. (avatar)
face claim : eva mendes
pseudo : guimauve
l'aigle et le colibri (gellert) Tumblr_n619ghdkPr1qcm0m3o1_r1_500
études : a étudié à Castelobruxo de 1880 à 1886, a organisé son emploi du temps pour suivre aussi les cours de danse magique au Brésil
particularité : métamorphomage, son corps fait partie de son art.
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Message (ϟϟ) Sujet: l'aigle et le colibri (gellert)   l'aigle et le colibri (gellert) EmptyMar 9 Juin - 22:39

Le pinceau se coince entre ses doigts de déesse tandis qu’elle vient se reculer. Le brun profond de ses cheveux passe de l’orange, au bleu, déclinaison de couleurs pastelles et d’arc-en-ciel. Définitivement, il manque quelque chose, mais dans son observation, Naiara Fabregas n’arrive pas à deviner quoi. Elle sait juste qu’il y a quelque chose de manquant. Une couleur ? Un détail ? Une forme ? C’est l’apologie de la couleur et du désir ce tableau. Il doit donc être parfait. Elle ne le fait pas que pour elle. Elle le fait pour l’art. Elle le fait pour la prospérité. Alors, frustrée, elle finit par laisser tomber. Y revenir plus tard quand cela sera parfait. Une distraction. Il lui fallait sa distraction. C’est comme ça qu’elle fonctionnait, volatile et chaotique. Son atelier était d’ailleurs sans dessus dessous. Elle avait peint avec les mains, les pinceaux et divers objets. C’était éparpillé partout et c’était aussi sur ses mains à elle. Son regard redevint finalement normal quand elle vit apparaitre le volatile au plumage impeccable. Pensant qu’il s’agissait d’une réponse d’un de ses fournisseurs, Naiara Fabregas s’approcha de son pas de danseuse, de sa légèreté naturelle avant de venir délicatement décrocher la lettre de l’oiseau. Le sceau ministériel s’attacha à sa rétine. Froncement de sourcils et elle vient immédiatement défaire le sceau avant de déplier la lettre.
Un de ses sourcils se lève. Naiara Fabregas observe longuement la lettre. Elle n’avait aucune idée de ce que le Ministre lui-même lui voulait. Lukian avait été un de ses ministres loyal et même s’il était parti, elle savait qu’il avait laissé derrière lui un travail impeccable. Elle s’était aussi proposé d’office pour les interrogatoires et avait mené ces derniers avec professionnalisme. Il n’y avait aucune tâche au tableau. Tout du moins, pas à sa connaissance. Henry le lui aurait dit si cela avait été le cas. La curiosité l’emporta et elle se déplaça dans l’atelier, évitant avec une agilité gracieuse les objets éparpillés dont elle savait la disposition par cœur. Chaotique, oui, mais chaos ordonné. Se passant une main sur ses lèvres, la cubaine y laissa une trainée de peinture bleue.
Eh bien, qu’ils se rencontrent donc.
Ainsi donc, Naiara Fabregas habillée d’une robe bleu pastel avec un corset prêt du corps, très peu soucieuse de l’image sensuelle qu’elle renvoyait alors que certains se retournaient sur son passage arriva à l’étage où se trouvait donc le bureau de M. Gellert Grindelwald, père de la Confédération. Ses cheveux attachés en un chignon retenus par une broche d’un véritable colibri à la couleur d’un bleu roi arboraient sa couleur naturelle. Dans l’espace propre et froid où elle était censée attendre, Naiara sembla encore et toujours détonner, apportant un peu de chaleur à l’endroit.
Assise, ses longues jambes croisées sur la chaise du hall où on lui avait demandé d’attendre, la cubaine observa la secrétaire aux boucles brunes qui semble parfaitement débordée. Sa manucure est mal faite, ses boucles encore indisciplinées. Elle renvoie l’image d’une femme qui essaie d’être parfaite mais qui ne l’est pas. Quelque chose de plus accessible et naturel serait peut-être le bienvenu. Celle-ci d’ailleurs se dirige vers elle.
« Madame Fabregas, Monsieur le Ministre est prêt à vous recevoir. »
« Je vous suis. » dit poliment et avec un sourire charmeur Naiara.
La cubaine vient décroiser les jambes et souplement se relève avant de suivre la jeune femme. Alors qu’elles arrivent devant la porte du bureau de celui qui a révolutionné le monde sorcier, le regard chatoyant de Naiara se pose sur deux silhouettes. L’un aurait pu être son fils si elle avait décidé d’avoir des enfants plus tôt. L’autre était un véritable colosse qui attira immédiatement son regard. Elle jugea qu’il serait très intéressant pour ses œuvres photographiques, sa plastique particulièrement intéressante. De son regard, elle le détailla de haut en bas. Réflexion faite, pas que pour ses œuvres, elle le mettrait bien dans son lit. Adressant un sourire sans équivoque au colosse qui dégage une aura animale qui la fait vibrer, Naiara passe devant l’homme et pénètre dans le bureau après avoir été anoncée. Immédiatement, elle se reconcentre et adresse un sourire poli et toujours aussi charmeur, illuminant la pièce à M. Gellert Grindelwald.
« Monsieur Le Ministre, c’est un plaisir de vous rencontrer en personne. Je suis honorée. » dit-elle, son anglais chantant avec son accent espagnol ressortant.
Les vingt années n’ont pas effacé ses racines et Naiara en est fière. Elle ne veut pas gommer cela.
@Gellert Grindelwald
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Gellert Grindelwald
coalition sorcière
Gellert Grindelwald
crédits : voluspa + alex
face claim : cillian murphy
pseudo : Kraeken
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études : Quelques années a Durmstrang, d'autres dans des voyages sans but
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Message (ϟϟ) Sujet: Re: l'aigle et le colibri (gellert)   l'aigle et le colibri (gellert) EmptyJeu 11 Juin - 21:44

Gellert était assis a son bureau, habitué au brouhaha habituel de ce dernier, toujours en effervescence, les cigarettes qui s’enchainaient, les tasses de thé, les verres de whisky, les mains serrés, les éclats de voix et les promesses par milier. Le politicien faisait tourner les différentes casquettes qu’il portait a la perfection, tantôt ministre, tantôt maître, tantôt mage noir. Il avait pris le rythme, et il était brillant dans ce qu’il faisait, nul n’en douterait, poussant toujours plus loin ls frontières de l’osé, il avait cependant peur d’un obstacle d’envergure. Les interrogatoires bien que nécessaires avaient mis à mal l’image du Ministère. Et il devait récupérer les faveurs de la société sorcière. Si les sang-purs étaient de son côté, la populace britannique brûlait le flambeau de la rébellion. Et une rébellion n’était pas ce qu’il souhaitait, pas quand il était si près de mettre en oeuvre ses derniers plans.

Le ministre passait une main sur son visage, griffonnant des notes sur un rapport avec l’imposante plume de phénix. Ses doigts glissant sur la montre à gousset offerte par albus, son pouce glissant sur le symbole des reliques pour ouvrir l’engin ses iris se fixaient quelques secondes aux aiguilles. Quand l’heure fut pleine il déposait la plume sur le bureau, la baguette claquant en rangeant les différents dossiers alors que la porte s’ouvrait sur une silhouette plus qu’agréable. Et alors qu’il venait desserrer sa cravate, c’est un nouveau visage que le ministre affichait, sourire léger au bord des lèvres, il observait la naïade dans un jeu parfait, rôle qu’il avait appris a maîtriser des mouvements et comportements des hommes attirés par les femmes, et comment ne pas être attiré par la déesse. Même Gellert Grindelwald sait reconnaître les belles femmes Il souriait doucement alors qu’elle s’avançait vers lui. S’il n’avait que rarement vu la sorcière, uniquement croisée lors de diverses rencontres, plus porté affaire avec le mari, il avait pourtant eu vent des talents particulières de la sorcière. Et si son mari avait été un employé exemplaire, il espérait pouvoir également profiter des talents de la cubaine.

« Monsieur Le Ministre, c’est un plaisir de vous rencontrer en personne. Je suis honorée. » Il souriait calmement, s’approchant pour saisir la main de la dame et la conduire à ses lèvres. ”Je vous en prie Naiara, appelez moi Gellert voulez-vous ? Je brûlais d’impatience de vous rencontrer.” Tenant la main de la fleur il l’accompagnait aux fauteuils face a l’a cheminée, l’invitant a s’asseoir il prenait lui même place dans un des fauteuils noirs auxquels il était maintenant habitué, puis qu’il y avait souvent passé des nuits. Son regard joueur se glissait sur le visage de la dame, claquant le sureau dans les airs pour servir deux verres d’une bouteille de rhum cubain qu’il avait réussi à récupérer pour l’occasion, gagner les faveurs de la belle était après tout une partie de son plan.

Et il les aurait, à coup d’oeillades bien placées, sa voix était douce, calme, l’accent bulgare au bout des lèvres, plus brutal que son accent a elle qui s’envolait calmement pour gonfler l’égo de la tempête.

”J’ai toujours aimé le rhum cubain” Sourire aux lèvres, mensonge au bout des dents, il avait toujours préféré le scotch. Il glissait alors une cigarette à ses lèvres avant de l’allumer et de la tendre doucement à Naiara, à son habitude, il laissait le charme parler, sourire joueur et oeillades amicales par milliers.

”Mon invitation vous a sûrement paru surprenante. Il se trouve que j’ai revu vos rapports suite aux interrogatoires. Et pour être honnête j’ai été frappé par leur professionnalisme. Vous êtes une femme pleine de ressources Naiara.” Il glissait le verre à ses lèvres, cachant une grimace dans un rictus envoûtant, laissant le feu de l’alcool couler le long de sa langue qu’il finissait par claquer à son plafond. Il se retournait alors vers la belle, se glissant au bord de son fauteuil, réduisant l’espace qui les séparait, bien que toujours respectueux, si sulfureuse qu’elle était, ils étaient tous deux mariés. Et Gellert ne désirait pas le corps de la demoiselle, mais son intellect et sa ruse. ”J’ose espérer que vous avez bien été récompensée pour votre aide incontestable lors de ces interrogatoires. Mais vous avez sûrement entendus les rumeurs, les bavures qui ont été commises ont entaché l’image du ministère ne pensez-vous pas ?” Il glissait son verre sur la table, glissant une cigarette à ses lèvres cette fois, joignant ses volutes de fumée à ceux de la dame.
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Naiara Fabregas
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Naiara Fabregas
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Message (ϟϟ) Sujet: Re: l'aigle et le colibri (gellert)   l'aigle et le colibri (gellert) EmptySam 13 Juin - 8:52

Gellert Grindelwald, un homme d’un charisme certain, Naiara Fabregas ne mentira pas en disant que dans une pièce, il prenait tout l’espace par sa simple présence. Il suite le pouvoir et Naiara aime les gens de pouvoirs. Après tout, elle avait épousé l’ancien Ministre de la santé et l’ancien directeur de Sainte Mangouste. Mais Gellert avait une présence à part. Sensible aux auras que dégageaient les gens, elle reconnaissait qu’elle était impressionnée. Le voir en des occasions mondaines était quelque chose de complètement différent de ce qu’elle voyait là et elle admettait aisément : Gellert Grindelwald lui plaisait. Elle avait déjà été conquise par ses discours et ses paroles et si jusqu’à présent elle avait eu un rôle plus que secondaire dans le régime, son récent engagement dans les interrogatoires était aussi pour prouver que son nom, ou plutôt, celui de son mari, n’était pas à oublier et avait de l’importance. Naiara n’était pas seulement une Fabregas. Elle avait aussi la fortune des Herrera avec elle et une porte ouverte sur des eaux troublées par les moldus. Elle se doutait très bien que l’objectif de son entretien était aussi lié à son réseau conséquent. Gellert jouait en tout cas admirablement son rôle. Prenant les devants comme un parfait gentleman, il vient lui prendre la main et effectuer un baise main. Sourire sur les lèvres peintes de Naiara qui se laissa faire, appréçiant toujours la galanterie quand on voulait bien lui en offrir.
« Je vous en prie Naiara, appelez moi Gellert voulez-vous ? Je brûlais d’impatience de vous rencontrer. »
« Moi de même, Gellert. »
Brûler. Terme intéressant qui ne fait pas mouche. Naira sourit davantage. Elle ne lâche nullement sa main quand il l’accompagne jusqu’aux fauteuils moelleux. S’installant avec sa grâce et son magnétisme habituel, Naiara vient croiser les jambes sous sa robe fourreau bleue. Son regard se fait de la même teinte que les yeux glacés de Gellert. Elle a appris trop souvent à jouer de son don et de modifier certaines caractéristiques de son corps. Elle avait suivi une étude sur le fait que reproduire certains mots du langage de la personne sans tomber dans la moquerie attirait la sympathie. Son expérience lui avait appris que c’était exactement pareil avec son don et quand elle pouvait en user avec discrétion, elle le faisait.
La bouteille et le verre qui volent avec une facilité déconcertante la font sourire et Naiara observe le manège avec malice et amusement. Le verre rempli atterrit dans sa main et à la couleur elle reconnait le breuvage qu’il s’agissait de rhum. Elle devina aussi avant même de goûter qu’il venait tout droit de Cuba. Gellert Grindelwald n’avait probablement le don de métamorphomagie, mais il savait aussi attiser la sympathie.
Le goût lui rappelle chez elle, La Havane. Ses longs champs de tabac et de canne à sucre. Elle en possédait plusieurs avec des gens qui y travaillaient. Les Herrera avaient une histoire coloniale importante et non négligeable. Si aujourd’hui, on ne parlait plus d’esclave, leur paie restait malgré tout très faible. Le souvenir d’un verre devant l’étendue de son empire s’élevait dans son esprit alors que le liquide coulait dans sa gorge et attisait ses papilles. Jamais pourtant, elle ne quitta le regard de Gellert.
« J’ai toujours aimé le rhum cubain »
Elle n’en croyait pas un mot. Mais elle appréciait l’effort. L’homme essayait de la séduire. Elle en ferait autant, pas idiote pour un sou. Elle avait bien compris qu’à partir du moment où elle était rentrée ici, elle était devenue une femme d’affaires et lui aussi. Ils parlaient business et elle s’y connaissait sur ce terrain étant la digne héritière de Pedro Herrera qui avait toujours su faire prospérer son empire malgré la fin de l’esclavagisme qui ne datait pas d’il y a si longtemps.
Récupérant la cigarette que l’homme lui tendait, elle le remercia. Elle préférait largement ses cigares cubains mais elle n’allait pas faire la difficile. C’était le Ministre de la Magie après tout. Elle le suit d’ailleurs du regard sans aucune pudeur, se laisse volontier charmer, curieuse malgré du réel objectif de sa présence ici.
« Mon invitation vous a sûrement paru surprenante. » En effet, elle ne s’y attendait pas le moins du monde. Quand bien même Naiara savait que Lukian avait beaucoup parlé affaires avec Gellert, elle, elle n’avait toujours eu qu’un rôle secondaire, soutenant le régime bien qu’elle n’était pas d’accord avec tout. « Il se trouve que j’ai revu vos rapports suite aux interrogatoires. Et pour être honnête j’ai été frappé par leur professionnalisme. Vous êtes une femme pleine de ressources Naiara. »
Un sourire se dessine sur les lèvres de la femme qui vient alors souffler de la fumée de cigarette.
« Je suis absolument enchantée que mes rapports aient pu être utile à notre gouvernement. J’ai à cœur que votre ministère soit le plus grand possible. Je vous remercie beaucoup pour m’avoir laissé ma chance et pour ces compliments, Gellert. » dit-elle. Il y a évidemment un petit air pompeux mais pas moins honnête. Naiara pouvait être la plus hypocrite et menteuse du monde, elle avouait aisément qu’elle était malgré tout contente que ses rapports aient pu être utiles, redonnant là un peu de prestige au nom de son mari. Elle n’en restait pas moins honorée que ses efforts furent remarqués.
Elle le voit se rapprocher d’elle alors, toute aussi joueuse, elle en fait de même, son corps se penchant légèrement, le colibri au pelage bleu roi dans ses cheveux bougeant légèrement.
« J’ose espérer que vous avez bien été récompensée pour votre aide incontestable lors de ces interrogatoires. »
Récompensée ? Pas réellement non. Un manquement du Ministère ? Naiara savait qu’il y avait eu beaucoup de monde proposé et volontaire, tous désireux de trouver grâce aux yeux du Ministre. Elle ne s’attendait pas réellement à une récompense.
« Mais vous avez sûrement entendus les rumeurs, les bavures qui ont été commises ont entaché l’image du ministère ne pensez-vous pas ? »
Naiara approche son verre de nouveau et en boit un peu le contenu sans sourciller, sans quitter non plus du regard Gellert. Evidemment qu’elle avait entendu. Les Potter en première ligne et Naiara protégeait les Potter autant qu’ils la protégeaient. Déposant son verre avec grâce tout en se penchant davantage pour récupérer sa cigarette qui se consummait dans le cendrier, Naiara tira un coup dessus avant de répondre :
« J’en ai entendu parler, Gellert. J’ai cru comprendre que le Ministre de la Justice, M. Potter avait été en première ligne. Sachez que je connais très bien Henry et toute sa famille et qu’ils ont toujours été loyaux à votre cause et Henry, malgré ses bavures, a toujours cherché à trouver des réponses pour vous satisfaire. Je serais réellement peinée d’entendre qu’il se fasse réprimander alors que son unique objectif a été de vous satisfaire par tous les moyens. »
Évidemment qu’elle défendait son ami qui était le patriarche d’une famille qu’elle aimait beaucoup, mari de sa meilleure amie et alliée de toujours, père de son filleul… filleul qu’elle évitait présentement au passage.
« Mais vous avez raison, même si Henry a cherché à bien faire, lui et tous ceux qui ont pu malmener les civils lors des interrogatoires et bien qu’ils fussent dans leur bon droit parce qu’il s’agissait de vos ordres, l’image du ministère est entachée et les civils insatisfaits. » Naiara tire sur sa cigarette encore et adresse un sourire mesuré à Gellert. « Et on ne peut que les comprendre dans le fond. N’importe qui serait en colère de voir un de ses proches se faire torturer… » Elle s’interrompt et regarde longuement Gellert. Elle a bien son opinion sur la torture à vrai dire. A Cuba, c’est une réalité de tous les jours. Certains se font kidnapper et rançonner. D’autres, torturés et jetés dans la mer. Mais c’est bel et bien comme cela que les régimes moldus totalitaires restent. Elle pensa à sa belle Cuba et l’occupation américaine moldue qui lui donnait des sueurs froides et une colère bouillante. « Mais vous êtes le Père de cette Nation, Gellert. Vous trouverez bien de quoi appaiser la population. » Qui demandera sûrement des têtes qui tombent. Mais couper la tête d’Henry serait du gâchis. Il avait trop à apporter à la Confédération bien qu’il faudrait le tenir en laisse, définitivement.
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Gellert Grindelwald
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Gellert Grindelwald
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Message (ϟϟ) Sujet: Re: l'aigle et le colibri (gellert)   l'aigle et le colibri (gellert) EmptySam 13 Juin - 23:55

« Je suis absolument enchantée que mes rapports aient pu être utile à notre gouvernement. J’ai à cœur que votre ministère soit le plus grand possible. Je vous remercie beaucoup pour m’avoir laissé ma chance et pour ces compliments, Gellert. » Gellert avait calmement souris, se contentant simplement d’acquiescer, il était de ces hommes qui savaient reconnaître le talent, il savait sentir l’opportunité quand elle se présentait, raison pour laquelle son ascension avait probablement été une aussi grande réussite. Et quand il observait la naïade venue de frontières étrangères, il voyait qu’elle débordait de potentiel, il l’avait vu dans son rapport, dans les descriptions qu’il avait eu de la cubaine - aucune qui ne rendait véritablement hommage à la beautée qu’il n’avait aperçue que parfois lors de soirées huppées ou de nuits croisés aux casino -. Et il était désireux de s’entourer de sorcier proactifs, il était temps que les plans du ministère changent, temps d’accélérer la danse et de lancer la grande machine, il n’était plus qu’une questions de mois avant qu’il ne puisse mettre ses plans en marche, il le sentait au fond de ses tripes, tripes dans lesquelles il laissait couler une gorgée d’alcool.

« J’en ai entendu parler, Gellert. J’ai cru comprendre que le Ministre de la Justice, M. Potter avait été en première ligne. Sachez que je connais très bien Henry et toute sa famille et qu’ils ont toujours été loyaux à votre cause et Henry, malgré ses bavures, a toujours cherché à trouver des réponses pour vous satisfaire. Je serais réellement peinée d’entendre qu’il se fasse réprimander alors que son unique objectif a été de vous satisfaire par tous les moyens. » Un rictus rapide barrait le visage du Ministre, Henry Potter. Il avait déjà vu le sorcier, l’histoire était réglée, tendant doucement les doigts, voyant encore les fines lignes blanches du pacte qui avait été scellé avec le sang pur, il levait la main pour balayer tout ça, il ne servait a rien de revenir sur le passé, ce qui était fait était déjà irrémédiable, même pour le plus grand Mage Noir d’Angleterre. Non, c’était le passé qui intéressait Gellert, trop poussé par ses rêves pour s’arrêter sur des choses de si petites importance, la souffrance de certains n’étaient malheureusement qu’une nécessité pour porter la société sorcière vers la liberté, bientôt les esprits étriqués se refusant a sa vision du futur comprendraient et rejoindraient son église. Il en était persuadé, cependant, l’image se travaillait, elle se faisait aussi rapidement qu’elle pouvait être détruite. « Mais vous êtes le Père de cette Nation, Gellert. Vous trouverez bien de quoi apaiser la population. »

Le Ministre lâchait un rire léger, croisant les jambes en appuyant son dos sur son fauteuil, il posait le verre sur sa jambe, glissant une main a son cou pour desserrer le noeud de sa cravate. Il aspirait une nouvelle bouffée de cigarette avant de jeter le reste au feu, crachant la fumée dans un soupir discret. Ses yeux glissaient alors dans ceux de la cubaine, ils étaient doux, beaucoup trop doux, de ces regards censés vous hypnotiser, qui ne pouvaient offrir que la vérité, qui ne sauraient mentir, mais qui le faisaient pourtant naturellement, c’était bien là sa plus grande arme, son doux piège, qu’il maniait avec adresse. ”Vous me donnez beaucoup trop de crédit.” Il glissait le verre à ses lèvres, avalant une nouvelle gorgée de rhum avant de s’éclaircir calmement la gorge; ”Cependant vous avez raison Naïara, je ne vous ai pas faite venir juste pour discuter des interrogatoires. J’ai déjà entendu Potter sur l’affaire, et le directeur du service des Aurors conserve mon sincère soutien. Quelles qu’aient été les conséquences des interrogatoires, ils étaient un mal pour un bien, et je ne laisserai pas un de mes plus fidèles employés se voir reprocher d’avoir accompli sa mission, quand bien même, la violence n’est pas la réponse à tout” A vrai dire plusieurs dossiers avaient été poursuivis dans l’ombre, certains sorciers placés en filatures, des ombres pour dénicher Accio FM et leurs alliés, quels qu’ils soient. ”Cependant, certaines choses ne peuvent être réglées par la force uniquement et méritent une touche...plus délicate.” Il plongeait son regard vers Naïara, il voyait en elle une sorcière élégante, les rumeurs qui couraient autour d’elle semblaient ne jamais atteindre son image, et c’était ce qu’il désirait, ce savoir, ce talent bien particulier parmis tant d’autres. Il s’avançait alors, posant doucement son verre sur la table qui leur faisait face, il se retournait vers elle, langage corporel invitant l’autre à le suivre du regard. Il lâchait un souffle léger, n’importe qui qui serait entré dans la salle aurait noté le regard savamment lubrique, le coin des lèvres légèrement relevé, les mains tournées vers la dame dans une invitation secrète. ”Il se trouve que j’ai besoin de vos conseils. Voyez-vous, j’ai besoin de quelqu’un qui pourrait s’assurer que le ministère renvoie une bonne image au public, que les sorciers comprennent que nous travaillons pour eux et pas contre eux. Que la vision que j’ai et que je partage avec mes proches n’est pas une promesse de guerre, mais de liberté.” Il refermait alors calmement ses mains sur son verre, le finissant d’une traite. ”Vous avez toujours su entretenir votre image, je sais que vous seriez une addition extraordinaire pour notre ministère.” Le serpent s'insinue, offrant la pomme et sifflant ses ambitions. Qu’une nouvelle alliance se crée, il s’entourait de nouveaux soldats, refermait les rangs, renforçait le noyau. Être indestructible a la clé.

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Message (ϟϟ) Sujet: Re: l'aigle et le colibri (gellert)   l'aigle et le colibri (gellert) EmptyDim 14 Juin - 18:46

Gellert Grindelwald avait un rire qui ne laissait pas de doute : on avait envie qu’il vous soit adressé. Dans tout son être transpirait un charisme certain, mêlé à une domination sans limites. Oui, l’homme en imposait et l’homme travaillait son image, cela allait sans dire. Naiara n’y était pas insensible et elle avait l’œil suffisamment aiguisé pour voir comme une aura autour de lui. Sensible à l’art et aux formes de magie délicate sans pour autant que ce soit un don particulier, la femme savait reconnaitre un sorcier puissant et ayant du goût quand elle en voyait un. Gellert était de ce type et elle se laissait volontiers charmer, faisant les premiers pas de tango avec lui. Ne le lâchant pas du regard, la cubaine continua de fumer sa cigarette.
« Vous me donnez beaucoup trop de crédit. »
Probablement, mais elle considérait qu’il le méritait. Peu d’hommes de son âge arrivaient à des postes aussi importants sans avoir du charme mais surtout de l’intelligence et faire de bons choix stratégiques. Gellert était mâlin et intelligent. Cela lui plaisait contrairement au prédécesseur qu’elle avait toujours trouvé… mou. Cela n’avait rien à voir ceci dit avec son sang ou sa famille. Elle considérait les Shackelbolt comme dignes après tout, après tout, celui qui avait été détrôné était quand même arrivé aux plus hautes sphères de la société sorcière. Mais elle reconnaissait qu’en ces temps troubles où la guerre moldue faisait rage et menaçait leur système à eux, sorciers, il fallait quelqu’un dont la main était plus ferme, les idées plus protectrices et nouvelles. Et Gellert était l’homme parfait d’autant plus qu’il charmait véritablement les foules, à commencer par elle.
« Cependant vous avez raison Naïara, je ne vous ai pas faite venir juste pour discuter des interrogatoires. J’ai déjà entendu Potter sur l’affaire, et le directeur du service des Aurors conserve mon sincère soutien. Quelles qu’aient été les conséquences des interrogatoires, ils étaient un mal pour un bien, et je ne laisserai pas un de mes plus fidèles employés se voir reprocher d’avoir accompli sa mission, quand bien même, la violence n’est pas la réponse à tout. »
Elle acquiesce, parfaitement d’accord avec lui. Henry avait voulu faire du bon travail mais la violence n’est pas toujours la solution. Si elle se rappelait bien en plus, il avait eu deux femmes dans sa salle. Les menacer verbalement aurait sûrement suffit. Naiara ne savait que trop bien qu’à partir du moment où il avait levé la main sur elle, il y aurait des conséquences, la société n’acceptant pas que les femmes considérées comme fragiles, soient à ce point malmenées. Et inévitablement, cela rejaillissait sur l’image du ministère. Mais Henry n’avait pas été le seul parait-il. Gellert devait donc gérer une possible crise au sein de sa population. Des émeutes ne seraient pas bon non plus pour l’image, d’autant plus que c’était ce qu’il s’était passé avec l’arène. Souvenir qui la fait frissoner.
« Cependant, certaines choses ne peuvent être réglées par la force uniquement et méritent une touche...plus délicate. »
Elle hausse un sourcil et sourit, amusée. Le langage corporel de Gellert change et elle y est tout de suite sensible. Son langage à elle s’adapte aussi et elle y répond, ne le quittant pas des yeux. Elle vient récupérer son verre et boit de nouveau tout en l’écoutant.
« Il se trouve que j’ai besoin de vos conseils. Voyez-vous, j’ai besoin de quelqu’un qui pourrait s’assurer que le ministère renvoie une bonne image au public, que les sorciers comprennent que nous travaillons pour eux et pas contre eux. Que la vision que j’ai et que je partage avec mes proches n’est pas une promesse de guerre, mais de liberté. »
Elle savait exactement où il voulait en venir et elle l’admettait aisément : cela gonflait son égo. Elle ne s’était cependant jamais imaginée conseillère directe du Ministre mais l’idée était particulièrement plaisante d’autant plus que maintenant son mari n’était plus là.
« Vous avez toujours su entretenir votre image, je sais que vous seriez une addition extraordinaire pour notre ministère. »
Naiara sourit pleinement. Elle sait cependant qu’elle doit mesurer ses propos. Accepter tout de suite serait bien vu mais trop facile. Refuser était impossible et fou de sa part. Et elle avait ses conditions malgré tout.
« Je serais absolument honorée Gellert de vous conseiller sur certains sujets. J’espère cependant que vous n’ignorez pas que je ne suis pas native de cette île et que quelques… subtilités anglaises me manquent. » Elle laisse échapper un rire charmant, l’humour au bord des lèvres. « Nous avons un point commun, je crois bien. »
Elle rit encore avant de tirer sur sa cigarette et boire un peu.
« Je suis toute disposée à vous offrir mes services en tant que consultante. Cependant, comme vous le savez sans doute, j’ai à cœur de garder une certaine vie familiale. Mon aîné bien rentre à Poudlard en septembre mais il me reste ma plus jeune fille qui n’est pas encore en âge. Et vous imaginez qu’avec le départ de mon mari, je dois m’organiser. »
Détail qui avait son importance pour Naiara qui restait une mère de famille quoiqu’on en dise et malgré les rumeurs sur elle.
« Je m’organiserai aussi avec mon esclave pour gérer ma galerie en mon absence. » Bien qu’elle ne comptait pas arrêter son activité aussi facilement. Elle était prête à offrir ses services au Ministère de la magie mais pas à sacrifier sa propre créativité. Expiration de la fumée de cigarette « Quand souhaitez-vous que je commence à vous conseiller ? Et j’imagine que vous avez déjà quelques tâches en tête ? » Elle a d’autres questions, notamment de savoir si elle aurait un bureau au ministère même ou pas et comment voulait-il lui s‘organiser avec son emploi du temps bien chargé.
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études : Quelques années a Durmstrang, d'autres dans des voyages sans but
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Message (ϟϟ) Sujet: Re: l'aigle et le colibri (gellert)   l'aigle et le colibri (gellert) EmptyJeu 2 Juil - 21:00

Aux jeux de pouvoir il y avait une douce subtilité, une séduction continue dont Gellert maîtrisait les règles. Il en était maître dans cette pièce, pourtant dansant constamment dans une mascarade savamment dessinée par les années passées à préparer son ascension. Gellert n’était pas un homme qui était arrivé au pouvoir sur un coup de poker, contrairement à ce que certains se perdaient à penser. S’il était avant invisible dans le paysage Britannique, il avait appris à s’y faire son nid, se préparant peu à peu a prendre ce qui lui revenait. Et maintenant qu’il l’avait, il savait que le garder serait encore plus complexe. Risquant à chaque erreur de perdre la couronne placée sur sa tête par des sorciers ambitieux, s’il avait acheté au fil des années la loyauté de certains sujets, il savait bien qu’il devait maintenant s’entourer de nouveaux visages, changer l’image du ministère, et quoi de mieux qu’une femme à un poste aussi précieux. Un message silencieux qu’il envoyait à ceux qui ne voyaient en lui qu’un tyran. Alors il observait calmement la cubaine, la proposition avait été faîte, à elle de décider si elle était prête à s’élever au dessus de la plèbe pour rejoindre les côtés du maître. Sourire léger sur les lèvres retroussées, il se perdait à lâcher sa cravate, le regard planté dans celui de la cubaine.
fou de sa part. Et elle avait ses conditions malgré tout.

« Je serais absolument honorée Gellert de vous conseiller sur certains sujets. J’espère cependant que vous n’ignorez pas que je ne suis pas native de cette île et que quelques… subtilités anglaises me manquent. Nous avons un point commun, je crois bien. » Un rire léger échappait des lèvres du Bulgare, un clin d’oeil s’échappait alors que ses lèvres se posaient sur sa cigarette. ”Cela ne m’a pas arrêté” Bien au contraire, venant d’ailleurs ils avaient une vision du monde bien différente de celle des Britanniques qui a son avis étaient bien trop enfermés sur leur propre royaume, fermant les yeux aux menaces extérieures et il s’était fait un malin plaisir de saisir le pouvoir de ceux qui jugeaient les étrangers inférieurs avec une facilité déconcertante. « Je suis toute disposée à vous offrir mes services en tant que consultante. Cependant, comme vous le savez sans doute, j’ai à cœur de garder une certaine vie familiale. Mon aîné bien rentre à Poudlard en septembre mais il me reste ma plus jeune fille qui n’est pas encore en âge. Et vous imaginez qu’avec le départ de mon mari, je dois m’organiser. » Le sourire ne quittait pas les lèvres du Ministre, s’abreuvant des paroles, il ne put s’empêcher de se mordre la lèvre inférieure, la femme était assez intelligente pour ne pas se jeter aveuglément entre les serres de l’aigle, c’était encore une fois quelque chose qui le confortait dans sa décision. Elle serait parfaite à ce rôle. Il n’en doutait pas, aussi s’arrangerait-il pour lui faciliter les choses. Après tout, sans son mari elle était bien vulnérable, d’ailleurs il ne put s’empêcher de se demander comme Lukian avait pu abandonner une telle beauté. Et pourtant la rose savait probablement se parer de ronces, traversant les jours avec une grâce inégalée, sans craindre les murmures autour d’elle, femme laissée, abandonnée, les rumeurs qui couraient n’intéressaient pas le ministre, il les balayait bien rapidement, s’était même permis quelques fois de punir ceux qui les laissaient glisser dans les couloirs de son ministère. Le pouvoir n’avait pas de temps à accorder aux enfantillages en ce genre. « Quand souhaitez-vous que je commence à vous conseiller ? Et j’imagine que vous avez déjà quelques tâches en tête ? » Le ministre restait silencieux que quelques secondes, remplissant les verres, il s’asseyait sur la table en verre face à elle. Les yeux glissant sur son visage, il buvait quelques gorgées du breuvage, décidemment il n’aimait pas le rhum, pourtant ne laissait rien passer. ”J’aimerais que vous commenciez au plus vite. Disons après la rentrée de Poudlard ? Que vous puissiez avoir le temps de préparer le grand jour pour votre fils.” Tendant la main, image d’un homme qui reconnaît les valeurs familiales et leur importance, et peut-être était-ce un trait qu’il ressentait sincèrement, se demandant presque s’il ferait un jour partie de ceux qui conduisaient leur descendance dans le château, enfin, si jamais ce jour arrivait son fils serait à Durmstrang, qu’il ai au moins une chance de réellement apprendre la magie. ”Quand a votre première mission, Vous avez sûrement lu l'édition de la gazette suivant les élections. Protéger mes employés en leur discernant le titre d'Héros de l'Etat était une nécessité, pourtant elle réveillera les ferveurs de ceux qui se proclament victimes. Je veux régler cette histoire une fois pour toute, que ces sorciers soupçonnés soient vus comme une gangrène à nettoyer” La voix se faisait calme, posée, il buvait calmement avant de reprendre. ”De plus j’aimerais que les sorciers comprennent le but de ce régime, il n’est pas dans mes projets de soumettre les sorciers, mais de les libérer de l’étaux imposé par les moldus.” Ligne conductrice de ses décisions, enrobant son désir d’asservir les sans-magies. Cependant il fallait trouver un moyen de le dire sans risquer de choquer les bonnes gens qui refusaient de voir en cet esclavagisme passager la nécessité de montrer la supériorité des sorciers.
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Naiara Fabregas
coalition sorcière
Naiara Fabregas
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études : a étudié à Castelobruxo de 1880 à 1886, a organisé son emploi du temps pour suivre aussi les cours de danse magique au Brésil
particularité : métamorphomage, son corps fait partie de son art.
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Message (ϟϟ) Sujet: Re: l'aigle et le colibri (gellert)   l'aigle et le colibri (gellert) EmptyDim 5 Juil - 19:01

La sensualité de Gellert Grindelwald transpirait de tous les pores de sa peau. Peu d’hommes assumaient complètement leur sensualité devant les femmes, devant les hommes aussi. Trop souvent refoulé, jamais embrassé et c’était peut-être cela qui faisait la différence chez Gellert Grindelwald. Même Naiara n’y était pas insensible et surtout appréciait, ne pouvant s’empêcher de se demander si la manipulation ne dépassait pas un peu la réalité… ce qui gonflait son égo, elle l’admettait aisément. Son regard s’attarde sur la cravate qu’il dessert un peu. Le sourire charmant de Naiara s’agrandit. Ne pas accepter trop vite, telles étaient les bases d’une bonne négociation. Naiara se devait malgré tout d’être prudente. Sans Lukian, elle restait une cible de convoitise malgré tout et tout ce qui comptait pour elle dans le fond, c’était le bonheur et la sécurité de ses enfants. Mais Naiara était la fille de Pedro Herrera et avec cet homme les affaires étaient dures. Elle avait trop appris de lui et beaucoup de choses seraient à ses conditions que Gellert le veuille ou non. De toute façon, elle avait bien compris qu’il avait besoin d’elle. Elle, pas nécessairement.
« J’aimerais que vous commenciez au plus vite. Disons après la rentrée de Poudlard ? Que vous puissiez avoir le temps de préparer le grand jour pour votre fils. »
Elle acquiesce et semble réfléchir. Cela lui semblait bien. De toute façon, le mariage d’Antarès Black et Astoria Potter approchait à grand pas et Naiara ne pourrait pas s’occuper d’autre chose en plus de ses enfants et de la galerie.
« Dans ce cas, je pourrais commencer l’après-midi du 1er septembre. Le temps de m’organiser aussi auprès de ma plus jeune fille. Mais vous pouvez compter sur moi à partir du 1er septembre. » s’engaga-t-elle en y ayant réfléchit rapidement.
Cela lui semble cohérent et possible pour elle de se retourner et de se préparer. Naiara vient terminer son verre tranquillement en écoutant l’homme assis sur la table basse, près d’elle en somme.
« Quand a votre première mission, Vous avez sûrement lu l'édition de la gazette suivant les élections. Protéger mes employés en leur discernant le titre d'Héros de l'Etat était une nécessité, pourtant elle réveillera les ferveurs de ceux qui se proclament victimes. Je veux régler cette histoire une fois pour toute, que ces sorciers soupçonnés soient vus comme une gangrène à nettoyer »
Naiara acquiesce. Il est vrai que si elle en avait lu le journal, la nomination d’henry au poste d’Héros de l’Etat allait poser problème mais était nécessaire pour la bonne image du gouvernement. La cubaine commença à réfléchir à des idées. Il faudrait une contre-partie pour ces familles. Il était évident que le gouvernement avait voulu obtenir des réponses quant aux attaques terroristes de l’arène, mais si elle en croyait ce qui se disait et les rumeurs, nombre de ceux qui avaient été interrogés étaient innocents malheureusement.
« De plus j’aimerais que les sorciers comprennent le but de ce régime, il n’est pas dans mes projets de soumettre les sorciers, mais de les libérer de l’étaux imposé par les moldus. »
Et de cela, Naiara en était plus que d’accord. Cela lui fit penser à son entrevue avec Archibald. Malheureusement, il n’aurait pas sa place dans ce régime. Mais il restait malgré tout une victime de cette dernière en ayant perdu son emploi.
« Je vais réfléchir à quelques solutions pour apaiser ces esprits en colère, Gellert. Je reviendrais bientôt avec des propositions. »
Naiara se lève donc avec grace et vient déposer le verre à côté de Gellert en lui souriant, charmeuse comme toujours. Elle se redresse et lui tend la main pour la lui serrer, comme un homme.
« Gellert, sachez que je suis absolument ravie de pouvoir travailler avec vous. Je pense très sincèrement que vous êtes un espoir pour la communauté magique et vous pouvez compter sur les ressources de ma famille dans votre objectif. »
La cubaine marqua une pause.
« Je ne vais pas plus longtemps prendre votre temps. Je vous remercie chaleureusement de m’offrir cette opportunité. » conclua-t-elle.
Elle le laissa la raccompagner à la porte et la cubaine disparut dans les couloirs du Ministère qu’elle foulera bientôt en tant qu’employée officielle, l’espoir plus que jamais vivace que Gellert Grindelwald était la bonne solution.
RP terminé
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