AccueilAccueil  RechercherRechercher  MembresMembres  Dernières imagesDernières images  S'enregistrerS'enregistrer  ConnexionConnexion  
INFORMATION IMPORTANTE
FERMETURE DU FORUM
Annonces
FERMETURE DU FORUM
INFORMATION IMPORTANTE
FERMETURE DU FORUM
Le Deal du moment : -28%
Brandt LVE127J – Lave-vaisselle encastrable 12 ...
Voir le deal
279.99 €
anipassion.com

Partagez
 

 (-18 - thelas) fold out your hands, give me a sign

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas 
Aller à la page : Précédent  1, 2
AuteurMessage
Atlas Flamel
ordre du phénix
Atlas Flamel
crédits : Jenesaispas pour l'avatar ; henry (aesthetic familial en signa) ; prudence (image dans le profil)
face claim : henry cavill
pseudo : nutcracker
(-18 - thelas) fold out your hands, give me a sign - Page 2 200718090900190332
études : A commencé ses classes à Beauxbâtons et terminé avec les ASPICS de Poudlard (Serdaigle, 1897-1899)
particularité : Animagus panthère noire (marque au-dessus de la patte arrière gauche)
(-18 - thelas) fold out your hands, give me a sign - Page 2 Empty
Message (ϟϟ) Sujet: Re: (-18 - thelas) fold out your hands, give me a sign   (-18 - thelas) fold out your hands, give me a sign - Page 2 EmptyMar 5 Mai - 22:29

Ce sera Théa Flamel. Bonheur qui arrive enfin. Les mains d’Atlas se font douce autour de celles de la promise lorsqu’il passe la bague de fiançailles. Prélude, répétition du moment où un autre anneau viendra témoigner de leur amour aux yeux du monde. Il aimerait hurler son bonheur sur tous les toits, ne parvient pas à imaginer combien de lettres, de faire-part devront être envoyés. Il se sent ivre de bonheur. Théa est trop loin de lui-même quand ils s’embrassent. Embrasement des sens. Pensées qui vagabondent. Son épouse. Théa Flamel. Douce mélodie, mille fois préférée à l’image de Théa Malfoy, veuve distante, glace qui a fondu sous son ardeur. Il lui rend fougueusement ses baisers, tenant dans sa main la menotte qui porte l’anneau. Il a aimé le bijou dès le premier regard, tout comme elle lui a plu, elle, dès le soir où ils se sont retrouvés dans cette réception. Il avait aimé son port altier, ses yeux expressifs, le soin apporté à une coiffure qu’il devinait à la mode mais un choix personnel. La suite n’avait été que délices, découvrant une femme qui lui semblait brillante, lumière près de laquelle venir faire fondre ses ailes. Il faudrait que leurs lèvres ne se quittent plus, que leurs peaux se rejoignent sans les vêtements. Déjà, ses mains cherchent les boutons, les laçages de la robe qui dépose des feuilles partout sur sa fleur.

Il se reprend, le souffle court, yeux dilatés, empreint de désir. Changement majeur par rapport aux étreintes de la veille, ce sourire triomphal sur ses lèvres, ce bonheur sans retenue. Il s’écarte doucement, embrasse une main, la main. « Excuse-moi, j’oublie qu’on a toute la vie pour ça, désormais. » Il ne retient pas un autre baiser, dans le cou. Il faut qu’il s’arrête, sinon il n’en sera plus capable. Il tire la chaise derrière elle, galant, amoureux, volant le contact d’une main dans son dos.

Qu’elle leur ait préparé quelque chose l’émeut plus qu’il n’oserait le dire. Il a si peu eu de telles petites intentions depuis son retour des Indes. Son épouse se faisait un plaisir de se mettre derrière les fourneaux mais il leur avait été rappelé qu’on comptait sur eux pour avoir des domestiques, fournir des emplois. Du reste, il ne la trouvait jamais aussi charmante que les mains salies de terre, ayant veillé sur ses plantes. « Merci. » soufflé en se penchant au-dessus de la table pour voler ses lèvres. Il leur sert du thé. Elle l’a donc attendu ? Toute attention le remplit de tendresse. C’est terrible, cette sensation de rendre les armes, de vouloir se blottir contre elle, créer un refuge pour leur amour, et l’envie de le crier, de le rendre plus vivant si possible en le partageant. Il sert le thé, tend ses couverts et une assiette. Par où commencer ? Aucune envie de parler de l’entrevue avec Christian, mais il le faudra bien.

« J’ai hâte qu’on puisse en parler. Il faut qu’on pense à enlever ta bague avant que tu ne rentres. Je suis sensé venir au manoir Malfoy te demander ta main. Ce sera l’occasion de voir tes appartements, visiblement ton paternel n’avait aucune envie que nous y mettions les pieds. » Il n’avait pas pu découvrir les cendres de sa lettre ? Christian aurait été plus frontal. Atlas imagine pourtant mal ce qu’il y aurait à cacher d’autre. Théa aurait-elle quelque chose de compromettant ? Elle n’aimait pas assez Arctus pour en garder des souvenirs partout dans sa chambre. Du reste, il a bien installé un laboratoire de nécromancie dans sa cave. Ce sera charmant, de jouer ce jeu ensemble. Ils auront une excuse pour se tomber dans les bras. « Je ne sais même pas à qui j’ai envie de l’annoncer en premier. Tu vas arriver en terre promise. Pluton et Moon t’aimaient déjà sur le simple fait que tu me faisais sourire quand je leur parlais de toi. Mes parents rêvaient d’une bru … » il s’interrompt. Ce serait grossier pour elle de lui dire qu’ils seront contents qu’il choisisse une femme au sang pur. Promesse de pacification avec le côté de la famille Quirrel, avec les Rosier aussi. Père et mère qui se réjouiront pour de mauvaises raisons. Le sourire de Théa seul devrait les pousser à l’aimer. Atlas se sent une envie de la garder jalousement près de lui. Passent encore Moon et Pluton, leurs amis. Mais ni Christian Malfoy ni ses géniteurs ne devraient approcher de leur amour. Il se demande ce qu’il en sera s’ils doivent avoir des enfants. Doivent avoir ? Ridicule, ils en auront. Tôt ou tard. Il se sent optimiste. Ca n’a pas marché avec Artcus, pour des raisons qui lui semblent évidentes. Margot avait d’autres problèmes. Ses pensées s’assombrissent. Impression d’avoir failli avec elle. Il tombe tout prêt dans les bras de Théa parce qu’une autre fut là pendant qu’il parcourait le monde, mettait muscles et baguette au service de ce qu’on lui demandait de défendre. Qu’elle le réconfortait lorsqu’il rentrait groggy, à demi épuisé de longues traques dans la jungle. Rarement pour du gibier. Oh, Théa devra bien supporter ses cauchemars. Il faudrait qu’il trouve un moyen de les gérer, il a eu si peur de la blesser la nuit dernière. « Je pense que tu pourrais aimer Drusilla, ma marraine. Pas sûr que Potter te plaise, mais je ne compte pas vous laisser seuls tous les deux. »  Potter, Barbe-Bleue des temps modernes. Sans parler d’Amos Gaunt. Décidément, il ferait tout aussi bien de garder Théa près de son cœur et veiller à ce que personne ne touche à un seul de ses cheveux.

Cheveux qu’il replace. Il aime ces mèches rebelles devant ses yeux, mais plus encore plonger dans ceux-ci. Elle est ravissante, les cheveux lâchés. Il a déjà du lui faire tant de compliments. Il lui semble qu’il s’appauvrit à les prononcer tant, qu’ils perdent en éclat. « Il y a tant de choses à prévoir … Il faut que tu me dises, ma douce. Ce qui te ferait plaisir. Je veux dire, pas uniquement pour le mariage, la cérémonie. Ce n’est pas notre premier mariage mais j’entende bien que ce soit le dernier. » A quel point avait-elle pu décider dans sa vie avec Arctus ? Ils ne se connaissaient pas assez bien à l’époque pour qu’il ait été invité. De toute manière, il état loin. Au Cap, à Prétoria. Les lettres qu’il recevait de ses proches le laissaient toujours incroyablement surpris. Ainsi donc, les feuilles tombaient, la neige pointait. Il vivait sous un soleil écrasant, sous un temps qui brûlait la peau mais n’imprimait pas la conscience des jours qui passaient. « Même après. Je ne sais pas si tu voudrais vivre chez moi ?Peut-être l’endroit t’évoque-t-il de mauvais souvenirs ... Peu m’importe que ce soit à Londres, au pire je prendrais la poudre de cheminette pour me rendre à la boutique. » Ce serait dommage. Pour les occasions de sortir tous les deux, si la situation ne se dégrade pas trop vite. Rêves d’emmener Théa à tous les concerts qu’ils pourraient aimer écouter, et partout où elle le voudrait. Pour la maison, qu’il avait aimée dès le premier regard, refuge parfait pour panser ses blessures, tanière idéale pour y ensevelir son chagrin. La verrière, promesse de conserver les plantes de Margot en attendant qu’elle puisse venir les voir. Ce n’est qu’à grand peine qu’il avait rangé les affaires récupérées d’elle au grenier. Elle pourrait en avoir besoin. Il faudrait … S’en débarrasser. Avant même que Théa ne songe à venir. Il avait gardé l’alliance, les photos de mariage, près de lui et tenait à les conserver. Loin d’eux s’il le fallait. « Prends le temps d’y réfléchir, nous avons plusieurs mois de fiançailles pour en parler. » Pensée qui lui réchauffe le cœur. Il oublierait presque cette guerre qui se déclare chez les moldus et lui semble un si mauvais présage. En parler maintenant gâcherait leur bonheur. Il se referme. Perd un peu la notion du temps en contemplant le visage de sa future épouse. Combien d’années qu’il n’a pas pensé à cela ? La guerre moldue pourrait lui enlever Théa, dommage collatéral toujours possible. Il ne pourrait pas le supporter. Il faut qu’il trouve une solution. Liste des il faut, liste du devoir, qui s’allonge sans cesse.

« Dis, ma douce … Il faut tout de même que je te parle de l’entrevue avec ton père, et il me semble préférable que je t’en fasse connaître la teneur. Après lui avoir exposé que je voulais t’épouser -et vu son air réjoui – j’ai employé quelques termes … Indélicats à ton égard. Notamment sur … Ton absence d’enfant ? Je suis désolé. Je ne peux pas te reprocher quoi que ce soit et j’aurais pris un rôle de beau-père s’il l’avait fallu. Je suis d’autant moins disposé à te jeter la pierre que moi-même … » Les yeux de Théa se sont mouillés, il en jurerait. Il lui prend maladroitement la main. Sujet plus sensible pour elle que son père. « Je suis désolé, Théa. Je ne le pensais pas. Je ne voulais pas qu’il pense que la partie était acquise et qu’il se débarrasserait de toi au rabais. J’ignore s’il t’en parlera, et j’aimerais autant ne pas te rapporter tout notre échange. Je ne pensais rien de ce que j’ai dit. Je t’aime. Je me réjouis de t’épouser. Je voudrais que l’argent de ma petite négociation puisse te revenir sitôt que nous serons mariés, parce que … Si jamais les choses doivent prendre un autre tournant, à cause des événements actuels … » Les mots qui viennent lui coûtent. « Je voudrais que si tu doives encore te remarier, tu sois toute libre de tes choix. »
Revenir en haut Aller en bas
Théa Flamel
ordre du phénix
Théa Flamel
crédits : abel love (avatar) // prue da best (signa) // pisces (profil)
face claim : dianna agron
pseudo : pisces, clémence
(-18 - thelas) fold out your hands, give me a sign - Page 2 XcMwJDA8_o
études : fière serpentarde, préfète et préfète en chef de son état, de 1895 à 1892
particularité : aucune
(-18 - thelas) fold out your hands, give me a sign - Page 2 Empty
Message (ϟϟ) Sujet: Re: (-18 - thelas) fold out your hands, give me a sign   (-18 - thelas) fold out your hands, give me a sign - Page 2 EmptyMer 6 Mai - 3:12

Quand on s’imagine toute sa vie appartenir à une entité, déconstruire cet imaginaire est une tâche ardue. Théa s’en accommode pourtant sans difficulté. Car le cocon malfoy est fissuré depuis longtemps, abîmé au point que la coque du bateau fuit, menace de noyer ses membres, l’abandonner au large, alors qu’ils monteraient dans le canot de sauvetage. Sans elle. Elle appartenait à un ailleurs sans mettre le doigt dessus, il était loin, si loin, cet avenir dont elle ne trouvait pas la couleur. Et puis, l’explosion a prit un nom, quelques lettres qui dansent sous ses yeux pour bientôt composer son identité. Flamel. En français, on entend Flamme, et c’est vrai qu’elle danse de joie, bien au creux de son coeur là où personne ne peut la voir. Elle devient chaleureuse et lumineuse, brûlante et dévorante grâce à lui, pour lui. Elle fond, souvent, sous son regard et sous ses lèvres, qu’elles l’embrassent ou la complimentent, l’effet est le même, elle se perd. Pourtant, si on la renverse, elle peut tout détruire, un coeur, une âme, une maison, qui sait ? Enfin, sans oxygène, la flamme se meurt, tout comme son âme lorsqu’il disparaît loin de son corps décharnée. Lorsqu’on dit que quand on aime, on a parfois du mal à respirer, c’est souvent ce qu’elle vivait lorsqu’ils se disputaient, mais aussi quand il s’aimaient. Il lui coupait le souffle, jamais dangereusement, jamais violemment, jamais pour la blesser. Non, il ne savait que lui rendre ce qu’elle lui donnait, et désormais, elle ne lui offrirait que son amour, car il n’y avait que ça qui les animaient.

A chaque fois qu’il l'étreint, elle se sent partir dans ce que la luxure avait de meilleur, surement parce qu’elle n’en était pas encore rassasiée, si tenté qu’elle le puisse un jour. Alors qu’il encercle ses lèvres des siennes, sa bouche se fait aventureuse, elle ne se lasse pas de la façon dont leurs peaux frissonnent au contact de l’autre, de sa façon de réagir lorsqu’elle tente une simple caresse, comme si elle lui offrait le plus tendre des cadeaux, et ce corps qui veut se fondre contre elle, en elle, encore, toujours, bonheur qu’elle voudrait lui offrir à chaque instant, mais elle sait aussi qu’il y a de ces choses qui peuvent attendre. Il semble s’en rendre compte alors que sa tenue est un peu défaite, elle aussi aurait donné tant pour partager ce moment charnel devant les reflets de la mer, cependant, ils devaient manger, parler, reprendre une vie loin des draps, tout en gardant bien en tête que vite, ils y retourneront avec plaisir. Sa bouche est une caresse contre son épiderme, quelques frissons, des souvenirs fugaces de ce qui les entraînent lorsqu’ils s’emportent dans cette tendresse, et alors ses iris deviennent aussi affamées que les siennes. Oh, pas du plat qu’elle a préparé, non, mais bien de lui, tout entier.

Pour elle, la plus belle vue, mais elle se détourne de l’eau pour voir sa mer à elle, étendu interminable qui l'obsède depuis qu’elle a croisé ce regard océan. Et la façon dont il la couve la fait rougir, ses attentions la troublent parfois, elle ne sait comment accepter telle dévotion. Même si la sienne est la même. Mais lorsqu’il parle de ses appartements, son sourire s’effondre, elle se cache presque sous ses cheveux. “J’ai peut être… Détruit une chose ou deux lorsque mon père m’a annoncé qu’il avait des prétendants pour me marier…” La vérité. Rien que la vérité. La confession tombe lourdement, elle sait comme elle semble instable, incontrôlable. Menteuse, obsessionnelle, espionne, colérique, lunatique, que manquait-il au tableau des fuites possibles ? Pourtant, il restait vissé à sa chaise. Il lui parle même d’avenir alors qu’elle enserre cette bague qui fait d’elle une nouvelle femme. Même pour quelques heures, elle se sent incapable de la quitter. C’est la symbolique qu’elle lui appartient, qu’elle est à lui, et lui à elle, elle ne veut pas quitter cet état de fait. “Je suis douée avec les parents ne t’en fais pas, ils vont m’apprécier. N’est pas né Malfoy qui veut.” Cela semble pédant, c’est pourtant la vérité, elle sait être rassurante et convaincante quand on ne la connait pas trop. Le nom de Potter la fait frémir, elle se souvient encore de son entretien, adolescente, passé par le père Henry, terriblement malveillant. Si certains hommes n’étaient pas fait pour être marié, c’était encore pire avec le statut de père. “Je la connais un peu, j’étais la préceptrice de Lyrae pendant plusieurs années. Nous sommes restés proches toutes les deux. Une élève brillante, une enfant charmante. C’est un foyer particulier.” Elle ne s’étend pas sur le sujet, ne connaît pas son avis sur Henry Potter, et elle sait qu’il est de ces hommes qu’elle préfère éviter que juger, au risque de se retrouver pendue ou au bûcher.

Il lui offre tant de choix auxquelles elle n’avait pas pensé, le coeur lourd, elle s’attache à ce souvenir à quel point Atlas est extraordinaire sur des tas d’aspects. Sa voix est basse, parce qu’il aventure à nouveau une main dans ses cheveux, ça la pertube si facilement ce toucher léger, elle l’aime tant, et si tenté qu’il frôle simplement son nez, elle se nourrit de sa présence, et son odeur si unique. Son esprit veut crier qu’elle l’aime à chaque seconde, mais il ne lui semble pas très raisonnable d’agir ainsi. “Je… Je n’y ai pas vraiment réfléchi. Je pense que je sentirais chez moi tant que tu es avez moi. Ici, ailleurs, peut m’importe.” Elle se rapproche, sert sa main avec tendresse. “Mais, mon amour, sache que je ne veux pas que tu imagines que ta demeure est pour moi un mauvais souvenir. C’est un lieu que je chéri parce qu’il fait parti de notre histoire, et que c’est là que j’ai vraiment compris que je t’aimais, avant même que ça franchisse mes lèvres. Et puis, on pourra recréer des souvenirs plus aimable que des mains qui me serre sur ce canapé." Son sourire se fait mutin, elle caresse sa main par des arabesques sans y penser, le coeur gonflé d’amour, et le corps brûlant du sien. Encore, toujours.

Des mois… Elle tremble un peu, maintenant terrifiée à l’idée d’être trop longtemps séparé de lui, ou pire encore, d’être coincée sur le territoire Malfoy. Elle veut lui crier de la rendre Flamel maintenant, mais ce n’est pas très conventionnel. “Est ce que je vais devoir rester là bas ?” Le son habituellement cristallin s’effondre et se brise, au bord des larmes. Elle veut le supplier de la sauver de ce trépas, elle n’arrivera pas à en tolérer plus.

Puis, il utilise des mots maladroits, ceux pour expliquer combien il lui a couté de devoir la dévaloriser. Il cite Orion sans le dire, sa main se place derechef sur son ventre désespérément vide, incapable de l’emmener à l’accouchement. “J’ai un enfant.” Trop dur pour elle d’entendre qu’Orion, son fils, une part de son âme, est détaché d’elle. “Il n’est simplement pas vivant.” Enfermé dans une tombe de fortune, petit foetus qui n'a pas eu le temps de découvrir le soleil. Les larmes s’écoulent sur ses pommettes, si elle avait pensé pleurer son enfants le jour de ses nouvelles fiançailles, elle n’y aurait pas cru. Pourtant, elle sait que ce n’est pas ce qu’il pensait. Elle le sait. Mais c’est comme une tâche qu’on connait bien, elle ne disparait que si on la retire, alors elle le rappelle. Pour lui, pour elle, pour se dire je suis mère.

Tous les efforts qu’il a appliqué pour tenter de protéger son coeur sont vains. Alors, elle sait que ça va lui couter, mais elle doit se battre à armes égales avec Christian à son retour. “Dis moi Atlas.” Pas de surnom, pas de tendresse, simple nécessité qui laisse couler des perles salées sur ses joues. “Il vaut mieux que je l’entende par toi plutôt qu’il tente de l’utiliser contre moi.” Drôle de vision d’un père, quand on y pense. Mais c’est l’ordre de l’habitude, quand on est Malfoy. Oh, Merlin, vivement qu’elle devienne Flamel !
Revenir en haut Aller en bas
https://forthegreatergood.forumactif.com/t398-moitie-lame-moitie https://pin.it/6BDxfZQ
Atlas Flamel
ordre du phénix
Atlas Flamel
crédits : Jenesaispas pour l'avatar ; henry (aesthetic familial en signa) ; prudence (image dans le profil)
face claim : henry cavill
pseudo : nutcracker
(-18 - thelas) fold out your hands, give me a sign - Page 2 200718090900190332
études : A commencé ses classes à Beauxbâtons et terminé avec les ASPICS de Poudlard (Serdaigle, 1897-1899)
particularité : Animagus panthère noire (marque au-dessus de la patte arrière gauche)
(-18 - thelas) fold out your hands, give me a sign - Page 2 Empty
Message (ϟϟ) Sujet: Re: (-18 - thelas) fold out your hands, give me a sign   (-18 - thelas) fold out your hands, give me a sign - Page 2 EmptyMer 6 Mai - 22:13

Détruit une chose ou deux. Idée qui le fait sourire, alors qu’il faudrait peut-être s’en inquiéter. Atlas est-il trop léger ou sur un nuage pour ne pas s’appesantir dessus ? Elle lui plaît tant qu’il en oublie des précautions élémentaires. Il devrait s’inquiéter qu’elle puisse être dangereuse, lorsqu’elle est en colère comme elle l’était la veille. N’a-t-il pas exagéré sa capacité à cadrer les choses ? Lui qui par ailleurs a bien besoin de cadre ? Il ne s’attarde pas. Pas plus qu’elle. Note vaguement qu’elle connaît les Potter. Marraine s’en sera faite une idée, qu’il brûle d’entendre. Rencontre intéressante. Il aimerait frotter le caractère de Théa à ceux de tous ses proches. Gommer des aspérités, s’assurer d’une belle entente. Il faut qu’elle s’intègre parfaitement à sa vie, ils sont si épris l’un de l’autre. Il ne doit rien avoir autour d’eux que du soutien à leur amour. Le reste ne l’intéresse pas, le fâcherait, vexerait ego et certitudes. Lyrae comme pupille ? Peut-être cela explique-t-il cette froideur qu’il aimait chez la veuve et déteste chez la gamine. Quelque chose d’altier, très attirant pour ses origines d’homme élégant qui y reconnaît des pairs. Et chez Théa, quelque chose d’attirant pour d’autres raisons, l’envie de possession, de la défaire d’un petit air suffisant et maîtresse d’elle-même. Réussi quelques fois. Pensée polissonne qui appelle à recommencer quand ce n’est pas le moment. Sans doute leur amour deviendra-t-il plus paisible, eau qui reprend une surface lisse après avoir été battue de houle, mais il n’a pas hâte que ces années-là soit passée. Chaque frémissement de désir le fait sentir vivant. Il n’avait plus vécu que de chasse et de l’amourette avec Minerva pour retrouver ce sentiment. Être choisi, choisir, posséder, être conquis.

Acquiescements. Les mots parviennent lentement, il doit lutter pour arrêter le fil de pensées qui n’ont pas leur place. Il faut (encore un il faut) qu’il l’alerte sur sa pupille. « Elle devrait être plus discrète, Lyrae. Elle y gagnerait. » Il s’arrête là. Ambiguïté de quelqu’un qui la connaît, rien de plus. L’idée que Théa puisse imaginer quelque chose entre lui et la gamine ne l’effleure pas. Un sourire naît sur son visage. Il se lève encore au-dessus de la table, grand corps en flexion, équilibre délicat. Embrasse paupières, joues, n’ose pas déposer ses lèvres sur les siennes car serait trahi de désir lorsqu’il ne veut transmettre que du soulagement. « Je ne demande que ça, d’autres souvenirs là-bas. Même si je ne vais pas exclure que mes mains puissent enserrer les tiennes. Ou tout ton corps. » Lèvres qui se rencontrent, palpitations de désir. Le canapé est si proche, il suffit de délaisser ces chaises. Ont-ils seulement besoin de l’atteindre ? Le sable pourrait aussi bien accueillir leurs ébats. Atlas prend le risque de courbatures pour de telles raisons.

Il doit perdre le sens du temps, indiciblement. Il l’entend, il comprend mais il est loin. Un rien perdu. Il ne reconnaît un moment d’égarement qu’à l’issue de celui-ci. Il ne s’est passé que quelques secondes, mais combien ? « Eh bien … J’ai utilisé le terme hystérique. Je suis désolé, désolé mon ange, je ne le pense pas. » Il n’a pas besoin d’en dire plus. Elle a compris l’insulte larvée, le double sens. Il n’a pas besoin non plus de dire que Christian s’est peu ému. Du moins l’a-t-il ainsi perçu. Il n’est pas … Il n’est pas aussi fin que Théa peut l’être. Si elle est chatte et patte de velours, il se perçoit comme un fauve plus brutal. Fait d’envies simples, de pulsions. La duplicité ne lui réussit pas. On dit poliment qu’il est entier. « Excuse-moi. Je suis désolé pour Orion. » Ce serait une fierté de se souvenir si bien du prénom qu’elle n’a soufflé que quelques fois si, il n’avait pas eu conscience chaque fois qu’il s’agissait d’un élément ô combien important pour elle. Pas de quoi en être heureux, il peut tout de même retenir Orion. Elle a bien tout entendu de Margot.

Il n’y tient plus. Trop de distance entre eux. Se lève, prends ses mains dans les siennes. Ils marchent quelques pas pour descendre en contrebas. Il s’assoit puis s’allonge et doucement, ses mains attirent Théa vers lui, vers un sable chaud et accueillant comme une couverture près d’un feu. Les rayons du soleil rendent cet été anglais tout à fait agréable. Du reste, Théa n’aura pas le temps d’avoir froid dans ses bras. Il caresse la clavicule découverte, l’épaule dénudée par la robe. Contact qui les fait frémir tous les deux. C’est une relation parfois compliquée mais ils ressentent les mêmes frissons. «Nous trouverons une solution, si tu as peur d’y retourner. Tout d’abord, je peux prolonger cet endroit quelques jours. Ensuite, voyons … » Comment font les autres ? Ils ne s’aiment pas autant, ou ne sont pas autant épris l’un de l’autre. Il n’y a pas de veuf, il ne doit y avoir que des vierges frémissantes et de jeunes hommes ardents. Ils n’ont jamais plongé, ils ne savent pas les délices qui les attendent et cela rend l’attente plus supportable ? « Tu sais, on a fiancé Moon. Quand je dis on, ce sont les Thénardier. Enfin, nos parents.  » Surnom qui lui échappe trop facilement des lèvres. C’est bon, c’est Théa. Qui du reste s’en fera sa propre opinion. « Et elle vit avec son promis. Je n’étais pas … Dans mon état quand c’est arrivé. » J’étais sous emprise de l’alcool du soir au matin et je ne distinguais plus guère le crépuscule de l’aube. « Il doit y avoir quelque chose à ajouter au contrat de mariage. Un avenant, un truc qui rend l’affaire respectable. Nous sommes français, du genre très respectable alors je ne peux que croire à une bonne astuce. J’imagine qu’il y a d’affreuses conséquences si les fiançailles sont finalement rompues mais nul ne va surgir pour dire qu’il s’oppose à notre bonheur. Je me renseignerai. J’ai l’adresse d’une avocate, on en avait eu besoin pour autre chose. » Penelope Bones. De la promotion de Pluton. Il a failli monter une affaire d’import de produits magiques rares et chevelure-de-feu l’avait conseillé. Cela ne s’est pas fait. Disparition de Margot et de ses rêves d’entrepreunariat. « Aimerais-tu venir vivre avec moi avant de devenir officiellement Madame Flamel ? » Question qu’il ne pouvait poser qu’en français, et une lueur d’espièglerie est passée dans son regard. Ses doigts poursuivent un ballet sur la clavicule, décrivant des entrechats qui s’approchent doucement d’un décolleté qu’il aurait bien vu orné d’un collier attirant son regard (servant d’excuse à son regard naturellement attiré). « Il faudra sans doute faire chambre à part pour rendre tout cela respectable. Je ne sais pas si c’est seulement envisageable. »
Revenir en haut Aller en bas
Théa Flamel
ordre du phénix
Théa Flamel
crédits : abel love (avatar) // prue da best (signa) // pisces (profil)
face claim : dianna agron
pseudo : pisces, clémence
(-18 - thelas) fold out your hands, give me a sign - Page 2 XcMwJDA8_o
études : fière serpentarde, préfète et préfète en chef de son état, de 1895 à 1892
particularité : aucune
(-18 - thelas) fold out your hands, give me a sign - Page 2 Empty
Message (ϟϟ) Sujet: Re: (-18 - thelas) fold out your hands, give me a sign   (-18 - thelas) fold out your hands, give me a sign - Page 2 EmptyJeu 7 Mai - 13:26

Le sourire qu’amène sa confession la pousse presque à souhaiter se justifier. Balayé, le masque qui la rendait presque parfaite. A lui d’accepter ses vices, son côté lunatique, les voltes faces, après tout, il l’avait cherché, elle le sentait, qu’il essayait d’attraper ce qui se cachait derrière la Lady. Il l’avait trouvé, et ce n’était pas si beau. Mais en y réfléchissant, Théa était une bombe à retardement, celle qui garde tant en elle : la rancœur, la colère, la déception, la vengeance, la jalousie, le ressenti, la tristesse… Que lorsqu’on lui offre une chance de ne plus se contenir, tout ressort plus violemment. Parce que ce n’est pas uniquement ce qu’il y a contre une situation, qui s’exprime, c’est tout. Tout ce qu’elle vit depuis ses 16 ans, les injustices qu’elle n’a jamais comprises, mais dont elle a toujours acceptés les issues.

Un sourcil se lève, et elle pince ses lèvres, si elle le connaissait moins bien, elle pourrait s’imaginer qu’il est l’un de ses hommes qui jugent les jeunes femmes pleine de fougue et de flegme. Elle ne rebondit pas, mais elle sait qu’elle saura être un pont apaisant entre les deux sorciers. Elle appréciait vraiment Lyrae, il ne lui faudrait pas longtemps pour convaincre Atlas de la douceur de la gamine. Tout comme elle, Lyrae avait tendance à ne pas montrer son vrai visage. Et pour tout dire, élevée par Henry Potter, elle avait fait de son mieux. C’était déjà tout ce qu’il y avait de plus courageux. Elle a tout de même un petit rire et un regard tendre, se retenant de lever les yeux au ciel.

Et de quelques mots, il l’embrase encore. Pas besoin de caresses pour qu’elle ressente ce feu distinctif, le moment où elle se sent disparaître pour ne devenir que désir. Il n’y a plus de pensées cohérentes, et elle s’imagine alors un jeu où, oui, ses mains seraient prisonnières, mais pas pour les mêmes raisons que la première fois, et il lui semble alors que c’était ce qui aurait du arriver depuis le début. La tension devient trop forte alors qu’il évite d’abord ses lèvres avant de s’y plonger. Il lui faut toute sa volonté pour ne pas céder à son besoin urgent de l’avoir pour elle, et de faire céder cette tenue qui lui sied, mais qui reste de trop. Tout ce qu’il y a entre eux est toujours, toujours de trop. Elle tente de se reprendre, c’est presque douloureux, mais elle soupire pour reprendre contenance. “Tu causeras ma perte, Atlas.

A regret, la conversation tourne sous d’autres auspices. Outch. Ca frappe en plein dans la poitrine, finalement. Il se justifie, mais trop vite elle se trouble et se demande si elle est trop ? Trop quoi ? Trop tout ? Ce qu’elle pensait être un sur-contrôle d’elle même et des autres, des situations, son côté lunatique, ce serait… de l’hystérie ? Prendre du recul est difficile, elle mets quelques secondes avant de revenir à la conversation. Elle se raisonne, lentement.
  • 1 : Atlas t’aime.

  • 2 : Il te dit qu’il ne le pense pas.

  • 3 : Il a fait ça pour toi.

  • 4 : Il te l’avoue. Quel homme sain d’esprit ferait ça sans avoir peur de recevoir un crucio s’il le croyait ?

  • 5 : Il t’aime. Il t’aime.

Le mantra qui la fait tenir. Elle sourit alors, et s’entoure de la sensation de légèreté qu’elle peut vivre quand il lui dit ces quelques mots. Et alors, la pression qu’elle ressentait au fond du ventre se relâche. Elle ne crie pas, elle n’est pas en colère. Elle comprend. Elle décide même d’en jouer. Un jour, se dit-elle, ça se transformera en une blague particulièrement drôle. Un souvenir étrange à raconter à leurs enfants. Quelque chose qu’ils pourraient éluder, mais elle préferait le transformer en un souvenir tendre : Ce qu’on fait par amour n’est pas toujours propre et poétique. C’est parfois abimer, écraser un peu, pour que ça soit réel. Dernier poids, le plus lourd, le plus ancré, le prénom de son fils sonne différemment à ses oreilles. Cet attachement si fort la terrasse un peu. Elle sèche ses larmes et lui sourit. Ca ira mieux un jour. Ce sera moins dur. Peut être.

Ils s’enfuient sur la plage, et elle clôt les yeux pour sentir la chaleur sur soleil contre elle. C’est une sensation délicieuse qu’elle n’a pas souvent la chance de ressentir. Elle aime tant ça, pourtant, mais elle n’a pas vraiment de souvenirs de vacances au soleil. Ils restaient souvent au manoir, et, adolescente, elle n’avait pas le droit de se dorer à la lumière. Il lui fallait être digne, encore et encore. Elle aurait aimé, pourtant, dénuder son corps pour avoir comme seule caresse les rayons venus du ciel. Il s’allonge sur le sable, elle s’inquiète un peu d’en avoir dans les cheveux en le rejoignant, puis elle envoie cette pensée balader : peu importe, finalement, personne ne serait la pour la juger, il n’y a qu’Atlas. Et Atlas l’attend, ses bras, son corps, alors comme résister. Elle tente de s'asseoir élégamment pour le retrouver, mais ses pieds qui s'enfoncent dans le sable la déséquilibre. Elle chute à côté de lui, un éclat de rire volé de sa bouche, et elle se colle à lui, hilare. “Je suis un peu maladroite ce matin !” Il l’invite à rester plus longtemps, ça la touche, mais ici, elle se sent si loin de la vraie vie qu’elle est terrifiée à l’idée d’y retourner plus les heures passent dans ses bras. “Je ne sais pas, j’ai peur que mon père me demande même de revenir en avance, maintenant que tu as demandé ma main. Je ne serais pas surprise de recevoir un hibou cet après midi, pour tout dire…” Ils reviendront dans ce coin de paradis où ils ont vécu tant de premières fois : Premier baiser, premier pardon, premières étreintes, première nuit dans les bras l’un de l’autre, premier cauchemar partagé, unique demande en mariage… Mais elle sait bien que dès le lendemain matin, elle serait attendu. Pourtant, son coeur est un peu soulagé à se dire qu’il la rejoindrait bien vite pour remettre sa bague autour du doigt. Elle frémit dès qu’il caresse son cou, son épaule, dès que leurs peaux se rencontrent, elle doit retenir un soupir de bien être, elle vit chaque instant avec un plaisir qui la dépasse. C’est si fort, le bonheur.

Puis, désillusion de ce monde qui force les âmes à se lier sans consentement, elle souffre pour la pauvre Moon qu’elle a toujours vu hypnotisante, beautée presqu’irréelle, âme blessée par des choses qu’on ne comprend pas. Elle se souvient, de Poudlard qui avait été ébranlée quand l’enfant lune était en première année. Son estomac se serre, elle ne juge pas Atlas pour ses mots envers ses parents. Elle en partage tant, dans sa tête. Bien moins polis. “Je pourrais peut être lui rendre visite ? Je pense que sa situation doit être difficile, je sais plutôt bien ce que c’est, peut être que discuter la soulagerait un peu ?” Elle a d’autant plus de douleur quand il lui avoue avoir échoué à arrêter cette décision. Elle dépose des baisers sur son visage, et murmure “Tu ne peux pas sauver tout le monde, Atlas. Cette décision était surement déjà prise depuis longtemps. Ne t’en veux pas.

Elle se redresse pour le regarder, décontenancée. Il pensait vraiment y arriver ? La récupérer pour qu’elle ne soit plus enfermée dans sa tour d’ivoire trop froide pour son âme ? Les larmes aux yeux, elle hoche la tête, touchée qu’il soit si prêt à la sauver, toujours. Elle mordit sa lèvre pour éviter de pleurer - encore - “Oui, oh oui Atlas, rien ne me rendrait plus heureuse !” Elle se jette presque à son cou, et scelle ses lèvres contre les siennes. C’est le baiser de la fille désespérée qu’on vient de sauver.

Puis l’échange est plus sensuel, les caresses moins subtils, l’attraction incontrôlable, ses prunelles sont joueuses, mais surtout emplis d’un désir ardent. Toujours affamée de lui. Elle se glisse contre sa bouche pour l’emprisonner à son tour, sa position se fait plus dominante, et dans un rire, elle se surprend à dire : “Tu voulais enserrer mon corps, c’est ça ? Mais si ça ne peut pas être dans le même lit, j’ai plein d’idées, moi.” Elle glisse ses mains contre ses poignets dans une caresse lente, les yeux plongés dans les siens. Sa voix n’est plus qu’un murmure. “Ca peut être ici.” Un baiser sur l’épaule. “Dans la baignoire.” Un autre dans le cou. “Dans la cuisine.” Encore un sur sa joue. “Mais laisse moi te dire que je pense que tu ne sauras pas rester loin de ma chambre bien longtemps.” Et ils se perdent ainsi quand elle enlace les seules lèvres qui lui ont dit un jour je t’aime.
Revenir en haut Aller en bas
https://forthegreatergood.forumactif.com/t398-moitie-lame-moitie https://pin.it/6BDxfZQ
Contenu sponsorisé
(-18 - thelas) fold out your hands, give me a sign - Page 2 Empty
Message (ϟϟ) Sujet: Re: (-18 - thelas) fold out your hands, give me a sign   (-18 - thelas) fold out your hands, give me a sign - Page 2 Empty

Revenir en haut Aller en bas
 
(-18 - thelas) fold out your hands, give me a sign
Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut 
Page 2 sur 2Aller à la page : Précédent  1, 2
 Sujets similaires
-
» (quincy) give me the night.
» it's a sign of the times (prudames)
» my hands no longer an afterthought
» HANDS OF GOLD (caesar)
» (thelas) curiosity killed the lady

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
for the greater good :: miroir du rised :: Rps archivés-
Sauter vers: