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 talk about love (solo/alternatif)

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Henry Potter
coalition sorcière
Henry Potter
crédits : queen prudence (avatar/mgt) cassiopeis (gif signature)
face claim : joaquin phoenix
pseudo : sekhmet/marine.
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études : autrefois élève sous les couleurs de serpentard de 1876 à 1883.
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Message (ϟϟ) Sujet: talk about love (solo/alternatif)   talk about love (solo/alternatif) EmptyDim 29 Mar - 21:35


(souvenez vous de ce que dit céline)


Spoiler:

Ajuster la cravate, elle n'est pas aussi bien mise que d'ordinaire son épouse est aux abonnées absentes. Oui, Drusilla trouve plus intéressant d'aller astiquer de vieilles fioles, jouer à la parfaite petite alchimiste que de nouer la cravate de son époux, damnation.
Parce qu'aujourd'hui, c'est un jour important. Oui, aujourd'hui, monsieur, non, monseigneur Potter est l'invité d'honneur d'un talk show unique, organisée par la Gazette en personne. L’événement se déroule dans les locaux du journal, dans une pièce aménagée exprès, avec une charmante présentatrice, qui n'a rien a envié aux plus belles sorcières anglaises. Son petit accent écossais ajoute une touche de subtilité à cette miss Fudge.
Et derrière l'épais rideau rouge, l'homme attend, fixe nerveusement sa montre à gousset, son heure arrivera promptement. Il entend déjà la foule, les rires et voici qu'une note virevolte au dessus de lui et se déplie pour lui indiquer le thème de la soirée. Car c'est une tradition du talk show we talk about something, proposer à une pseudo célébrité, oui avouons-le, Henry en est une, d'une certaine manière, même si c'est pour mieux vous hanter, mieux vous mépriser, du monde magique et lui faire découvrir le thème de la soirée juste avant son entrée sur scène.

« C'est un complot. »
Il marmonne, il crache presque ses mots, sourcil arqué en lisant un seul et unique mot sur cette note qui déjà, s'effrite, ce message s'autodéruira. LOVE. Le thème de ce soir tient en un seul mot, quatre lettres et une rivière, non, une marée de problèmes. Il le sent, il le sait, la moindre de ses paroles fera la une de la Gazette demain, alors Henry a le choix. Jouer ou ne pas jouer ? Les dés sont peut-être pipés, il l'ignore, mais le voici qui prend le pari de changer de visage. Adieu l'inébranlable homme de fer, bonjour le subtile prédateur, charmeur de ses dames.
Et le rideau se lève. C'est à lui d'animer la soirée, en compagnie de cette très délicieuse miss Fudge. Le public applaudit, Henry avance et offre à son hôte, un élégant baisemain. « Miss Fudge. Merci pour cette invitation, c'est un plaisir d'être ici, avec vous, même si, je dois l'avouer, j'aurai préféré partager un verre de vin avec vous et plus, si affinité. » le ton est donné. La jeune femme, à peine la trentaine se surprend à rougir, le public s'exclame et voici que le sorcier se laisse tomber dans l'épais fauteuil rouge de velours. Sans attendre, il sort son cigare, comme une marque de fabrique, comme une façon de le reconnaître. « Voyons monsieur Potter ! Vous êtes bien entreprenant... » le ton est mielleux, elle répond à l'invitation par la surprise, mais une surprise agréable. « Je le suis toujours en présence d'une si belle femme. » Nouvelle exclamation de la part du public. La sorcière croise et décroise les jambes, le regard de l'homme pourtant, ne quitte pas le décolté. Lui, provocateur ? C'est le visage qu'il a choisi d'afficher ce soir et de jouer, pour demain, imaginer la réaction de sa femme en lisant la Gazette, s'amuser de sa colère à venir, se délecter de la fureur qui va l'envahir. Et pour les enfants ? Tant pis pour eux. Au diable la marmaille !
« Bien, ahem. Ne perdons pas de temps. Comme je l'annonçais avant votre arrivée ici, monsieur Potter... » « Voyons, appelez moi Henry. » « Très bien, Henry donc. Le thème de ce soir est l'amour. Nous allons plonger ensemble dans les méandres de votre sentimentale Henry et comme nous le savons déjà, elle est mouvementée, n'est-ce pas ? Votre femme est connue de tous, mais nous souhaitons avoir votre avis sur elle, parlez-nous de Drusilla ! » Drusilla a de bien meilleurs goûts vestimentaires que vous, miss. Sourire de façade, l'homme inspire et expire la fumée. Parler de sa chère épouse, voici une idée qui ne lui déplaît pas, bien au contraire. « Drusilla. Oui, oui... Drusilla. Et bien, que puis-je dire sur mon épouse ? Oui, nous nous aimons. Je crois que le nombre d'enfants que nous avons engendré prouve que nous avons un certain plaisir à passer du temps ensemble. » quelques rires maladroits se font entendre dans la salle. Miss Fudge glousse comme un dindon, finalement, c'est une belle plante, mais voilà tout. Belle, mais vide à l'intérieur. Le sorcier se penche, se pose la question soudaine, si je regarde par son oreille, vais-je voir de l'autre côté, l'absence total d'une quelconque cervelle ? Sourire charmeur sur le bord des lèvres. « Je suis prolifique, que voulez-vous et malgré quatre grossesses, je ne parlais de la cinquième, projet avorté » Bel âtre, beau salopard. « Son corps reste tout à fait désirable, malgré quelques... Cicatrices. L'accouchement est une chose qui laisse des traces, malheureusement pour elle, heureusement pour les mâles. » et la foule ne rit pas, c'est lui qui rit de sa propre méchanceté, sa hargne et sa violence. « Oh ! Donc vos rapports avec votre épouse sont purement... physiques ? Ne l'aimez-vous pas ? » « Je suppose que je l'aime oui. Je l'aime comme on peut aimer son animal de compagnie, tant qu'il répond à nos besoins. » il hausse les épaules, cette fois, une vieille sorcière aigrie se met à rire au fond de la pièce. Miss Fudge glousse de nouveau, elle décroise les jambes, elle répond au jeu de son invité, mais elle a déjà perdu la partie, ce soir, il rentrera seul et subira les foudres de son épouse bien assez tôt. « Donc Drusilla est un animal de compagnie, comme un chien ? » « Non. Je dirai plutôt un fléreur, voyez vous. Sournoise, intelligente et à ses heures perdues, elle déchire la peau de ses griffes. Vous voulez voir ? » il prend la journaliste au dépourvu en ôtant sa veste et sa chemise, dévoilant les traces de ses derniers ébats avec sa douce. Fudge approche dégaine enfin la mythique, plume à papote qui rédige tous les propos, les déformes, les accentues, ça va saigner demain, oui, saigner.
« En effet, c'est... Sauvage. » « Bestial. Mais cela a toujours été comme ça entre nous. Cependant, un fléreur reste un chat et il s'apprivoise rapidement avec quelques coups de martinet. » Miss Fudge fait mine qu'elle a trop chaud, agite sa main telle une bécasse. « La température monte vite ici avec vous, Henry ! Vous n'épargnez pas Drusilla. Que va-t-elle dire !? Et vos enfants ? » avant de remettre sa chemise, Henry bombe volontairement son torse, comme pour montrer des muscles d'autrefois, aujourd'hui disparus. « Mes enfants ? Vous voulez vraiment partir sur ce terrain là ? Parce que je me moque parfaitement de ce qu'ils vont penser. Ils n'ont pas à penser, ils doivent obéir. Mais allons-y, faisons une parenthèse et parlons d'eux. Je vous écoute miss Fudge. » Chemise remise, cigare entre les dents.« Et bien votre fils ainé reste célibataire, il me semble ? A son âge, vous étiez déjà marié et père. Il n'a pas hérité du charme de son paternel ? » « Ulric a autant de charme qu'un mollusque. Le charisme, je préfère ne pas en parler. Au suivant ? » prise au dépourvu, la journaliste bafouille, ne sachant pas de qui parler. L'homme reprend donc la main, il aime diriger. « Lyrae est un homme dans un corps de femme. Bien sûr, elle est belle. Mes filles sont déesse, mais Lyrae mène le navire, difficile donc de lui trouver un homme qui se laisse faire. Ma douce Astoria est déjà fiancée, je ne vais donc pas épiloguer. » « Et votre dernier fils ? » Henry sourit, il aurait presque envie de répondre quel autre fils ? mais il se contient. « Cygnus est encore un enfant. Si vous appuyez sur le bout de son nez, du lait en sort, alors ne parler de sexualité avec lui, hors de question. Je ne suis même pas certain qu'il sache utiliser ses attributs convenables. Que voulez-vous, sa mère l'a bercé trop prêt du mur, le pauvre. »
Et cette fois, c'est un éclat de rire collectif de la part de la foule. La parenthèse fermée, le sujet reprend autour de son principal acteur, Henry. « Votre vie est incroyable, Henry, mais ce n'est un secret pour personne, vous êtes infidèle. » « Nuance, j'aime goûter à tout. » La plume à papote écrit et fait une rature, Fudge lui lance un regard complice, quelque chose lui dit qu'elle aussi, elle aime goûter à tout, mais au sorcier, elle n'y touchera pas. « Votre femme ne vous suffit donc pas ? » « Si, amplement, mais comme je viens de vous le dire, j'aime goûter d'autres fruits. » elle rougit, elle rit, elle est jolie, mais spectaculairement grotesque. « Et quels sont ses autres fruits ? » « A vous de me le dire. Vous êtes journaliste non ? L'investigation, c'est votre domaine, pas le mien, ma chère. » nous y voici, au coeur même du sujet, les histoires d'amour décadentes du parfait mari infidèle. « J'ai enquêté, en effet. Et... Des petits oiseaux m'ont murmuré que vous viviez une idylle avec Elisabeth Baker, une couturière très en vogue. » clin d'oeil subtil comme pour rallier le complice à ses faits. « C'était une histoire d'un soir vous savez. Rien de plus, rien de moins. Baker sait coudre, elle a un talent incroyable dans ce domaine, mais c'est à peu près tout. Ne demandez pas à une poule de voler, c'est la même chose. » fou rire qui dégénère, pauvre Eli, on t'aimait bien mais te voici comparée à une poule, dommage pour toi, tu n'étais pas à la hauteur. « Dans ce cas, Dorcas Barrow, Millicent Presley, Natasha Scott et même Tilda James, pour ne citer qu'elles, étaient-elles des poules ? » « Dans le cas de Tilda, je dirai plutôt une goule, mais passons, j'avais trop bu ce soir-là. » il se tourne vers la foule, Henry se prend au jeu d'être le héros de ce soir, ou plutôt le crevard de la soirée, mais passons. « Que voulez-vous, miss Fudge, je leur ai offert un moment de gloire, c'est tout. »
Et là, derrière quelques rires qui masquent des réactions de lecteurs assidus choqués, Miss Fudge décide d'employer les grands moyens. Elle sort l'élément indispensable pour charmer l'homme, les lunettes. Aguicheuse, elle les enfile et capte le regard du sorcier. Il a dit non, mais après tout, why not? « Dites-moi, Henry, vous jouez avec les femmes, mais que cherchez-vous au fond ? Tout cela me fait dire que vous souffrez, que votre mariage ne vous convient pas, que vous êtes, j'ose le dire... malheureux ? » Sale garce. Elle touche un point sensible et il n'a pas envie d'épiloguer là dessus. « Que voulez-vous, on ne peut pas tout avoir. » « Donc j'ai visé juste ? » « Allez savoir. Peut-être que oui, peut-être que non. J'aime les femmes, j'aime ma femme et j'aime vos lunettes. » surprise encore une fois, miss Fudge dont on ignore tout d'elle, remet convenablement ses lunettes qui glissent sur le bout de son nez et menacent de tomber. «  Je suis curieuse, Henry. Pourquoi Malyen Skeeter ? » Ah. Malyen, pauvre petite Malyen, son nom est cité, c'est cruel et triste à la fois. Drusilla va la broyer, repose en paix Malyen. « Pourquoi pas ? » une question pour réponse, la journaliste n'apprécie pas, sa plume non plus. Légère moue, elle rabat ses lunettes sur son front. « Vous passez pour un goujat, un homme intéressé Henry, mais vous êtes autre chose, n'est ce pas ? » non, pauvre idiote. « La vie est une comédie, nous avons tous un rôle à jouer, le mien est celui du goujat, mais je suis un être humain, un sorcier, comme vous, oui j'ai des sentiments et je crois au pouvoir de l'amour ! » parce que l'amour, c'est beau, mais que la démence est encore plus belle et l'incrédulité de miss Fudge, touchée en plein coeur l'est encore plus. « Êtes vous romantique, Henry ? » Pauvre idiote. Il hausse les épaules.
« Si par romantique vous voulez dire, offrir des fleurs à ma femme après l'avoir trompé, je le suis. » sourire charmeur, exclamation stupéfaite de l'assistance, il navigue entre plusieurs tableaux. « Quelles sont vos fleurs favorites, miss Fudge ? » elle le fixe, elle va répondre, elle veut continuer ce petit jeu, mais le sablier renversé s'est vidé. Dommage. Une prochaine fois, peut-être.
« Notre talk show arrive à sa fin Henry et malgré tout cela, vous restez un homme énigmatique. J'aimerai pouvoir continuer, mais le temps est écoulé. Une dernière chose à nous avouer, peut-être ? » sachez que tout ce que vous direz pourra être retenu contre vous, mon cher. « Ne résistez pas à la tentation, succombez-y. »
L'émission se termine par des applaudissements. Finalement, Henry est volontairement resté évasif, mais il en a trop dit, ou pas assez au choix. Tandis qu'il se redresse, remet sa veste, écrase son cigare, il trouve dedans, une note, une adresse, miss Fudge, veut-elle prouver qu'elle n'est pas une poule, mais un pigeon, à défaut d'être une colombe ? Le rideau tombe, que faire ?
Et puis au diable la raison.
Pardon Drusilla.
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