deathly hallows - helios

pierre de résurrection il respire, il respire, le souffle le hurlement qui passe sa gorge il manque le souffle et pourtant il respire naissance de l'être la vie qui brûle en lui les yeux qui s'ouvrent sur le monde, il ne voit pourtant rien, il ne comprend encore rien mais il vie.baguette de sureauil ne joue pas comme les autres il ne parle pas comme les autres, il parle que trop peu il regarde beaucoup il ne rigole pas avec eux, il ne partage pas il ne veut pas être comme eux, il n'est pas comme eux, il est bizarre il est solitaire il préfère lire que parler, il préfère écouter que converser. pas d'ami, enfance solitaire enfance dans les jupons de la mère. écouter cette histoire lui redemander, écouter encore et espérer déjà les trouver. cape d'invisibilité il ne le connait pas, il le sait il n'existe pas, il n'est pas là, le père n'est pas, ombre dans sa vie, question sans réponses d'une mère aux courbes ayant été adoré par un homme qui l'a abandonné. pierre de résurrectionvivre, étudier écouter apprendre et observer, excellent élève qui passe les murs du château, durmstrang, bulgare naissance dans le feu brûlant et ardent du froid. intelligence et solitaire, les regards qui l'observent, il n'est pas populaire et pourtant les femmes l'interpellent. elle adore le dévisager le dévorer se laisser fondre dans ses draps souiller. les prendre et le jeter, s'amuser et les oublier. baguette de sureauquitter l'école finir premier, s'envoler vers l'Angleterre où elles sont cachées, elle les trois reliques qui le berce, il les veut il les aura il les recherche inlassablement dans le néant, dans la nuit il les aura il les veut quitte à tout perdre quitte a finir seul sans plus rien pour respirer. cape d'invisibilitél'écouter parler, boire ses paroles et espérer qu'il vienne à lui donner, le regard sur la baguette qui roule entre ses doigts et qu'il ne lui donnera jamais. l'écouter, essayer de le comprendre de le satisfaire, torturer, les écouter hurler pierre de résurrectionles détenir, lui voler, lui dérober et les aider. eux, ses regards qui tremblent sous ses yeux, leur sang impur qui coule dans leur veine, leur hurlement qui hante ses nuits. les sauver leur venir en aide, les libérer, leur rendre leur liberté. baguette de sureau elle lui, amitié passée, trouvé en leur sein l'idéale, le mariage les fiançailles. l'obtenir la détenir, volage virevoltant loin de loin, il n'est rien de bon, il n'est rien par rapport aux autres. vilain strangulot qu'elle a à son doigt, fiancé au mystère fiancé à celui qui ne la méritera jamais.

La Mort traversa alors le pont et s’approcha d’un sureau, sur la berge de la rivière. Elle fabriqua une baguette avec l’une des branches et en fit don à l’aîné.

y a la balançoire qui bouge il a les pieds dans le vide qui frôle le sol intrépide. il a les yeux rivé sur le ciel il a l'esprit dans l'air les nuages qui dansent au-dessus de sa tête douceur du dessin qu'il aime à observer. grincement de du va et vient de ses jambes qui le portent.

il vole

s'envole loin de tout prêt de rien solitaire qui valse dans l'air. il a sa voix qui résonne dans sa tête regard enfantin attendant qu'elle ne vienne. elle faucheuse à la cape qui frôle le sol s'étiole. alors c'est le vent qui caresse ses oreilles c'est les yeux qui se ferment, c'est les phrases qui s'enchaînent dans sa tête. cette histoire toujours cette histoire inlassablement les mots dans l'âme inlassablement la voix de sa mère contant le conte des trois frères. le vent qui caresse sa peau pâle il se balance il s'élance dans le vide du moment laissant l'histoire se répéter connaissance chaque mot comme s'il les avait toujours prononcés. il n'est que le lecteur trop passionné c'était trop souvent réfugier entre ses pages qu'il aurait dû déchirer. il se balance, s'envole perd doucement pied perd la tête dans le récit, marche avance sur leur trace s'installe dans la taverne regard l'homme s'endormir voir son sang couler le long de sa carotide, la baguette qui s'évapore pour laisser danser la belle. tournoie belle enfant dans ses pupilles laissant au second le désespoir s'immiscer, les pleures s'installer la faciliter, se suicider, il disparaît laissant le dernier se cacher se dissimuler laissant au jeune homme un mince sourire se pose sur ses minces lèvres quand il le voit se dissimuler se cacher avant de venir s'offrir à la mort de mettre fin à l'histoire. alors il ouvre les yeux, la balançoire ne bouge plus les pointes de ses pieds ne son que poussière, il a le sourire aux lèvres, alors au loin sa mère, silencieuse errant dans le silence de la demeure. alors il se lève, et emporte avec lui l'histoire de sa vie.

приказката за тримата братя
prikazkata za trimata bratya
le conte des trois frères

ronge la peau ronge les os obsession douce incarnation. histoire, foutaise, instabilité d'un être. des pages qui s'envolent qui se déchirent qui brûlent sous ses yeux. hurlement intense, obsession déconcertante, brisant sa chair brisant son être. ne rien avoir, n'avoir que l'histoire,

seulement des mots rien que des mots

c'est le feu qui brûle sous ses yeux les pages d'un conte presque religieux. plus rien, la colère qui s'installe les hurlements, les crises,

besoin d'apaisement

ne plus se sentir si seul, ne plus espérer inlassablement les trouver.

foutaise

obsession, les pages cramés ne changent rien, il les désir, il les veut, les détenir faire de lui gospodaryat na smŭrtta le maître de la mort le maître de tout, être l'unique être celui qui changera tout être celui qui entre ses mains ne sera plus simplement un simple monstre, juste celui qu'il doit être.

La Mort ramassa alors une pierre sur la rive et la donna au deuxième frère en lui disant que cette pierre aurait le pouvoir de ressusciter les morts.

mama mama mu kaza maman lui a dit que les hommes naissent fort et fiers qu'ils portent le nom de leur mère comme étendard
mama mu kaza qu'il faut être bizarre pour être compris que le silence n'a rien de mauvais, que dans le silence naît souvent les réponses et que les regards racontes les plus belles histoires.
un jour mama mu kaza qu'elle laisserait la maison et qu'elle trouverait beaucoup mieux, alors elle est partie quelques jours quelques heures, il n'a jamais compris. quand elle est revenue elle avait un nom, une alliance à la main, za teb moĭ sin pour toi mon fils c'est ce qu'elle a dit, lui offrir le meilleur en s'offrant le pire.
mama mu kaza traite les femmes comme tu aimerais traiter ta mère. c'est un souffle qui a passé ses lèvres des mots qu'ils na guère retenu. respect de la femme, homme pourtant se vautrant dans trop de bras dans trop de draps. oubliant un instant ce que  mama mu kaza
mama mu kaza  de ne pas tomber amoureux, cela fait mal, cela brise les os, cela brise le cœur.
puis surtout mama mu kaza de ne jamais renier qui est son père car il est tout, car il est un nom car il est celui qui lui a offert ce qu'elle désirait au plus profond. salop, pauvre taré qu'il n'aimera jamais.
mama mu kaza ne me défend pas contre le monde, car si je te perds je ne suis plus qu'une ombre. protège toi ferme les yeux quand les coups tombent bouche toi fort les oreilles pour ne plus entendre crier et laisse-moi dégringoler.

c'est le cœur toujours serrer qu'il regarde mama
c'est toujours l'âme lourde qui dessine ses coups
c'est dans son silence qu'il la protège
dans ses dans ses rêves qu'il la défend
c'est dans ses songes qu'il regarde son corps titubant
dans son esprit qu'il conte déjà la mort du père
nouveau conte de beedle barde trop sanglant pour les enfants
la mort du père entre ses doigts brûlant
sauver sa mère c'est tellement tentant.

A contrecœur, le Mort lui tendit alors sa propre Cape d’Invisibilité.

c'est la lettre qui a caressée ses doigts c'est l'oiseau qui quitte le nid pour passer une année loin d'elle, la laisser entre les mains de l'éternel. assis dans le train il entend déjà les bruits des coups sur sa peau il sert les points dans le silence de l'instant la mine pâle les yeux rivés sur le sol, bizarre.

se pavaner dans les couloirs durant des années n'être que l'ombre des enfants que l'on entend rigoler, un fantôme qui se balade, sans un mot pour les curieux de chaque étage. il n'est pas bavard, il est bizarre, on le regarde trop souvent de travers, on rigole de son visage fermé et de sa mine prête à crever. il s'en fiche, il n'a pas besoin d'eux, le livre contre son cœur ne faisant aucun envieux. son ami, son unique ami les phrases contant son histoire en devenir. il n'y a qu'elles qui s'intéressent a l'invisible, femmes trop curieuses de tenter de le séduire, femmes qui espères doucement lui appartenir. nuits douces qu'ils aiment à leur offrir, et au petit matin qu'il s'empresse de fuir.

puis il y a elle, puis il y à lui, elle a le sourire vorace et une gueule de gamine. elle l'a bousculée un matin et a monologué sans fin, hurlant presque à son visage pâle de n'être qu'un idiot de passage. sourire qui est apparu sur ses lèvres, douceur de sa voix résonnant dans son être. parole qui a passé ses lèvres, peut-être l'unique fois où les couloirs ont entendu le son résonné comme tel. son sourire a eu le don de l'apaiser elle a arrêtée de hurler, la gamine lui demandant son prénom avant de lui saisir le bras et voilà. son amie, elle, la douce le sourire aux bords des lèvres, aimant la taquiner aimant faire retrousser son petit nez. passant des heures à la regarder à l'écouter monologuer sur des garçons non digne de sa volupté. une meilleure amie, un bout de son cœur, un truc qu'il ne connait pas demeure. elle est l'unique à le faire se sentir bien, comme un agréable dessin. amoureux peut être, il ne le sait pas, il aime a l'observe à la dévisager, a s'accoutumer de ses humeurs détestées. il aime à s'allonger à ses côtés à l'écouter balbutier sur sa nouvelle conquête resserrant son être. il n'est rien prêt d'elle, elle est un tourbillon, et il n'est rien, pas à la hauteur de ses attentes, pas acceptable pour cette enfant. elle est tout ce qu'il n'est pas, jamais à la hauteur, jamais il ne le sera.

mŭrzeliv, koĭto poglŭshta sŭrtseto mi
flemme qui consume mon cœur
sladost na moeto sŭshtestvo
douceur de mon être
uspokoyavasht mŭkite mi
apaisant mes tourments

seule personne qui calme les crises, seule personne ayant la force de calmer sa colère, unique personne comprenant l'envie qui le guette.

Puis il accueillit la mort comme une vieille amie qu’il suivit avec joie et, tels des égaux, ils quittèrent ensemble cette vie.

les écouter parler dans un coin de la pièce mal éclairer, les écouter mettre le monde à leur pied les écouter prendre le pouvoir sans rien demander. ils sont sa famille, ils sont le pouvoir ils veulent tout cramer tout consumer et les mettre aux plus bas. les piétiner les voir s'envoler les voir s'entre-tuer pour que le monde soit entièrement à leur merci. il dit oui, machinalement, il les écoute, il a la parole qui l'envoûte, lui, l'homme de pouvoir qui sait ramener les foules qui dans ses discours tente à convaincre le monde entier ayant réussi à saisir la flemme qui crame en l'enfant qu'il est. alors il écoute, alors il suit, il suit la famille, il aide, il capture sans réfléchir espérant un unique instant que sa dévotion lui permettra de récupérer la baguette qu'il lorgne entre ses doigts animé.

et il y a se regard

kapan sŭrtseto mi ot bolka
emprisonne mon cœur dans la douleur

il y a se regard qui change tout qui le brise qui ressert sa poitrine, cette gamine qu'il a chopé par les cheveux qu'il a traînés sur mille lieux, elle a les genoux écorchés elle a le regard tétanise elle a le cœur qui s'effrite et son cœur qui palpite. il la lâché et elle l'a regardé, elle a plongée son regard d'enfant dans ses yeux azures.

Nikoga poveche
plus jamais

il s'est baisser vers elle il a passé une main dans ses cheveux d'ébène, un soupire, une larme qui dégringole sur son visage comprenant le pire. il est devenu le monstre que l'on décrivait il y a de cela quelques années. un fantôme prêt à tout pour obtenir ce qu'il désir quitte à créer la mort autour de lui. il soupire, il ne peut plus, il a le cœur qui se brise qui chute sur le sol. là dans ses yeux il s'est perdu, il a revu dans ses pupilles le mal qu'il a créé, et ce qu'il pourrait encore dessiner. alors il sort sa baguette, elle a peur et pourtant il l'aide, il repart ses genoux il pense ses plaies avant de l'aider à se relever. là dans le silence il caresse son visage d'être infecte, avant de prendre sa main pour disparaître. la cacher, loin de tout, mentir sur sa nature, dire aux autres qu'elle a trouvée le sol qu'elle est morte en ses mains qu'elle a disparu dans le rouge carmin. mensonge.

il ne peut plus les aider
mentir est la meilleure solution qu'il a trouvé
ne plus faire couler le sang
trouver en leur yeux ce qu'il a toujours chercher
les aider, les caches se taire et faire semblant
rester encore là en cet instant
mais il partira,
lui aussi il devra fuir
car il a trahit dans le silence de chaque nuit.

Ta chocogrenouille se fait la malle ! Avant de transplaner, sache que tu es convié.e à participer à notre intrigue, aux rps communs et au rite de passage. il y a aussi la section du rappeltout pour les parrainages, les liens, l’évolution et les points, et à consulter les bottins pour te recenser officiellement dans ce sujet. Tu peux aussi flooder, et voter pour que ton groupe ait l'avantage à la prochaine intrigue. Je te laisse par la même occasion le 06 Discord du forum. Enfin, au besoin envoie un hibou à l'équipe. Ils aiment bien, ça leur passe le temps.