dance with the demon - amos

 les nuits se faisaient de plus en plus douce, la température extérieure réchauffant les murs de pierres de la demeure gaunt. la jeune femme s'était réveillé doucement ce matin là n'ayant pas quitté sa chambre la nuit passée les nuages ayant décidés d'obscurcir le ciel étoilé. elle c'était ainsi délecté d'un bon thé avant de se laisser finir dans les bras de morphée. le réveil avait été délicat l'odeur de nouvelle fleur ayant prit place non loin de là. petite sourire sur ses lèvres s'étirant de tout son être avant de s'emmitoufler à nouveau dans sa couette. un bonheur simple qu'elle venait à apprécié quand le soleil au dehors s'amuser encore à se cacher. elle resta un instant dans le lit chaud de son corps dénudé avant de prendre le temps de se lever. ouvrant les rideaux de la chambre les nuages encore présents elle s'étira doucement avant de passer une main dans sa chevelure de blé, non enclin à sortir en cette petite journée. elle prit la direction de son armoire cherchant une tenue pour passer le palier de la porte. un petit haut simple d'un blanc clair surplombant un short d'un noir profond. les pieds toujours dénudés elle attache ses cheveux dans une haute queue de cheval libérant sa nuque à l'air la caressant. elle soupire, s'étire avant de prendre la direction de la cuisine où trône encore un copieux petit déjeuner préparé prestement par todd chantant. petit rictus qui s'installe prenant face en face de lui toujours heureuse de voir son visage au petit matin. « maîtresse moon est bien matinale » elle hausse les épaules piquants quelques madeleines fraîches disposant devant ses yeux. « les nuages ont assombris la nuit, je suis restée ici » petit sourire avant de le voir s'affairer à lui préparer son café y laissant tomber un sucre dans un bruit agréable. l'odeur du café qui se fond dans la cuisine agréable sensation du petit matin qui se réveille avec la belle. les discutions prennent ainsi place comme à leurs habitudes, parlant de tout et de rien échangeant des banalités alors que la jeune femme se met à déjeuner. ainsi fait l'ide à débarrasser aimant à s'occuper durant cette journée voilée. ainsi fait elle se laisse aller dans le grand salon où elle prend alors place sur l'un des grands fauteuils laissant un livre s'installer entre ses doigts fins pour passer les heures. le repas vint rapidement retrouvant la compagnie de todd pour un moment. banalité, ennuie grandissant et pourtant la joie encore bien installé dans la poupée. elle reste encore en sa compagnie passant le temps à discuter de quelques petits détails sur le futur mariage, todd tellement presser de pouvoir aider sa poupée à revêtir sa robe de mariée. se sujet était arrivé aux lèvres de la jeune femme au détour d'une conversation cherchant secrètement à trouver une tenue adéquat à ce jour compliquée... elle soupire avant de venir saisir le bras de l'elfe l'obligeant à laisser ses corvées pour quelques minutes de tranquillités. elle retrouve alors le grand salon fouinant à droite à gauche avant d'enfin tomber sur ce qu'elle cherchait. un vieux tourne disque poussiéreux mourant dans un coin reculé de la pièce si joliment décoré ! « cherche quelque chose d'entraînant » la jeune femme se tourne avance vers la fenêtre ouvrant alors en grand le rideau de soies laissant entrer une douce lumière reflétant la beauté de la pièce trop souvent oubliée. todd pendant ce temps à trouver un vieux disque presque rayé qu'il installe avant de le lancer. douce musique avec quelques rythmes de quoi donner un peu de bonheur et de candeur dans le froid de la demeure. moon s'approche alors de todd pour le saisir et venir virevolter avec lui sur les grands tapis ! elle se met alors à rigoler à sourire à laisser la joie la parsemer les minutes passent et les rires s'entremêlent alors que soudain elle tourne sur elle-même en compagnie de l'elfe son regard se pose sur la porte entrouverte. elle s'arrête alors relâche todd tendrement avant de sourire presque timidement « je ne savais pas que tu étais là » elle laisse la musique sonner alors qu'elle s'approche de la porte d'entrée « désolé si la musique t'a dérangé » elle ne désir aucunement le déranger durant un moment de tranquillité ou de réflexion posé sur son trafique bien rôder. elle ouvre alors la porte pour l'inviter à la rejoindre « te joindrais tu as nous.. moi ? » elle le sait s'il passe cette porte todd disparaîtra sans même qu'on ne lui demande, désirant qu'ils s'apprennent sans yeux les observants.

    c'est le regard froid d'un noir profond qui passe la pièce sous un ton accusateur. pauvre petite poupée essayant de passer une agréable moment en petite compagnie. pourtant sa présence n'a aucunement le don de la refroidir, le sourire qui ne quitte pas ses lèvres, surement dû à cette tendre nuit qu'elle a réussie à partager dans des rêves imagés. elle le regarde entrer avant de râler, soupire qui sort de la bouche de la jeune femme roulant alors des yeux à son teint blafard. « pardonne moi de t'avoir dérangé ce n'était pas mon intention » elle recule alors pour venir baisser le son de la mélodie comme pour qu'il puisse apprécier peut être durant quelques instants le moment. pourtant il ne se déride pas, le teint froid observant le bonheur de la jeune femme. il ne comprend pas, comme à chaque fois, ce besoin irréfutable que moon a, de changer de comportement et de laisser parfois sa folie venir en dansant. elle soupire alors venant à détacher ses cheveux de blés tombant en cascade le long de sa nuque dénudée. elle vint la frotter presque gêner ne désirant aucunement le déranger, pourtant le mal est fait. « quelques douceurs pourraient peut-être te dérider, et deux cafés » ses yeux se posent rapidement sur todd qui n'a aucunement besoin de plus pour disparaître chercher la demande de sa maîtresse. celle-ci s'avance alors élégamment vers amos venant à saisir son bras pour l'obliger à la suivre et prendre place sur le grand fauteuil. « accorde moi au moins cela » la jeune femme le relâche assez rapidement prenant place elle confortablement sur le grand fauteuil éclairé par la douce lumière de la journée. elle laisse son regard vagabondait sur l'homme encore debout comme un piquet, lui faisant alors un signe de la tête pour l'inciter peut être à la rejoindre. sa bonne humeur n'est surement pas au gout de son interlocuteur, pourtant le bonheur de moon ne cesse de rayonner fortement dans son petit corps de poupée. aujourd'hui et une belle journée et son caractère courroucé ne pourrait venir la déranger. todd revint alors rapidement plateau en main et deux tasses lui emboîtant le pas. il dépose alors les délices sur la table, et les deux tasses elles, prirent place sans qu'il n'est à leur indiquer leur finalité. moon se saisit rapidement de l'une d'elle pour la tendre à amos n'ayant toujours pas bougé. c'est un sourire sincère et plein de tendresse qu'elle lui adresse, tentant ce qu'elle peut pour avoir un peu de compagnie en cette journée pleine d'ennuie. « et si tu veux que je me taise durant ce moment je le ferais » juste un besoin d'une présence de quelqu'un d'humain pour s'installer non loin d'elle, humer son parfum et l'observer de loin. oui elle en a envie, envie qu'il décide de rester qu'il prenne place pour quelques minutes, et peut être qu'il retrouverait un semblant de bienséance dans le silence qu'elle désir lui accorder. elle repose alors sa tasse sur la table basse, presque déçus qu'il ne la saisisse pas, prenant alors la sienne, remontant ses jambes vers elle et prenant le contenant entre ses deux mains appréciant sentir la chaleur de la céramique sur sa peau angélique. elle souffle un peu sur la fumée venant brouille son regard pourtant fixé, buvant une petite gorgée elle ne peut mieux espérer en ce début de fin de journée. lui, n'a pas l'air convaincu de la beauté de ce moment ne profitant pas de l'instant fermé et ne lui adressant même pas un petit regard enjoué. pourtant elle fait des efforts pour ne pas lui parler pour le laisser s'installer et la dominer, elle le sait il désir prendre les devants à chaque instant et pourtant au fond de son esprit une idée la titille, oui elle en a envie, à ce moment là, pourtant elle ne dit mot attendant surement que l'homme vienne à elle qu'il s'approche déjà et qu'il se laisse aller dans une émotion qu'il ne connait que trop peu, un moment simple de bonheur, où la joie pourrait venir peut être réchauffer son cœur.
 

    c'est le repos qui lui manque les nuits son bien trop courte, les nuits n'existent même plus. instabilité de sa personne ne trouvant plus le sommeil laissant ses cernes prendre place sous ses yeux embués par les fantômes trônant dans son crâne. ils rapent il tambourine dans sa tête inlassablement lui faisant entendre des sons inaudibles pour la belle. il délire doucement et elle ne le comprend que trop, jouant souvent avec les voix qui résonnent dans un monde que personne n'affectionne. la mort est si douce quand on y pense laissant au vivant l'offrande du silence. elle l'observe au fin fond du canapé où elle se sens bien doucement la belle le café entre ses mains frêles buvant chaque gorgée à chaques syllabes prononcés. elle l'écoute analyse son visage, dessine chacun de ses traits dans un mirage. la fatigue seule couleur de son esquisse, douceur de trait fin qui se fonde dans un vacarme de gribouillage au-dessus de sa chevelure comme reflétant le mal être qui l'anime. elle soupire repose la tasse sur la table de bois avant de venir à se lever elle fait un tour sur elle-même avant de venir faire le tour de la pièce, volant presque légère dans les quelques rayons de soleil qui les éclairent. elle ferme les yeux sentant la mélodie caresser ses cheveux venant à tomber dans le creux de ses reins douceur de cet instant incertain. elle se laisse alors vogue doucement bougeant sur elle-même se laissant basculer d'avant en arrière de droite à gauche dans un rythme de douceur charnel. elle ne le voit plus ses bras qui enlacent son corps frêle laissant ses doigts courir le long de ses cicatrices, solitaire à déambuler dans le silence de la pièce. les yeux qui s'ouvrent le bleu azure qui trouve le néant de sa fatigue titubant elle s'approche alors lui saisissant les mains sans une demande, dans un geste pourtant certain qu'il vienne à lui tenir avec entrain. « danse avec moi » c'est un ordre pourtant enrobé d'une douceur sucré, un mince sourire sur ses lèvres tirant doucement sur l'être enclin à lui rester infidèle. elle sourit doucement ne voyant presque plus le mal qui l'enrobe de sa peau élégante. elle le fait se lever reste à distance de ses bras et dans un soupire « juste une fois, aujourd'hui maintenant... » elle marque alors une pause avant de renchérir « juste pour que tu oublis dans le bruit et dans les mouvements le tumulte de tes nuits » elle s'approche alors doucement de lui avec une certaine élégance se sourire si volage sur ses lèvres, poupée de porcelaine qui répare doucement ses fissures en laissant entrée dans chaque fêlure chaque soupçon de bonheur que le temps avait décidé de lui donner sans concession n'y obligation. « ferme les yeux » un petit sourire, un petit rire voyant que son compagnon n'avait guère envie de la suivre dans cette douce folie. elle le supplie alors du regard, espérant qu'il l'écouterait juste pour que le temps passe plus rapidement et qu'il puisse aller se coucher. heureusement pour la jeune femme il capitule fermant les yeux, alors de ses doigts entrelacer elle vint ramener l'une de ses mains dans le creux de ses reins la rapprochant de lui sentant son souffle venir caresser son visage d'enfant timide. elle installe alors l'autre entre ses doigts avec tendresse avant de venir approcher ses lèvres de son oreille « ouvre les » elle recule son visage plongeant son regard abyme dans le néant de sien, mélangeant le tumulte de ses vagues à la torpeur de ses pupilles pouvant engendrer la peur. l'ouragan de leur regard se laisse se former alors qu'elle commence doucement à le faire bouger le guidant pour le moment dans quelques pas d'une simplicité déconcertante le faisant plus plus bouger pour débuter. elle a le sourire a ses lèvres le regard pétillant d'une certaine innocence non dissimulé.
 

    elle ne s'attend pas à ce qu'il se lève, surprise et pourtant si agréable à le voir la rejoindre se laisser faire en cet instant, oublier durant un moment qu'ils ne sont guère que deux pauvres âmes cherchant dans le néant le bonheur de voix tremblantes. le sourire à ses lèvres la douceur du moment, comme petite chose simple qui la ravie, il s'approche se laisse faire, et pourtant à chaque mot qu'elle prononce elle le sent se crisper si peu rassurée par cette invitation semblant irréelle. comme tenté par sa présence, comme espérant le voir s'aventurer à elle, avancer dans une direction beaucoup moins formelle. oui, elle désir oublier les colères passées, son regard noir qui l'accuse à chaque geste désirant maintenant juste que leur vie soit beaucoup plus légère. elle ne pense plus à être aimé par ce corps trop de fois bafoué, elle veut juste qu'il l'accepte tel qu'elle est, qu'il accepte de la voir déambuler dans les couloirs, qu'il accepte de l'entendre rire aux éclats, qu'il la laisse s'approcher quand l'envie lui sciée, qu'il la laisse être cette douceur qu'il n'a jamais acceptée. elle a oubliée d'entrer un instant dans son cœur, préférant qu'il accepte sa présence pour les mois qui vont s'écouler et dont la finalité sera de leur voir marié. il se laisse doucement tenter et pourtant ses yeux semblent s'écarquiller dans un refus quand elle lui demande de fermer ses yeux pour un instant. c'est l'incompréhension, qui vient à ses pupilles et pourtant la jeune femme insiste d'un sourire. elle ne lui fera pas, plus de mal, elle ne veut plus laisser cette part d'elle s'installait dans ses prunelles. douceur, seul moyen de le faire s'approcher comme si par ses gestes et ses mots elle avait le pouvoir de l'apaiser. elle soupire un instant alors qu'il résiste à sa demande, presque déconcerté la jeune femme recule un peu avant de voir fermer le néant de ses yeux. un mince sourire de victoire s'installe elle s'avance à nouveau pour venir le mettre en place. la danse nouveauté de leur duo, rapprochement instable du moment de les voir se tenir l'un contre l'autre présentement.

il se laisse alors basculer doucement lentement dans de pauvre mouvement sans aucun sens, juste acceptant de danser dans les bras de sa poupée. il laisse alors paraître un sourire, le cœur qui s'emballe la peau qui trésaille à le voir laisser la joie parsemer son corps plein de beauté. elle ne peut s'empêcher de sourire et même de rire à quelques tentatives de pas incontrôlé qu'ils tentent à s'aventurer. comme dans un moment parfait, la musique comme seule compagnie, leurs yeux qui ne se quittent plus. elle se laisse alors doucement guider lui rendant la main au contrôle de cet instant demandé. c'est ses mains qui viennent alors à la caresser grimpant le long de sa colonne avant de se mourir dans sa nuque avant de venir revivre entre ses reines la faisant frisonner sans fin. elle aime a se contact le sentir si proche, leur front qui se rencontre dans un moment de silence, sentant son souffle caressait ses lèvres. ses yeux qui se ferment profitant silencieusement de l'instant de son parfum venant l'envelopper dans un cocon dont elle ne désir s'échapper. elle aime à se sentir contrôler dans la douceur de caresses désiré, dans ses bras qui ne désirent la lâcher. puis elle le sent se rapprocher, c'est son cœur qui n'arrive plus à se contrôler ses battements qui s'accélèrent avec férocité sentant ses lèvres se rapprocher. il les effleurent longtemps, comme une demande formelle de pouvoir les saisir dans l'instant. elle hésite un moment, le laisser faire et perdre la tête où résister et se contrôler. pourtant il continue à la tenter faisant naître en elle un désir qu'elle ne saurait dresser... elle rompt alors la distance laissant ses lèvres trouver les siennes dans une douceur charnel le laissant s'amuser d'elle créant une émotion qu'elle ne saurait décrire. elle a les jambes qui flanchent, elle se rattrape à lui lâchant sa main pour venir entourer sa nuque caressant sa peau de ses ongles perdant le souffle dans ses lèvres perdant la tête dans l'instant, perdant le cœur dans le moment. coller à lui les secondes semblent interminables ne désirant aucunement se détacher et pourtant elle recule doucement le souffle coupé. le cœur qui se dérobe qui s'emballe qui s'aventure dans d'autre dessein dont elle ne connait pas le sens. timidité qui naît rougeur qui lui monte au joue le regard qui fuit le sien alors qu'elle le retient, le front qui se recolle au sien, le souffle court, perdant la notion du temps, perdant la signification de se moment... le silence qui les enveloppe leur parfum qui s'entremêlent le moment qu'elle redoutait alors passé désirant simplement qu'il vienne à recommencer. le myocarde qui tambourine comme désirant sortir de sa poitrine le regard fuyant de la douce enfant. ses ses mains qui laissent à parler, caressant sa nuque avec tendresse et délicatesse, comme pour le retenir encore auprès d'elle. le cœur qui se calme enfin, l'esprit qui retrouve la terre, les étoiles qui s'éteignent, ses prunelles qui retrouvent les siennes alors qu'un sourire vient à naître dans le creux de ses lèvres. lié par un baisé, laissant la frontière de leur corps se briser, se rapprocher pour mieux s'apprivoiser. la poupée est gênée par ce moment passé n'ayant rien contrôlé ayant simplement flanché sentant encore la sensation de son cœur emballé de ses frissons caressant sa peau de son souffle qui se meurt dans sa gorge, elle n'est que faiblesse entre ses doigts, il la contrôle sans même le savoir, il est son premier baiser, celui qu'elle ne pourra jamais oublier et a cet instant elle ne désir aucunement effacé ce rapprochement.. « j'ai souvent imaginé mais, je me suis trompée... » elle susurre ses mots, presque inaudible alors qu'elle ferme à nouveau les yeux avant de les rouvrir comme enclin à ne vouloir oublier ce baiser.. elle soupire de satisfaction sourit encore plus doucement comme si de ses lèvres venait à émaner les émotions qu'il venait de lui apporter. elle se mord alors la lèvre désirant recommencer, être à nouveau le pantin de ses baisers... elle se rapproche alors un peu collant sa poitrine contre son torse passant une main dans ses cheveux noirs avant de venir effleurer ses lèvres des siennes sentant son souffle qui s'accélère... les yeux qui se ferment à nouveau laissant vagabonder son souffle dans le sien, désir qui la consume prête à recommencer prête à lui voler un second baiser « tu me rends faible... » faiblesse de le vouloir, faiblesse de sentir ses mains qui la caressent, faiblesse de ses baisers qui la font flancher... elle se doit de lui résister et pourtant en cet instant elle ne sait plus se contrôler...
 

    délicatesse de son corps qui le caresse elle est docile la poupée entre ses mains d'une douceur inachevé. elle se laisse simplement dompter trop heureuse de sentir enfin son cœur s'emballer. elle aime à le sentir tout contre elle réchauffant son être. elle aime à le savoir si proche se jouant d'elle, petite fille qui ne joue plus se laissant dompter par la cruauté de ses baiser enflammer. ses lèvres trouvent à nouveau les siennes, ses mains passent dans ses cheveux noirs ébène le serrant un peu plus fort contre elle laissant sa langue se jouer de la sienne. elle oubli tout, qui il est qui elle est elle se laisse envoûte par son cœur qui se ne cesse de s'emballer. elle le retient à elle elle ne veut plus le lâcher douce sensation de se sentir désiré. elle le sens chavirer autant qu'elle coule dans le torrent de leur rétreinte, a cet instant ils ne sont plus qu'un seul être s'offrant l'un à l'autre douceur dans le silence éternel. alors il s'approche encore plus laisser ses mains couler le long de son corps pour venir saisir ses fesses et il la soulève avec tendresse. elle se cramponne à lui entourant de ses jambes frêles son corps de furie. elle remonte son autre main caresse sa nuque dans leur souffle qui se mêlent et s'entremêlent inlassablement. elle ne contrôle plus rien la belle prise au piège dans la douceur de ses baiser et de cet étreinte conventionnel. alors il l'enlève grimpant à l'étage il passe la porte et il l'allonge doucement là, surplombant son corps de femme, laissant ses yeux noirs venir se plonger dans l'abysse des vagues de la belle. un silence si proche et si loin, perdu dans le méandre de leur pensée, ne sachant pas à quel jeu ils vont se jouer. elle reste immobile sous son corps transie d'un désir qu'elle ressent dans chaque parcelle de sa peau frissonnante. il reste un moment à la dévorer, et la belle ne peut lui résister alors qu'elle sent chaque cellule de sa peau l'appelaient. elle le veut elle le désir elle veut se perdre dans son souffle elle veut qu'il la possède qu'il la face sienne. puis son prénom vogue dans le silence brûlant d'attendre brûlant de la garder si fragile sous lui, ne désirant qu'une chose qu'elle vienne à lui... beauté égaré se délectant de ses mots échangés... il la charme de son corps tout entier et pourtant elle ne cesse de se demander si elle pourrait flancher.. pauvre femme allongée sous se corps désiré auquel elle ne saurait résister se demandant bien ce qu'il fera d'elle le lendemain matin... elle soupire alors se mord la lèvre avec vigueur elle aimerait pouvoir le laisse faire et pourtant elle le ressent en elle quelques chose l'en empêche... elle vint à caresser son visage à laisse son regard se plongait dans le sien alors que l'une de ses jambes vint à caresser la sienne avec une certaine chaleur brûlant de l'intérieur « je te veux amos... » elle n'avait jamais rien désiré d'aussi fort, elle le voulait rien que pour elle juste durant cet instant et dans d'autre moment qu'il lui appartienne entièrement.. et pourtant elle le sait alors qu'en cet instant elle pourrait le laisser faire elle se bloque.. elle se relève alors avec une certaine lenteur venant coller son front à nouveau au sien, ses lèvres qui tressaillent de nouveau dans un baiser qu'elle pense être le dernier. l'une de ses mains vient à se faufiler sous son haut caressant son torse une fraction de seconde avant de tout stopper le regard retrouvant le sien presque désolé « ce n'est pas ce que tu veux.. » elle marque un silence fermant doucement les yeux, elle le perdra elle le sait elle le sent comme si se refuser à lui l'éloignerait fortement.. non elle ne peut lui offrir son corps alors que son cœur ne représente rien qu'un simple organe régissant son pauvre corps titubant sous l'effet de sa présence... elle ne peut renoncer au véritable amour et elle s'en retrouve bloqué, désolé de ne pouvoir lui offrir ce moment de désir auquel elle ne cesse de résister... elle sent son cœur qui se sert violemment perdant à nouveau le souffle dans l'instant, elle ne sera rien pour lui juste une fille de plus allongée dans ses draps de soie qui au petit matin ne sera que celle qui vie sous son toît... elle le perdra de ne pas avoir essayer de ne pas avoir succomber et pourtant elle le désir plus qu'il ne peut l'imaginer... son cœur qui se brise, de ne pas être aimé alors que doucement en elle naît un sentiment qui ne sera jamais partagé...
 

     c'est le doute qui s'empare d'elle, c'est la force de l'absence qui cogne dans sa tête... elle, toujours elle qui hante les murs de la demeure qui hante son cœur à chaque instant ne faisant d'elle qu'une simple visiteuse, une simple amante.. elle s'y refuse elle ne peut n'être que cela simplement cela, une simple poupée qu'il s'amuse à caresser et qui dans son cœur ne trouvera jamais une place animée. elle soupire et pourtant il se rapproche à nouveau tel, baiser mélancolique aux senteurs de passé de fantôme dansant dans l'immensité. son visage vint à elle comme un regard accusateur se sentant observe malmener, elle ne comprend pas mais son cœur se met à se serrer. elle n'est jamais loin, son âme cours encore les couloirs lugubres elle hante chaque moment de sa vie jusqu'à venir le visiter dans son lit. moon la ressent dans chacun de ses gestes elle est là tout prêt d'eux les observants secrètement de son regard accusateur. pauvre enfant se sentant accusé de venir séduire un homme au cœur déjà prit, elle se sent si petite dans l'immensité de se souvenir qui vint à l'englober à la tirailler alors dans son baiser elle ne vient plus à y danser laissant la mélancolie lui retirer tout désir.. alors il l'a ressenti il se relève doucement son regard persan, il sait que quelque chose ne va plus qu'elle a ressentit un mal qui lui est pourtant inconnu.. elle laisse alors sa main venir caresser sa joue tendresse mélancolique laissant son regard se perdre encore dans le sien, si elle le pouvait elle ne dirait rien, pourtant elle ne veut pas qu'il pense qu'elle ne le veut pas, ce n'est pas cela... « ne pense pas que je ne le désir pas... » elle marque une pause un petit sourire en coin ressentant encore son cœur s'enflammer à chacun de ses touchés « chaque cellule de mon corps veut t'appartenir... » elle ne ment pas, elle le veut tout son être ne veut qu'une chose qu'il la face femme qu'il la saisisse et qu'il l'emprisonne que leur baiser ne se meurt jamais qu'ils finissent chaque journée enlacés dans se désir violent. tentation terrible de devoir s'y refuser de devoir abandonné la simple idée de le toucher.. elle respecte trop cette présence qui hante les lieux, femme beaucoup plus forte qu'elle beaucoup plus belle ayant réussi l'impensable de saisir le cœur d'un homme aussi froid. elle soupire un moment avant de passer une main dans sa chevelure d'ébène elle n'a pas peur, non, elle n'a aucunement peur que dans l'instant elle ne soit plus cette pauvre petite enfant. elle est prête, prête à s'abandonner à lui à doucement apprendre à vivre... pourtant elle a tout arrêté. « je n'ai plus de crainte à m'abandonner à toi » oui elle veut qu'il le comprenne que ce n'est pas son inexpérience qui l'en empêche juste, elle cette femme amoureuse qui ne lâchera jamais l'homme qu'elle aime tant qu'il n'aura pas fait une croix sur elle. respect infime ne de ne pas la bousculer de ne pas être l'horrible femme à lui voler elle préfère alors doucement se laisser tomber à nouveau dans ses draps regardant alors le plafond évitant de le regarder de peur de le blesser... « elle est toujours là... » c'est un murmure qui passe ses lèvres presque inaudibles presque incertaine de devoir lui dire de peur de le voir à nouveau fuir.. elle soupire « je ne peux pas lui faire cela... » elle aimerait s'enfuir pour ne pas subir les tourments de l'homme encore au-dessus d'elle l'observant inquiet. elle le sait il ne veut pas qu'elle parle d'elle, pourtant elle se doit de lui dire, elle se doit d'avouer pourquoi en cet instant elle ne peut laisser son désir la consumer de peur de la brisée. elle a le cœur qui se déchire, cendre qui chute en elle la petite poupée qui se sent chaviré, elle a mal à la savoir encore se pavané dans le cœur de l'être qu'elle pourrait aimer...
 

      elle doute la pauvre enfant allongé sur le lit de son compagnon. fantôme qui rode encore dans les couloirs qui les espionnent de son regard blafard. là autour d'eux sans cesse les épiant le regard hurlant de tendresse, oublier dans le temps et pourtant voyant encore dans le vent. la douce est là non loin elle dévore encore du regard l'amant passé torture de le voir allongé là où il l'avait aimé. elle soupire fortement, il ne comprend toujours pas, obnubilé par un désir intense de la voir hurler sous ses doigts bruants. il se moque presque d'elle dans un soupire violent se laissant tombé lasse sur les draps se pliants. Elle est morte. le cœur qui se sert, morte dans la réalité et pourtant rodant encore dans son cœur de bête affamée. oui, elle n'est plus, ne pouvant le toucher ne pouvant lui parler et pourtant elle le sait elle emprisonne encore son cœur dans des souvenirs pleins de douceur. elle soupire à nouveau caresse ses bras doucement lentement ne sachant que faire ne pouvant le convaincre de sa vérité, qu'elle l'a désirée. alors elle tourne doucement son visage vers le sien dans un espoir incertain quand dans ses yeux il vienne à y lire toute la tendresse qu'elle ne pourrait jamais lui dire. il est cassant blessant parlant encore de son seul désir d'avoir un enfant, remise à sa place de pauvre ventre marchant dans les couloirs de leur appartement, elle n'est que cela à ses yeux pauvres enfant qui ne sera jamais rien de plus a ses yeux. c'est le cœur qui se resserre dans sa poitrine avec la mort de l'espoir infime qu'i pouvait avoir le désir de laisser frémir son cœur endurcie. rien, elle n'est rien de plus que la jeune femme qu'il désir un corps de beauté avec lequel il aimerait forniquer. elle soupire un instant se relève lentement pour venir prendre place sur le bord des draps laissant ses jambes se balancer dans le vide du lit qu'elle se doit de quitter « ne t'en fais pas je t'offrirais ce que tu désires » elle marque une pause la gorge qui se sert crachant de nouveau mot dans l'atmosphère « c'est bien pour cela que tu m'as acheté non ? » elle serre les dents blesser en son être ne pas être celle qu'il espère. un espoir de ressentir en son cœur trop de choses, les battements emballé d'un cœur blesser espérant trouver en sa personne l'homme qu'elle pourrait aimer... elle reste alors là, le dos tourné ne désirant aucunement le regarder, elle petit objet. pourtant elle le sent bouger, elle le sent insatisfait alors curieuse elle tourne doucement la tête et son regard bloque sur cet être. douloureuse sensation de voir son visage se crisper et ruisseler sur son front la chaleur qu'elle ne lui a pas procurée... elle s'inquiète l'enfant elle se tourne alors retrouvant le lit conjugale s'approchant de lui déposant une main délicate sur son front « tu es brûlant... » elle se relève alors rapidement trouvant la porte « todd ? » sa voix résonne dans les couloirs vides et soudain des petites jambes viennent à y courir l'elfe de maison accoure rapidement vers la jeune femme qui se baisse rapidement pour plonger son regard dans les grands yeux de l'ami ne comprenant pas pourquoi leur danse c'est fini là « rapporte moi une bassine d'eau froide et du linge propre » l'elfe jette alors un rapide coup d'œil vers le lit où trône le maître allongé le corps dérangé par des monstres du passé. il sert alors les lèvres d'un air paniqué, s'approchant de la belle pour venir murmurer « maîtresse moon devrait retourner dans sa chambre »  elle lève alors les sourcil étonné par ce petit secret qu'il ne désir pas communiquer à l'homme souffrant allongé. elle soupire alors « pourquoi ? » l'elfe regarde encore au-dessus de l'épaule de sa maîtresse comme s'il s'attendait à ce que l'homme vienne les agresser « maîtresse moon doit retourner dans sa chambre » elle se relève alors nerveuse et pourtant persuader qu'elle ne mettra pas un pied en dehors de la chambre d'amos. elle jette alors sa main vers l'elfe « ramène moi ce que je t'ai demandé, et vite » un ordre, surement l'unique fois où al jeune femme laisse sa voix déraillé en parlant à l'elfe tétaniser. il se penche en une révérence acceptant sa demande disparaissant alors sur les tapis du couloir décrépis. la jeune femme elle retourne au chevet d'amos toujours torturé par la chaleur qui vient à le tuer. elle s'installe sur le rebord du lit au plus proche de l'homme venant à passer sa main sur son visage dans une douceur extrême espérant trouver le mal qui vient à le ronger... la bassine se pose sur le chevet l'elfe s'incline et déguerpie rapidement sans un mot n'y un regard au couple si macabre... la jeune femme trempe le linge dans l'eau froide l'essore doucement avant de venir le déposer sur le front de l'homme espérant ainsi lui faire retrouver une température ne lui ouvrant guère les portes du passé. elle ne le lâche pas du regard un seul instant « je vais prendre soin de toi... essaye de dormir » douceur dans la voix tentant de le rassurer alors qu'en elle tremble l'idée qu'il pourrait la détester ou pire la tuer.