A bride to be (Moon) -- TW - fermé

l'annonce est tombée, elle douce enfant, fiancé. le poids de cette annonce qui tambourine dans sa poitrine depuis que sa mère lui à dit, lui, elle ne sait rien, choisi par pertinence, par coup de chance. un petit mois après cette annonce, tapant à la porte familiale offrant multitude de qualité pour la poupée désarticuler. comment refuser, homme de bonne famille, riche d'argent pouvant enfin offrir à la pauvre enfant un avenir quelque peu descend. vendue au premier passant, sans vraiment à chercher autrement, là voilà, obligé de devenir femme d'un homme qu'elle n'aimera surement jamais. là, debout dans cet appartement lui semblant tellement grand, devant son reflet dansant, elle s'observe, là debout, dans l'obligation de se faire belle pour un inconnu pour qui elle a été offerte. un soupire trépasse à ses lèvres, les cheveux noués dans une tresse tombant sur l'une de ses épaules nouée d'un ruban bleu clair, tombant sur cette robe achetée naguère par une mère désirant que sa fille soit la plus présentable pour ce conquérant pour le voleur de son nom. robe d'un bleu clair tombant jusqu'à ses chevilles, les manches longues pour cacher les cicatrices qu'elle n'aurait su dire. un nouveau soupire se tournant vers son appartement le regard mélancolique, se demandant si elle pourra y revenir. il est l'heure, enfilant ses biotines un long manteau se posant sur ses épaules, elle s'envole.
là, devant cette porte fermée elle n'ose pas y frapper, un pas en avant puis un reculant espérant un instant de pouvoir fuir son destin tremblant. elle refuse un moment sa condition, et pourtant la promesse revint à ses oreilles. elle le doit à ses frères, elle le doit à ses parents et pourtant la lune désir fuir, se morceler en étoiles filantes courant le ciel et tuant le néant. elle recule encore d'un bas titubant presque, tremblant de son être dans l'espoir qu'elle aurait le courage de partir, et la porte vint à s'ouvrir. ses yeux tombes sur un être dont elle ne connait pas la nature, petite chose frêle qui l'observe, un mince sourire sur ses lèvres, il la salut, d'une révérence élégante, sourire qui grimpe à moon, tragique pourtant, comprenant maintenant qu'elle ne peut plus reculer, elle ne peut plus s'envoler. elle se laisse alors guider entrant dans la demeure de l'être qu'elle devrait aimer. elle observe, les tentures et les tableaux ornant les murs, décoration promettant la fortune. la créature alors l'installe dans un fauteuil prenant alors sa veste dans un signe de délicatesse. mince sourire sur ses lèvres, comme ressentant un mince espoir en cet être. pourtant le silence vient à nouveau à s'installer alors qu'il fait son entré. elle se lève d'un bon, comme par respect, l'observant dans un silence qui n'annonce rien de bon, comme si la belle avait soudain comprit qu'elle ne pourrait plus jamais fuir. il s'approche la beauté qui s'installe, sa prestance prenant place dans la pièce faisant suffoquer l'enfant tremblant de plus belle. il prend avec délicatesse sa main, déposant un baiser sur le dos de celle-ci, avant de reculer d'un pas la toisant de haut en bas. malaise naissant en elle, pourtant il ne semble pas y prendre part, la dévisagent, la complimentant, froidement, sans sentiment. poupée de porcelaine, objet qu'il déposera dans un coin de sa demeure et qu'il exposera au passant comme trophée d'un mariage arrangeant. il ne la laisse dire un mot continuant dans ses propos. là voilà la réponse, prisonnière de sa nouvelle condition, femme enfermée, prête à le détester. elle recule d'un pas prenant alors doucement la direction de la fenêtre lentement, silencieusement. elle s’arrête alors devant les vitres, déplaçant quelques peu le rideau pour regarder le ciel, là où sa génitrice prendra place dans quelques heures. « alors c'est ainsi, je suis votre prisonnière, vouée à rester ici entre ses tentures pleines de poussières » elle tourne doucement le visage vers son interlocuteur n'ayant aucunement détaché son regard d'elle. elle soupire, faisant alors volte face vers son geôlier   « qu'elles ont été les conditions pour que je vous sois offerte aussi facilement ? » elle ne sait rien, rien des négociations de ses parents avec lui, rien, simplement que tout a été arrangé, presque trop facilement. leur ont-ils dit qu'elle n'était guère la pureté incarnée ? qu'elle avait de grave souci de santé ? que la douce poupée avait longtemps été désarticulé, posée dans un coin hurlant à la lune à sa folie pure... non, surement pas, ils avaient surement omis de lui offrir cela, préférant qu'il se surprenne à en avoir peur quand elle se mettrait à crier, quand la folie viendrait la bercer.

 il sait les yeux qui se ferment elle perd le souffle, sa respiration qui s'accélèrent sentant son sang bouillir en elle. pauvre petit oiseau dont la cage se referme, elle ne dit mot l'écoute tremble à chacun de ses mots. serpent assoiffée de son sang faisant d'elle la pauvre folle que l'on enchaîne que l'on dépossède. elle frisonne à son souffle qui la caresse, il l'emprisonne l'attache à lui par son souffle qui la ruine. il s'amuse d'elle, jouant de ses nerfs alors qu'elle manque un battement que son souffle se perd dans le rythme s'accélérant. bourreau de son être poupée de porcelaine que l'on vient jeter au sol, fragment de son être qui craque sous ses mots ses gestes, elle perd pied l'enfant, la folie qui la guette, le cœur qui se brise confirment ses pensés incertaines. vendu pour rien, folie comme seul destin, pauvre petite chose que l'on offre en échange d'un semblant d'avenir à un être que l'on ne saurait décrire. il est folie, machiavélisme naît, il sent la mort, la détresse la putréfaction de l'être, il n'est que dégoût puanteur, malheur. le destin déposant un baiser sur sa peau dénudée, elle frisonne la pauvre poupée tétaniser par chacun de ses gestes chacun de ses mots, comprenant qu'il sera son tombeau. il recule avec une lenteur monstrueuse la tenant en allène de savoir si c'est maintenant qu'il désire la tuer. la proie apeuré lui lançant un regard plein d'animosité. elle ne l'aime pas, elle ne l'aimera jamais, pauvre enfant ayant eu un instant l'espoir de pouvoir être aimer, de pouvoir juste un instant être sauvée. il recule enfin la laissant respirer, reprenant son souffle et pourtant sentant encore son corps se coller brutalement contre le sien et ses lèvres qui caressent sa peau comme une sensation interminable lui glaçant le sang et tout espoir. il se fiche d'elle, il n'est là que pour la posséder la faire sienne, il recule, échange des mots et l'invite ensuite à le suivre. elle hésite, longtemps, et pourtant elle le rejoint comme si sortir de cette pièce l'aiderait à oublier cette sensation de ses lèvres enflammée. il parle, elle ne l'écoute pas, le regard dans le plus grand des vides, dans le néant de cet instant, marchant sans vraiment le suivre, ne sachant guère ce qui va advenir. elle le laisse parler, il lui présente les pièces où elle a le droit de jouer puis il s'arrête menaçant son être, revenant à elle, comme intrigué par cette porte fermée, elle s'en approche alors, caressant le bois d'un geste délicat le toisant alors du regard, le provoquant presque dans l'instant avant de déposer une main sur la poignée de la toucher lentement la faisant tourner puis elle s'arrête avant que le claque de la serrure ne lui face comprendre qu'il n'y aurait pas d'issus, elle oublie la porte pour se tourner vers lui un mince sourire sur ses lèvres, douce folie, dinguerie qui la parsème incontrôlable, indomptable même sous le tranchant de ses lames. puis il avance, vers cette chambre, douceur incarnée, elle entre d'un pas décidé sous une délicatesse née. son regard tourne dans la pièce son corps virevolte sa robe flotte autour d'elle. sa chambre surement la meilleure des nouvelles. endroit où il ne viendra pas où il la laissera, l'obligent pourtant à venir vivre ici-bas. elle s'arrête alors se tourner pour revenir à l'être détesté déposant ses conditions entre ses lèvres acérés. « je ne comptais aucunement vous y retrouver. » elle claque ses mots dans le silence de la pièce lui faisant pertinemment comprendre qu'il n'aurait jamais la joie de la voir s'introduire dans ses draps. « je serais absente la nuit » elle le coupe dans son élan de directive, oui elle ne veut pas rester là, oui elle veut retrouver sa tour de pierre où les étoiles aiment à y naître. la nuit la lune vient à elle dans des murmures éternels, dans la douceur de sa rondeur la bercer et lui faire doucement oublier sa chute sur terre. elle ne dormira pas là, elle ne veut pas, passer ses nuits là. elle le défi du regard passant sa tresse dans son dos à cet instant. « vos conditions ? vous semblez enclin à faire de moi votre prisonnière et à m'imposer chacun de vos désires, mais vous l'avez-vous même dit c'est un bordel sans nom là-dedans et je ne suis pas enclin à respecter tous vos désirs » sa voix se veux beaucoup moi fébrile, elle est cassante l'enfant cherchant à ne pas mourir ici. elle le sait pourtant, il est loin le jardin d'enfant, prisonnière du mal incarné, douceur de la lune qui sombre dans l'ombre du néant. « sachez que malgré une liste de condition jamais je ne serais une épouse parfaite » elle le sait, il le sait surement tout autant qu'elle l'ayant choisi par pur dépit, car c'est tout ce qu'il pouvait s'offrir, une gamine à l'esprit déglingué dont les parents désirer se débarrasser.

le regard qui se pose sur le bourreau de sa nouvelle vie, désirant l'enfermer ici en sa désagréable compagnie. elle refuse ne désirant aucunement rester ici assis sur un lit qu'elle se sentirait obligé de partager avec l'homme qui la enchaînée. c'est d'un pas rapidement qu'elle décide de s'envoler passant les couloirs pour s'enfuir. la voilà, entrant dans le grand salon ou tenture et ombre danse dans la pénombre. un petit soupire cherchant la clarté des fenêtres fermées. voici son nouveau monde, froideur et peur, terreur qui bouillonne et désir de liberté de s'envoler pour ne plus jamais y remettre les pieds. elle s'installe dans le silence de la pièce ne désirant aucunement coupé l'homme dans son élan de démonstration masculine. possessif, abusif, il tant à l'enfermer à l'enchaîner à ses désirs, pauvre enfant, voué à n'être que la beauté dans le vent, illusion de bonheur dans l'antre de l'horreur. elle le regard l'écoute attentivement cette fois-ci, observant ses lèvres articuler chaque syllabe de ses exigences de ses tendances. voilà, elle n'est plus que le simple désir d'un homme tyrannisé entre l'envie de la voir fuir et l'envie de la retenir, dernier espoir d'un veuf ayant perdu trop d'espoir et préférant garder la pauvre enfant sous bonne garde. il se fiche bien d'elle t'en qu'elle lui offrira un enfant quand le temps lui en fera vent. elle n'est que cela un ventre porteur de vie et pourtant c'est tout ce qu'elle ne voulait pas être. un soupire se souvenant encore de ses rires avec ses astres favoris espérant qu'elle trouverait amant et mari dans les effluves d'un sentiment fort la possédant la complétant. rien, non, juste les obligations d'une femme pour un homme dans les temps sombres qui s'envolent, juste un ventre prêt à enfanter, juste un objet que l'on aime exposer. c'est la douleur et la mélancolie qui l'enveloppe doucement repensant à ses espoirs éteints, à ses demandes incertaines, à ses pensés de bonheur éternel. foutaise, là voilà assise là l'écoutant parler sans même prendre le temps de voir si la douce poupée est intéressée. il se fou d'elle, et elle fera de même. exigence de ne pas sortir, de ne pas enfanter d'un autre. s'il savait, s'il imaginait un instant que la douce ne pourrait jamais lui offrir se plaisir de le trahir. douce enfant encore innocente de tout geste, de toute tendresse, n'ayant jamais eu l'occasion de se voir aimer n'y de se faire embrasser. elle ne dit pourtant mot, préférant qu'il s'imagine intérieurement qu'elle pourrait le faire, qu'elle pourrait tomber sous le charme d'un être beaucoup moins formel. le voilà qui se tait enfin, le laissant déglutir tout ce qu'il vient de lui exposer comme un tableau qu'il a longtemps décoré auquel il a longtemps penser. elle le regarde dans se silence qui lui est si familier, puis elle soupire un instant, elle le sait son bourreau ne la laissera jamais respirer, elle sera à jamais sous son commandement, et sous les menaces incessante. pourtant elle le sait en son antre se cache de lourd secret, peut-être l'unique vérité que ses parents lui ont donnés, l'homme a tué, du moins c'est la rumeur qui aime a caresser son visage de cruel geôlier. veuf de deux amantes, le cœur brisé par sa folie meurtrière et son désir de faire couler le sang sans sa demeure. alors elle soupire une nouvelle fois croisant les jambes sous le tissu voletant encore « et pour ce qui est de vos femmes, des fantômes hantant encore l'air, que dois-je faire ? sourire et mentir à nos hôtes ou gentiment leur avoué que je serais surement la prochaine à errer dans les couloirs de la demeure des gaunt ? » rien, le visage fermé pas un sourire, porcelaine figée dans l'instant posant une question qu'elle le sait ne lui sera d'aucune aide pour s'évader de cette prison éternelle. elle attend sa réponse et pourtant c'est le malaise qui flotte doucement dans l'air, qui s'incruste dans chaque parcelle de leur peau les unissant pour un moment, dans un instant de froideur et de malheur. « car je ne compte pas mourir ici prenez en compte » elle caresse doucement ses bras recouvert de ce tissu cachant ses blessures ses fêlures, cette magie qui coule dans ses veines celle qui la fera s'envoler à la lune.

 froid, insensibles, et délicat, il n'est que la peur, la torpeur, le malheur il s'achemine dans ses penser la brise et désir l'enfermer. il est le mal incarner, rodant autour de sa nouvelle proie prêt à la dévorer si rien ne va. moon n'est qu'une pauvre enfant blottit dans la cours des grand, ne sachant véritablement comment jouer ce jeu macabre qui vient de débuter. elle le regarde le provoque presque du regard et son calme qui l'envahi. il n'est que mauvais présage, il mènera surement à sa perte se foutant bien que l'on sache qu'il est l'auteur de la mort d'épouses fidèles. le malaise prend place dans la pièce donnant le ton à leur relation, comme un début de mauvaise histoire comme s'ils savaient pertinemment l'un est l'autre que tout cela finirait mal. ils se défient du regard, elle ne lâche pas le sien, et elle se fiche bien qu'il finisse loin. emprisonné voilà ce qu'elle est, et lui vagabonde encore alors que la mort sa plus fidèle compagne lorgne, alléchante de savoir qu'une nouvelle âme viendra bientôt s'ajouter à cette longue liste jadis commencée. douce poupée marquée par la mort qui joue de ses ficelles pour que son bourreau s'en mêle. acteur du mal, pantin de la faucheuse il s'avance à elle, comme assoiffée de la découvrir de plus belle. pourtant ses mains se pose à ses poignées et moon commence à paniquer elle tente comme elle le peu de se retirer serrant les dents, grognant de plus belle à la violence qui s'installe sur son être. non, personne ne doit voir cela, personne ne doit savoir, personne. il ne semble pourtant pas enclin à la lâcher serrant encore un peu plus fermement ses poignées avant de venir relever les manches cages de ses souffrances. son regard se fait moins strident, beaucoup plus persan, jetant son bras dans le vent hurlant de colère à cette vision de la mort déjà présente sur son être. il pose des questions il l'invite à se tuer, comme si de toute manière cela pouvait l'apaiser. poupée de chiffon désarticuler dont le maître vient de découvrir son plus noir secret. s'il savait ce n'est pas réellement la mort qu'elle tente à chercher, mais, la douce clarté d'une mère l'attendant dans le ciel au milieu de millier d'étoiles éternelles. elle est cela une étoile tombée du ciel qui chaque jour tente inlassablement de retrouver le ciel. ils ne comprennent pas, personne ne comprend, un besoin, une drogue frémissante dans ses veines coulant le long de sa peau à la demande des nombreuses voix dans sa tête. douce folie qui grimpe le long de son être repassant sur les cicatrices de ses bras, caressant sa nuque pour atteindre ses lèvres, elle serre les dents et crache à son visage comme signe de haine. « ne vous avisez plus jamais de me toucher amos adoré » la colère grimpe en elle, elle ne tremble plus la belle remettant ses manches sur les preuves de sa folie ne le lâchant pas du regard de peur qu'il ne lui saute à la gorge.  « remonter encore une fois ses manches et je vous tuerais » elle le menace et aucun mot sorti depuis leur rencontre ne claque aussi véritablement dans l'air. elle ne supporte pas qu'il désir s'aventurer dans ses secrets dans ses pratiques inavouée. maudite folle à liée faisant couler son sang pour l'entendre encore la douce voix de sa mère, de la lune dansant dans le ciel, un besoin irrépressible de la savoir prêt d'elle, l'attendant encore, son enfant, ce petit être. le regard plus noir que jamais elle crache ses mots comme pour le frapper « ne vous en faites pas si la mort voulait de moi elle m'aurait déjà prise il y a des mois » elle s'avance vers lui avec méfiance et défiance « vous n'avez rien à savoir de plus » silence « et si cela ne vous convient pas vous n'avez qu'à rompre le contrat » un espoir minime que cette douloureuse découverte le refroidisse et qu'il décide alors de la laisser de l'abandonner de rompre toute idée de la faire sienne et de l'enfanter.