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 'cause i've done some things that i can't speak (orf)

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AuteurMessage
Rhys Northcott
sans camp
Rhys Northcott
crédits : @doom days/av.
face claim : Dylan O'Brien.
pseudo : January Blues, Cass.
études : Vipère, promo 1898/1905.
'cause i've done some things that i can't speak (orf) Empty
Message (ϟϟ) Sujet: 'cause i've done some things that i can't speak (orf)   'cause i've done some things that i can't speak (orf) EmptyDim 9 Aoû - 22:54


'Cause I've done some things
that I can't speak
And I tried to wash you away,
but you just won't leave
/ @orfeo lovegood

Gringotts n'avait rien de sinistre, mais pourtant, Rhys détestait s'y rendre. Certainement que l'endroit lui rappelait qu'au fond, il n'avait rien. Rien qui lui était propre. Existence qu'on avait privé d'espoir dès la naissance. Suivant de près la silhouette féline de la Greengrass, le visage glacial et les pupilles à l'horizontale, il se contentait d'assurer la protection de la jeune femme. Rien de plus, rien de moins. Bien que stimulé par l'idée d'être entouré d'autant de richesses et grandeurs, il continua d'avancer, de cette démarche presque militaire. Le regard toujours levé droit devant lui. Non, Rhys. Pas maintenant.
Bien, Monsieur Northcott, je n’ai plus besoin de vos services pour le moment. Elle se retourna, talons claquant sur le sol marbré de l’endroit, cheveux éternellement relevés dans ce chignon strict (trop strict), hanches se dandinant au rythme de cette démarche théâtrale – et quel spectacle. – Mademoiselle Greengrass, atten… Et déjà, la jeune femme s’éclipsait par une des cheminées de la banque, aménagées pour l’occasion.
Et par occasion, il fallait évidement entendre circonstances chaotiques. Il fallait après tout rebondir tant bien que mal à l’empoisonnement, et la vie ne pouvait s’arrêter contrairement à la magie. Estomaqué, Rhys soupira longuement, puis finit par hausser les épaules. Nombreuses fois il s’était questionné sur les raisons qui poussaient Minos, frère de la diablesse, à l’embaucher pour surveiller cette gamine qui de toute façon, n’en faisait qu’à cette tête. Pour en venir à la conclusion que c’était exactement pour ça qu’on le payait. Et malgré tous les efforts qu’il mettait pour se tenir aux côtés de la belle (ce qui, à vrai dire, n’était pas réellement un effort), elle finissait toujours par lui filer entre les doigts. Ah, les femmes. Sortant de la banque sorcière les mains dans les poches, il secouait la tête, pensif. Ses troubles kleptomanes le démangeaient ; il devait sortir de là avant qu’une facette sombre de sa personnalité ne reprenne le dessus. Comme souvent. Bien trop souvent. Et la silhouette qui se dégageait en face de lui ne le savait que trop bien.
Or… Orfeo ? Les pattes qui se paralysent, le souvenir de ce joyeux trio, de ce qui s’était le plus rapproché d’une amitié (bien sûr qu’ils étaient tes amis, Rhys – ah ! Satanée fierté.) Orfeo, Emrys, et Rhys. Trois têtes brunes pour une seule alchimie. Il sentait soudain une immense gêne l’envahir ; un sourire pour la maquiller, comme toujours, comme il l’avait toujours fait. Tu… Tu habites toujours ici. C’était pourtant évident. Je suis rentré il y a quelques semaines, je souhaitais te rendre visite mais je n’ai pas réussi à trouver le temps avec… Le doigt levé pour désigner la direction de la banque, où il venait d’y quitter Caecilia. Je t’expliquerai.
Il était parti. Simplement. Banalement. Il était parti sans dire au revoir, sans dire pardon, sans rien dire. Une lettre envoyée à son arrivée en Amérique, cuisante de mensonges, brûlante de regrets. Et pire que tout encore ; il l’avait volé. Orfeo savait-il seulement ce que son ami lui avait fait ?
Je suis heureux de te voir. Et c’était sincère. Presque un début d’aveu, un début d’excuse ; pourtant, Rhys savait qu’il ne pouvait se le permettre. Il n’était pas le seul à dépendre de ça. Toute une famille, toute une mafia, derrière. Et s’il finissait par les semer, les distancer, les laisser vraiment derrière ?
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