rongé par la haine ◊ (timus).

Héritier Malefoy, ton géniteur n'a pas perdu de temps et à très vite veillé, à ce que tu suives son exemple (la même voie qu'un Malfoy digne de ce nom, se doit de suivre). ◊ Enfant turbulent (voir violent), tu faisais vivre un véritable enfer à ta génitrice, tu pouvais te mettre dans un état de colère extrême, pour des broutilles. Seul ton paternel, réussissait à t'apaiser. ◊ Ton père, cet homme que tu considérais comme un modèle, mais qui pouvait également te faire ressentir de la peur. Il n'avait pas besoin d'être violent pour ce faire comprendre, il avait quelque chose d'unique, encore aujourd'hui, tu le crains (et l'admire à la fois). ◊ Ta mère, cette femme qui paraît comme étrangère à tes yeux, tu la trouve faible et ne comprends toujours pas le choix de ton géniteur. Tu n'as pas honte d'être son fils, mais c'est tout comme. Tu ne lui ressembles en rien (à par physiquement), tu as tout pris de ton père et cela te rend fier, mais tu es bien trop pudique ou fier pour l'avouer. Le contact est rompu avec ta mère, depuis ton adolescence et moins tu la vois, mieux tu te portes, ce n'est qu'un fardeau, rien d'autre. ◊ Tes ancêtres, tu as lu de nombreux ouvrages sur eux, dans la bibliothèque familiale. Ton père a aussi pris le temps de t'expliquer, de te raconter des histoires sur ta famille.  Cela compte beaucoup pour toi, car tu t'es vite rendu compte qu'ils étaient des mages noirs puissants, bien qu'ils n'étaient la plupart du temps, pas reconnus à leur juste valeur. Tu es fier d'être un Malefoy et tu es prêt à tout pour pouvoir écrire une nouvelle page dans l'histoire de la magie, car tu n'es pas prêt de laisser ton nom disparaître des livres d'histoire. Tu accompliras de grandes choses, tu en es certain et tu ne laisseras rien ni personne, salir le nom des Malfoy.  ◊ Serpentard, aucune surprise. Le choixpeau magique savait immédiatement dans quelle maison te mettre, de toute façon, tu n'as jamais doté de ta répartition au sein des verts et argents. ◊ Le Quidditch, un sport que tu as découvert dans l'enceinte de l'école de sorcellerie. Apparemment considéré comme le sport préféré des sorciers, tu penches plus pour une idiotie. Voler sur un balais pour attraper une vulgaire boule orée, c'est une activité pour les gosses. ◊ Le duel, une activité intéressante, toi qui avait un certain don pour manier la baguette et utiliser une panoplie de sorts. Tu as été élu plusieurs fois comme étant "le meilleur duelliste" de l'école, oui tu en étais fier (et ton père aussi, car il se rendait compte que tu avais certains talents). ◊ Résultats scolaires, ma foi, ils étaient très bons dans l'ensemble (à par pour le vol sur balais). Tu n'étais pas non plus dans l'élite, mais tout de même, tes notes étaient très appréciables, toi qui étais si exigeant envers ta propre personne. ◊ La Marque, un moment crucial dans ta vie, que tu n'oublieras jamais. Tu as toujours été du côté du seigneur des ténèbres, tu ne l'as jamais caché, tu étais (et est encore) très fier de ton idéologie. Recevoir la marque, c'était une récompense pour toi, un cadeau unique, il était donc inconcevable pour toi, de trahir toute cette confiance. ◊ Violence, tu étais déjà un enfant turbulent et impulsif, mais avec le temps, tu es devenu bien plus que cela. Affecté à de nombreuses missions pour le Lord, tu faisais preuve d'efficacité, mais aussi d'une violence rare, comme si tu étais attiré par le sang, par le besoin de faire du mal (de tuer parfois). Un comportement qui n'a pas changé et qui a même empiré avec le temps. Tu n'as peur de personne (à par peut-être de ton paternel) et tu comptes bien le montrer à tous.◊ Ministère de la Magie, un endroit que tu connaissais, car ton père t'emmenait souvent à son travail, lors des vacances scolaires. Tu as toujours été attiré par cet endroit et aujourd'hui, tu travailles dans ce lieu si important. Chaque fois que tu repenses à ton enfance, à ce que tu as pu ressentir, tu ne peux t'empêcher de sourire. ◊ Langue-de-plomb , un emploi que tu affectionnes, même si en ce moment, tu préfères te concentrer sur ta vengeance, ton envie de redorer la forte réputation de ta famille. Bien sûr, tu aimerais prendre la place de l'actuel chef du département des mystères, mais tu es bien trop jeune pour occuper un  tel poste. ◊ Les femmes, tu sais que ton père veut que tu épouses une jeune sorcière de sang-pur, mais tu es bien trop occupé à réfléchir à un moyen de sauver et de rétablir ta famille (sa réputation, son pouvoir). De toute manière, tu n'as jamais eu de relations très sérieuses, car tu n'as pas encore trouvé celle qui te tiendrait tête. Tu aimes les femmes, c'est indéniables, mais tu leur brises plus le cœur qu'autre chose et tu en as bien conscience. Tu te moques du mal que tu peux leur faire ? Certainement. ◊ Les moldus, des êtres que tu méprises, qui ne servent à rien dans ce monde qui doit être dirigé par des hommes au sang-pur. Tu ne veux pas plus t'étendre sur ce sujet, tu as déjà un goût désagréable dans la bouche, rien que de penser à ses vermines (oui tu aurais pu être différent et respecter ses personnes, si tu n'étais pas un Malefoy). ◊ Les chasseurs de sorcières, , des rêveurs qui pensent pouvoir exterminer les sorciers (en gros une bande d'idiots), voilà tout. Il ne servirait à rien de polémique là-dessus, tu classes ses individus dans le même sac que les sang-de-bourbe. ◊ Manoir Malfoy, ton lieu de vie, quand tu as besoin de réfléchir à ta vie (à ce que tu feras pour restaurer l'honneur de ta famille). Tu es souvent dans ce lieu qui a bercé ton enfance ces temps-ci. Tu as besoin d'être seul, tel un loup dans l'obscurité, qui pourrait à tout moment, vous sautez à la gorge. ◊ La haine, un sentiment qui t'habite depuis toujours et qui te permet d'être encore plus fort que tu n'es déjà. Voir ta famille en déclin, cela te rend fou, te brise littéralement. Tu dois faire quelque chose, que ce soit seul, ou avec d'intéressants alliés.◊ La mort, tu n'as pas peur de cette chose. Bien sûr, tu te demandes comme tout le monde, ce qui peut se trouver après avoir succombé, mais cela n'effraie guère. De toute manière, tu réalises bien, que ce que tu veux entreprendre, te coûteras très certainement la vie, mais le sacrifice en vaux réellement la peine, tu en es entièrement convaincu. ◊