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 FB | Ferveur décadente (Abelforth)

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Message (ϟϟ) Sujet: FB | Ferveur décadente (Abelforth)   FB | Ferveur décadente (Abelforth) EmptyLun 6 Avr - 20:54

Pluie diluvienne qui inonde les rues pavées du Londres sorcier. Contrées empreintes d’un mystère dont les moldus taisent le nom, ne sachant ce qui se trame derrière ce miroir que les sorciers lèvent chaque jour. Chemins épars qui sans cesse se croisent mais jamais ne se mêlent, préférant ce fossé creusé aux des idées archaïques. L’heure est au progrès, à une avancée de la part de ce camp qui n’aspire que par le sang, couleur pourpre qui teinte chaque corps mais qui, selon l’origine, est souillé. Absurdes associations que Sinéad dénonce. Ses idées sont pourtant jalousement gardées derrière le minois de marbre qu’elle arbore. Demoiselle de Brún n’existe que pour les intimes ceux qui, dans l’huis clos ne souffrent guère des mensonges qu’elle profère à chacune de ses paroles. Désormais connue sous le nom d’Olbricht, malédiction qui la lie à ce haut gradé et lui permet d’infiltrer les lieux où ses oreilles indiscrètes peuvent capter le plus insondable des secrets. Parée telle une dame, cape fièrement drapée sur ses épaules, chignon dont aucune vindicative ne dépasse et regard avisé, elle avance au milieu de l’assemblée rassemblée à ce jour. Josef ne fait partie du voyage et c’est en conquérante mesurée qu’elle demeure. Les apparences et convenances inculquées doivent être respectées, elle ne peut trahir sa couverture.

Les plus éminents scientifiques et inventeurs novateurs sont rassemblés sous le dôme à ciel ouvert matérialisé en plein cœur de Londres. Place aux allées qui n’en finissent pas, modulées par les stands tenus par les illustres représentants de la communauté sorcière de ces dernières années. Engins volants où la magie confère des propriétés insolites, plantes dernièrement référencées par les botanistes qui désirent discourir sur la révolution apportée par leurs découvertes. Le ciel constellé d’un plafond qui retient l’eau qui cloque apporte à l’ambiance une teinte fantasmagorique, sinueux chemin entre le réel et l’irréel. Sinéad vagabonde entre les étals, se damnant devant les pierres qui s’alignent sous ses yeux, les bijoux qui pourraient résulter de leur taille se dessinant de façon imaginaire devant ses yeux. On la tire bien vite de sa rêverie car le clou du spectacle s’annonce et la foule occupe la place centrale où une estrade a été montée pour l’occasion. On parle de progrès spectaculaires dans le domaine de la médicomagie et beaucoup trouvent plus prompts les cocktails et autres mignardises distribuées par les elfes de maison qui cherchent preneurs. Regard distrait et mélancolique porté à leur encontre, la blonde récupère une coupe d’un alcool probablement offert par des grandes mains sorcières mais qui ne s’adonnent à sa distribution, préférant cela aux créatures. Son poing se serre et ses ongles raclent le cristal du verre qui menace de céder sous sa nervosité. Une voix trahit les malvenus, voix féminine probablement croisé lors de cette mascarade qu’elle nomme mariage, déjà ce mot roule sur les lèvres de la peu connue. « Sinéad, je suis ravie de vous retrouver ici. Nous ne nous sommes pas revues depuis votre mariage. Une délicieuse cérémonie » susurre la parasite qui s’empare du bras de la complice, la désarmant avant qu’elle puisse fuir. Sourire exquis qui pare ses lèvres pourpres et réponse amicale qui traverse sa bouche. Réponse qui brûle son gosier d’une envie de cracher des flammes lacérant le corps de celle qui se prétend amie. « Quelle heureuse coïncidence. Comment vous portez-vous ? » Ses yeux observent la silhouette de celle qu’elle reconnait comme l’une des dindes qui ont campé aux côtés du banquet toute la journée durant. Gallinacé aux longues jambes, pomponnée comme un gâteau d’anniversaire. Le ridicule ne tue pas parait-il…

@Abelforth Dumbledore
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Abelforth Dumbledore
culte de morgane
Abelforth Dumbledore
crédits : @doom days/av + profil
face claim : Michiel Huisman.
pseudo : January Blues, Cass
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études : Poudlard, promo 1895-1902, blaireau.
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Message (ϟϟ) Sujet: Re: FB | Ferveur décadente (Abelforth)   FB | Ferveur décadente (Abelforth) EmptyJeu 9 Avr - 15:51

Si Abelforth Dumbledore était d’un naturel discret et solitaire, fuyant les grandes assemblées et la foule, il n’en restait pas moins un sorcier de ce monde magique. Doué, qui plus est. Chaque jour, le progrès s’observait dans la société londonienne et les titres de la Gazette ventaient quotidiennement les innovations des esprits ingénieux qui persistaient, malgré la répression. Il s’agissait là d’un sujet auquel Abelforth s’intéressait particulièrement. Contraste terrible entre la modernisation progressive et le régime despotique qui venait de voler les rênes du Ministère, le chaos s’emparait petit à petit de la capitale, et Abelforth, impuissant face à cette montée politique, avait du mal à ordonner ses idées. Il n’avait ni le courage de son frère, ni la répartie de Minerva. S’il était dans confidence de la création de l’Ordre, n’étant évidement pas une menace de trahison pour les deux fondateurs de l’organisation, il n’avait pour l’instant pas fait le choix de s’engager, feignant mésententes et altercations avec son aîné pour masquer sa lâcheté. La vérité était qu’il était incapable de prendre une décision, paralysé par l’inquiétude de voir les gens qu’il aimait souffrir. Et puis, il y avait Lola. Il devait la protéger, et la meilleure manière d’accomplir cette tâche était de ne pas attirer l’attention sur lui. N’est-ce pas ?

Malgré les récents évènements qui secouaient le pays, le congrès se déroulait tout de même à la date prévu. Grindelwald n’avait visiblement rien contre le progrès. Des stands accueillaient théoriciens et investigateurs exposant leurs dernières inventions, explorateurs extrêmes vantant leurs trouvailles, érudits dévoilant les dessous de leurs idées ingénieuses. Les curieux se pressaient dans les allées, et évidement, Abelforth en faisait partie. L’ingéniosité l’impressionnait, et curieux de nature, il se plaisait à découvrir les dernières nouveautés qui facilitaient le quotidien des sorciers. Certains visages étaient cependant moins plaisants à croiser ; les Aigles de Grindelwald rôdaient, ramenant les plus motivés à la réalité. Chaque rassemblement était évidement une occasion à ne pas manquer pour les têtes des grandes familles ; il fallait se montrer en spectacle, exposer sa supériorité, son allégeance au régime. Dégoûté par ces comportements si hédonistes, le Dumbledore ne leur prêtait pas l’attention qu’ils convoitaient temps. Une voix, cependant, le perturba dans sa visite.

@Sinéad Olbricht. De Brùn, Olbritch, il ne savait plus réellement comment il devait l’appeler. S’il pouvait encore l’appeler. Amis lors de leur scolarité, si elle avait rejoint les lions sur les bancs de Poudlard et lui les blaireaux, ils avaient intégré l’école la même année et s’étaient rapidement rapprochés. Cela faisait désormais quelques temps qu’Abel n’avait plus de nouvelles de Sinéad, qui semblait avoir bien changé. Il se souvenait d’une jeune fille pétillante et défendant des valeurs qu’ils partageaient ; alors qu’il l’entendait telle une dame de cour user d’hypocrisie, le fait était que ce n’était visiblement plus la même femme qui se trouvait en face de lui. Il l’observa discuter mielleusement avec cette aristocrate, et arqua un sourcil. Elle était visiblement seule. Il avait l’habitude de la croiser perchée au bras de son mari, et alors que sa distraction s’éloignait, il la croisa accidentellement du regard. « Sinéad. » Il la salua poliment, un peu amer. Au fond, il était nostalgique de cette amitié qu’ils avaient développé dans le château écossais. Son amie lui manquait, et surtout, quelque chose clochait. Il la connaissait bien, elle n’avait jamais été une mauvaise personne. Pourquoi se comportait-elle ainsi, depuis son union avec l’Olbritch ? « Quelle heureuse coïncidence. » Souffla-t-il, moqueur. Il n’était pas dans ses habitudes d’être mesquin, et ces quelques mots témoignaient de sa déception d’avoir perdu une personne qui lui était chère. La loyauté était une qualité du Dumbledore que personne n’avait jamais remis en question. « Je ne pensais pas te croiser dans un tel congrès, où est ton mari ? » Il se permettait. Après tout, ils avaient passé bien des heures ensemble, plus jeunes. Son regard se perdit sur la foule. Qui était encore honnête, parmi tous ces gens ? Qui avait retourné sa veste ? Qui se cachait, qui mentait, qui fuyait ? Il fallait une guerre pour révéler au grand jour l’horreur de l’humanité. Et Abelforth ne pouvait se vanter d’être épargné. « Certaines de ces inventions sont largement inspirées de l’ingéniosité des moldus, cependant, très peu de sorciers en ont conscience, ou préfèrent ignorer ce détail. » Un constat. Peut-être prenait-il un risque en s’exposant de la sorte devant Sinéad, mais il devait en avoir le cœur net ; qu’était-il arrivé à son amie ?
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Message (ϟϟ) Sujet: Re: FB | Ferveur décadente (Abelforth)   FB | Ferveur décadente (Abelforth) EmptyDim 19 Avr - 17:59

Ses iris détaillent même la plus insignifiante des créations présentées ici pour l’heure, summum de leur société, magie la plus avancée. Rouages moldus liés à ceux précurseurs de la sorcellerie. Le mariage est exquis mais Sinéad déplore l’appropriation de certaines par des mages peu avisés. La grandeur qui guette leur pays n’est qu’un mirage lorsqu’on observe le recul pris par les idéaux politiques qui s’en dégagent. Triste constat que celui de l’ère qui souffle, ce vent contraire dans lequel elle s’est engouffrée pour mieux régner. Bafouant par la même tous ces préceptes. Noyée dans un monde où elle brille comme pupille endoctrinée, rebelle qui se cache et ne s’ignore pas. Ses idéaux ne collent au nom qu’elle adopte, Olbricht. Mais son cœur demeure pur face aux impies qui tenteraient de la convertir. La candide mais ô combien insupportable s’ancre à ses côtés, proférant des mots auxquels elle est obligée d’adhérer. Des mots qui brûlent sa gorge lorsqu’elle les prononce et qui, elle l’espère, s’évaporeront rapidement lorsque la vénéneuse se sera retirée, paradant vers d’autres mondaines que celle que feint la blonde.

Alors qu’elle vogue, libérée de toute emprise maléfique, une voix s’élève à ses côtés, hasard bienheureux ou malheureux ? Son accent trahit celui qu’elle a côtoyé des années durant lors de ses années dans le château aux hautes tours. Ce minois qu’elle reconnaîtrait entre mille, cet « ami » à qui elle a présenté l’organisation pour laquelle ils officiaient il y a un certain temps. Abelforth Dumbledore. Pionnier qui partage ses idées. Ses muscles se crispent et ses lèvres s’ourlent en un demi-sourire lorsqu’il fait référence à leur rencontre hasardeuse. Son ton n’a rien de chevaleresque et elle peut le comprendre sachant avec qui elle conversait. « Comment vas-tu depuis ? C’est un plaisir de te rencontrer à nouveau. » Paroles sur lesquelles elle appuie et insiste. Regard qui accroche celui de son interlocuteur alors qu’elle recule d’un pas pour que leur proximité ne dérange. Ses doigts se perdent dans la contemplation de pierres aux propriétés insoupçonnées et, s’emparant de la brochure qui les accompagne, parchemin de premier choix, elle s’avance à nouveau à côté de l’étal et se rapproche de l’homme. « Ce qu’on ignore ne peut pas nous faire de mal ? Il faut saluer les nouvelles doctrines mises en place et reconnaître à nos dirigeants que cette politique élitiste profite au plus grand nombre comme toi et moi. » Sinéad tend alors la brochure à celui qui lui fait face non sans qu’un éclair de nostalgie ne traverse son visage mélancolique. Trahi. Voilà comment il devait se sentir et elle le comprenait aisément. Néanmoins, elle ne peut griller sa couverture et doit jouer avec finesse. « Tu as l’air en forme ! Je présenterai tes respectueuses salutations à mon époux. Tu connais mon amour pour les belles et nouvelles choses, je ne pouvais que venir ici mais je suis flattée que tu t’inquiètes pour mon chaperon. Peut-être pourrais-tu veiller sur moi jusqu’à la fin du congrès ? Après tout, lorsque nous étions enfants, nous étions amis. Cette amitié ne s’est perdue malgré mon mariage. » Comprendrait-il les mots dont elle use ? La foule les bouscule et se concentre vers le centre de la place où un sorcier émérite vante les mérites de son invention, un remède sensée éviter le passage par la case « médicomage » pour délivrer le sorcier distrait de toutes douleurs. Sourcil froncé quant à la véracité des faits, Sinéad n’est pour l’heure plus intéressée par ce qu’offrent les voyageurs venus des quatre coins de l’Angleterre mais porte tous ses espoirs en l’être qui lui fait face. Défi qu’elle relève en glissant des indices à travers ses mots.

@Abelforth Dumbledore (désolée pour le retard, internet pourrite ><)
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Message (ϟϟ) Sujet: Re: FB | Ferveur décadente (Abelforth)   FB | Ferveur décadente (Abelforth) EmptyVen 24 Avr - 0:17

Abel était un homme droit, loyal, au cœur pur. L’hypocrisie portée au rang de trahison, il ne reconnaissait pas celle qui avait autrefois été son amie, enchevêtrée dans ces mondaines coutumes dont il avait bien du mal à saisir la finalité. La bague au doigt l’avait revêtue d’une peau neuve, que le rejeton Olbricht avait visiblement façonné à son image. Abelforth était en colère. Contre elle, contre ce qu’elle était devenue, contre cette société qui l’y avait poussée – il en était persuadé. Le mariage… Trente années passées, et pourtant, il n’y songeait toujours pas. La triste expérience – du moins, de son point de vue – de Sinéad le renforçait dans cette conviction.

« Comment vas-tu depuis ? C’est un plaisir de te rencontrer à nouveau. » Il fronça les sourcils. Cela faisait bien longtemps qu’ils ne s’étaient pas croisés, et pourtant, Abel avait bonne mémoire : ce n’était pas la première fois qu’elle lui déballait la même phrase, mot pour mot, il en était certain. Était-elle réellement devenue un simple pantin, programmé pour jouer en boucle les mêmes bienséances ridicules, un précieux sourire comme gravé au fer au creux des commissures ? Quelque chose clochait. Sinéad avait toujours été plus tenace que ça ; il refusait de croire qu’elle n’avait été qu’une base d’argile à leur sculpture. « Le plaisir est partagé. » Une certaine ironie pouvait se déceler dans son ton de voix ; cependant, Abelforth ne préférait pas s’exposer directement en s’opposant fermement au changement de caractère de la blonde et en lui déballant ses idéaux contraires au régime. Simple précaution.

« Ce qu’on ignore ne peut pas nous faire de mal ? Il faut saluer les nouvelles doctrines mises en place et reconnaître à nos dirigeants que cette politique élitiste profite au plus grand nombre comme toi et moi. » Abel ne se sentait que peu concerné, mais accepta la brochure qu’elle lui tendait en feignant un quelconque intérêt pour ce qui semblait des pierres précieuses enchantées. Quelques instants auparavant, le Dumbledore aurait certainement dévoré chaque lettre du prospectus, toujours curieux concernant les nouvelles découvertes, mais cette rencontre l’avait irrité. Sa loyauté était mise à mal, et la déception avait un goût bien trop amer pour pouvoir se concentrer sur autre chose. Il préféra se taire, mâchant ses mots tranchants.

« Tu as l’air en forme ! Je présenterai tes respectueuses salutations à mon époux. Tu connais mon amour pour les belles et nouvelles choses, je ne pouvais que venir ici mais je suis flattée que tu t’inquiètes pour mon chaperon. Peut-être pourrais-tu veiller sur moi jusqu’à la fin du congrès ? Après tout, lorsque nous étions enfants, nous étions amis. Cette amitié ne s’est perdue malgré mon mariage. » L’évocation de ce temps révolu le rendit quelque peu nostalgique ; elle avait raison, malgré tout, l’amitié ne s’était perdue. Abelforth n’était pas un homme d’abandons et de tromperies, et lorsqu’il accordait sa confiance à quelqu’un, c’était alors un lien éternel qu’il tissait avec cette personne. Au fond de lui, il avait cette certitude de ne pas s’être trompé à propos de Sinéad. Qu’elle n’était pas une mauvaise personne. Jamais il ne se trompait sur son jugement de l’âme. « Je te retourne le compliment. Puisque la curiosité est une qualité que nous partageons, visitons cet endroit ensemble. » Il voulait comprendre, et cette marche n’était en réalité qu’un prétexte pour mieux la cuisiner. Ses paroles étaient clairement tournées vers le nouveau régime, mais son regard vide la trahissait. Abel, en fier Poufsouffle, avait toujours été doué pour déceler le mensonge, et il espérait que ses suspicions ne découlaient pas du fruit de son imagination, ou de son espoir de savoir Sinéad toujours du même côté que lui – était-il seulement d’un certain côté ?

« N’aimerais-tu pas retourner à cette époque-là ? Lorsque nous étions enfants. » Lança-t-il enfin, reprenant les dires de la mariée. Côte à côté, ils zigzaguaient dans les allées, s’arrêtant parfois pour observer, en silence, le détail d’une innovation. « Quand j’y repense, je me sens un peu nostalgique. » Avoua-t-il. C’était vrai. Peut-être un peu exagéré. Un tout petit peu. « Te souviens-tu de ce bon vieux Gerald ? C’était clairement le boulet de la promo, mais qu’est-ce qu’il a pu nous faire rire. » Un né-moldu. A nouveau, des mots transparents de vérité, mais qui n’étaient pas choisis au hasard. Abel se demandait bien ce que le garçon qu’il avait connu avait pu devenir. Aujourd’hui, il n’avait malheureusement plus vraiment sa place à Londres. « Je me souviens du jour où il a défié un hippogriffe. Une corne d’hippogriffe dans la fesse droite, je n’ose pas imaginer la douleur… et la tête de l’infirmière ! » Léger éclat de rire ; voilà qu’il jouait à son tour à l’hypocrite. En réalité, il attendait impatiemment la réponse de la jeune femme à ses côtés. Allait-elle continuer sa mascarade ?

@Sinéad Olbricht
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