le fou | v. dolohov

Blason ; deux cerfs encadrant un bouclier surmonté d’une couronne et sur lequel figure une lune et une étoile séparées par une baguette.

Devise  ; Demeure dans le murmure des étoiles / пребывать в шепот звезд / prebyvat' v shepot zvezd

Vladimir Dolohov ; Père, voyant (décédé).
Nadia Dolohova ; Mère (décédée).
Alexei IV Dolohov ; Frère aîné, premier héritier de la couronne de leur génération, voyant (décédé).
Nicholai I Dolohov ; Second frère, héritier actuel, voyant (à moindre niveau)
Stanislas Dolohov ; Frère cadet, non-voyant
Andromeda Dolohova née Carrow ; Epouse de Nicholai
Mikhaïl « Mishka » Dolohov ; Officiellement Neveu, Officieusement Fils illégitime
Dmitry II Dolohov ; Officiellement Neveu, Officieusement Fils illégitime
Anastasia Dolohova ; Nièce
Maria Klementyna Dolohova ; Première épouse
Miłosz Dolohov : Fils de Vassili & Anna Elżbieta Dolohova
Anna Elżbieta Dolohova ; Seconde épouse (décédée)
Józefina Maria Dolohova ; Troisième épouse
Duša Dolohova ; Fille de de Vassili & Józefina Maria Dolohova
Dorothy Beth Dolohova ; Quatrième épouse
Brana Dolohova ; Fille de Vassili & Dorothy Beth Dolohova.
Katherina Łucja Dolohova ; Cinquième épouse
Gillian Hope Dolohova ; Sixième épouse
Heather Joy Dolohova ; Septième épouse
Neptune Lockhart ; Boss

1865 Naissance d’Alexei IV Dolohov.
1867 Naissance de Nicholai I Dolohov.
1868 Naissance de Vassili III Dolohov.
1870 Naissance de Stanislas Dolohov.
1872 Vassili se fige pour la première fois devant des scènes à venir.
1879 Intégration à Koldovstoretz. | Au cours de l’année, sa famille déménage au Royaume Unis ; à Stratford Upon Avon.
1885 Mariage de Nicholai I Dolohov & Andromeda Dolohova née Carrow. Installation en Ecosse des nouveaux époux.
1886 Fin des études à Koldovstoretz. Vassili rejoint l’Ecosse et son frère.
1887 Naissance de Mikhaïl « Mishka » Dolohov & Dmitry II Dolohov. | Mariage de Vassili & Maria Klementyna Dolohova. Ils s’installent à Londres.
1889 Naissance d’ Anastasia Dolohova. | Divorce entre Vassili & Maria Klementyna Dolohova.
1890 Mariage de Vassili & Anna Elżbieta Dolohova.
1892 Naissance de son Fils Miłosz (fils de Vassili & Anna Elżbieta Dolohova)
1893 Décès d’Anna Elżbieta Dolohova ainsi que des jumelles qu’elle tentait de mettre au monde.
1894 Rencontre avec Neptune Lockhart
1895 Mariage de Vassili & Józefina Maria Dolohova. | Naissance de sa Fille Duša (fille de de Vassili & Józefina Maria Dolohova.)
1896 Mikhaïl « Mishka » Dolohov est agressé par des moldus. | Divorce entre Vassili & Józefina Maria. Dolohova | Mariage de Vassili & Dorothy Beth Dolohova.
1897 Naissance de sa Seconde Fille Brana (fille de Vassili & Dorothy Beth Dolohova.)
1899 Divorce entre Mariage de Vassili & Dorothy Beth Dolohova.
1902 Mariage de Vassili & Katherina Łucja Dolohova.
1904 Décès de Vladimir Dolohov | Divorce entre Vassili & Katherina Łucja Dolohova.
1906 Mariage de Vassili & Gillian Hope Dolohova. | Décès de la Nadia Dolohova
1910 Divorce entre Mariage de Vassili & Gillian Hope Dolohova.
1911 Mariage de Vassili & Heather Joy Dolohova.
1912 Décès d’Alexei IV Dolohov. Nicholai I Dolohov, nouvel héritier de la couronne, rejoint les rangs de Gellert Grindelwald. | Divorce entre Vassili & Heather Joy Dolohova.
1914 Gellert Grindelwald prend le pouvoir au Royaume-Uni.

anecdotes

I ERIS; le carnage au bout des lèvres. Elles, les artificieuses, les façonneuses, elles dont les regards mutilaient plus que ce que les mots de leurs époux n’auraient su le faire. Elles qui savaient être, en quelques phrases, plus néfastes que ce que d’aucun n’aurait pu le soupçonner. Elles faisaient du néant l’absolu, détruisaient autant qu’elles créaient, par desseins ou par amusements. Elles avaient la beauté du cruelle absurde, de l’affreux utile. Doucement, le faon apprit de ces dulcinées mésestimées, elles qui, sous l’apparence affectueuse et affable, révélaient en aparté, ce qu’elles avaient d’inclémence et d’emprise sur leur sphère leurrée, profitant de ce qu’elles étaient une véritable puissance non moins souterraine que souveraine. Elles n'étaient pas une part du royaume, elles étaient le royaume. Sans qu'on le sache, sans qu'on ne le soupçonne, elles avaient entre les mains les fils du destin de beaucoup, sous les ongles le sang de plus encore. Elles furent ses muses, son inspiration, sa distraction, se faisant égérie de leur compagnie, se laissant volontiers cajoler, se plaisant à se sentir contempler pendant que ça s’en instruisait consciencieusement.

II MOM ; accroché à son sein, le gosse abhorré se mue en parasite érudit, s’accaparant avec délectation de ce qui la compose, s'abreuvant de chaque intention, de chaque perception, de chaque disposition. Façonnant son éducation. Développant son érudition. La chose met à mal les attentes aussi infimes qu'on lui avait réservé, bouleverse le commun. Puisant lentement tout d’elle, se gorgeant avec frénésie de l’instruction dévolue à son sexe, son rang, sa naissance ; peinture, musique, étude de l’art, de l’histoire, tapisserie, tricot, calligraphie, la taxidermie aussi, tout comme les intrigues, les potions et autres élixirs aux applications plus que douteuses. Et elle, toute pleine de ce qu’elle avait d’abnégation et de douceur, elle n'a fait que l'aimé plus que tout autre, ne cherchant jamais à spoiler ni la douceur de sa verbe, ni l’odieux au fond de ses yeux, ne bridant ni ses appétits lugubres, ni son avidité oppressante. Considéré par d’aucun comme le fils pondéré à la sensibilité affecté, tout entier consacré à sa mère, ombre de son ombre, l'animal n’avait, en vérité, que le docile que ça lisait dans le désir maternel. Sans l’avouer jamais, ça savait que, même elle se détournerait si ça se laissait être réellement le sujet de ses pulsions, si ça ne taisait ses ardeurs, ne bâillonnait son monstre en l’étouffant pour conserver l’affect gracieux, ne souhaitant se voir entièrement rejeté, surtout d'elle.

III FLESH ; glouton du morbide, gorgé par la laideur et les horreurs, s’acharne sur carcasses fracturées, se libère dans ce que ça vient à briser. Fasciné par les défauts, hypnotisé par tous les maux. Dans la passion insidieuse de celui qui n’est que parodie d’humanité, se distingue subrepticement l’oppresseur, le tortionnaire, l’ignominieux. Affliction, s’il en est, terrée dans l’ombre de la chose comme un abysse sans fin qui absorbe fiévreusement ce que ça n’a dévoilé qu’à quelques-uns, à travers moins de mots que de regards. A travers plus d’actes que de pensées. Barbare inhumain. La souffrance pour maîtresse. Elle, plus que nul autre, sait le plier à sa volonté. Elle est son tout, elle est sa perte, son obsession. Le cerf déchu la connaît sur le bout des doigts, sait la manier, la dispenser. les plaintes sont des offrandes à sa beauté. Maître-esclave de son addiction sadique, n'a que bien trop de mal à s'arrêter une fois qu'il a commencé son office. Bien heureux, les hommes du sale savent se terrer dans l'ombre et agir avec ce qui s'impose de réflexion, de retors, pour nager dans le carmin sans se tacher, sans se voir lier les mains, faisant disparaître ce qui se doit quand ils sont allés trop loin .

IV CROWN ; saint-petersbourg la sanguinolente. Les ecchymoses sont le prix de ce qui s’en reste. Rien n’est plus, tout s’efface, emporté par les vagues déloyales. Lorsque l’indistinct félonie prend forme et s’abat, alors l’insidieuse haine naît là où l’entente avait fait son empire depuis bien des siècles. Au trépas du frère, on dévale du piédestal. Le suivant, lui, prend sa place maudite, mais ne serait, pour se faire, retourner sur le sol maternel face à ceux qui les ont anéanti, face à ceux qui les ont avili. Eux pour qui ils s’étaient pourtant dévoués, eux qu’ils avaient pourtant aimé, appuyé. L’on ne peut être trahis que par ses amis. Parjures aux mains tâchés, ils ne seraient vivre en paix. Tous paieront pour les actes d’une part des leurs. Les Dolohov ne s’accomplissant pas à demi-mesure, c’est dans la rivière de leur sang terne à tous qu’ils se complairont. Maintenus hors de leur terre, les leurs attendent en nombre, les appelant à revenir prendre ce qui de toujours leur revient, quitte à écrasé définitivement ceux qui étaient jadis leurs alliés, quitte à en venir aux pires extrémités.  

V BLABLABLA ; jusqu’à ses 13 ans ses cheveux étaient long jusqu’au bas de son dos. // aime beaucoup les armes blanches des moldus ; salissantes et élégantes, barbares et théâtrales. // ne s’est jamais rendu dans le moindre cimetière, ni pour son frère, ni pour ses parents ; ne voyant pas l’intérêt de rendre visite à de la chair décomposée. // adore lire, de tout en général, ça s’intéresse à tout, mais ça a un péché mignon pour les romans à l’eau de rose pour quinqua en manque d’affections. // attire les bestioles comme un aimant, surtout les chats. // petit ça a poussé son frère aîné (Alexei) dans un lac, ayant entièrement conscience que ce dernier ne savait pas nager et faisant naître en lui une phobie de l’eau. // premier réflexe au réveil ; une cigarette. petite tige de cancer entre les doigts, il s'intoxique à longueur de journée. au réveil, lorsqu'il mange, après avoir "aimé"... il ne laisse s'écouler pas bien plus de deux heures avant de refourrer entre ses lèvres la vilaine cendrée qui embrume ses poumons encrassés.// aversion pour les enfants, enfin surtout ceux qui pleurent, mais comme les animaux, eux, semblent l’adorer, alors ça fait avec. // le seul frère avec qui ça éprouve une connexion est son cadet. // respecte ses deux aînés bien qu’ça ait tenté d’en noyer un (mort depuis) et qu’ça ait eu une relation avec la femme du second… et des fils (que son aîné pense être les siens). // somnambule, allait souvent se poster devant le lit de ses frères ou de sa mère et restait planter là sans bouger, maintenant ça se poste devant les fenêtres de chez lui // afin de s'attirer un peu plus l'antipathie paternel, ça eut l'idée de peindre une oeuvre représentant son père le visage écorché et de faire passer ce tableau pour l'une de ces prédictions.

odyssey

thirteen years
Sur le sol s’effondre de tout son poids la longue tresse d’or, désormais séparée de celui qu’elle accompagnait depuis treize années. Cadavre gisant. Le regard, de celui qui se trouve délaissé, reste plongé dans celui de cet autre qui lui fait face. Ça ne scille pas un instant, ça ne baissera pas le regard. La prédisposition de son vis-à-vis à trouver de quoi le faire fulminer n’avait d’égal que son habilité à le faire se sentir invisible le reste du temps. Ce jour, ne se terminerait pas sur ce geste, déjà désagréable pour l’enfant de treize ans qui n’avait rien demandé, non, on lui réservait autre chose encore. Sans se parer d’autre chose que sa baguette, on lui demandait, en effet, de partir pour une marche de plusieurs mois à travers le pays, afin disait-on de « représenter la famille auprès du peuple » et « prêter sa main à ceux qui en avait besoin ». Ça n’était pas dupe, ça devinait ce que son père souhaitait en l’affublant d’une telle mission. Le briser. Le rebaisser. Lui rappeler que ça n’était rien et que ça ne serait jamais autre chose. Ça n’était pas un enfant, ça n’était pas un héritier digne de lui, ça n’était qu’une chose et devait ainsi être qualifié. Ça. Ce que le dynaste n’acceptait pas, c’était que cette chose, cette créature, avait fait son nid dans ce royaume instauré de la non-existence, ça aimait ce qui n’était pas, ce qui était autre, ce qui était pire, ça en était devenu le parfait représentant, le parfait petit monarque de l’abîme. Dès lors l’on cherchait d’autres moyens d’en venir à bout, décidé à abolir jusque dans sa chair, ce que ça pouvait avoir encore d’existant. Ce qui lui était imposé plus que demandé, n’avait été instigué qu’à ces fins et ça comptait bien faire de cette opportunité, une nouvelle occasion de mettre à mal ce qu’on avait pu préméditer ici à son encontre.

twenty five years

Elle s’en est venu la lui prendre. Drapée dans sa robe éternelle, elle a tendu la main à celle qui s’en venait mettre au monde la vie. Ce soir pourtant seule la mort avait fait son office. Emportant sous sa cape putride trois vies comme l’on s’empare de ce qui n’est pas sien. Voleuse. Garce. Ça souhaite mille fois à voix haute comme sans un mot, qu’on lui rende ce qui lui a été dérobé, car sans cela ce qui a de sens n’en a plus. Occupé à autre chose, c’était arrivé trop tard pour lui dire au revoir. Grand bien, ça refusait de le faire. Ça pousse des grognements et menace tout ceux qui passent son chemin, ça demande un coupable, ça demande une réciproque ; la vie contre la vie. Les mains s’accrochent sur les cols blancs qui croisent son passage. Ça doit extirper ce qui amoncellement en lui, ça doit exempter le funeste qui s’empare de lui. D’autres vies vont s’achever. D’autres doivent ressentir son tourment. Cette nuit et les autres aussi. Son deuil carmin, sera de celui des innocents hurlants pour ce qu’ils ne seront comprendre ni le geste, ni l’acharnement que la bête immonde y mettra. Les grandes envolées d’une composition que ça a tue de toujours et qui enfin peut s’élever dans les airs sous son orchestration pestilentielle.

forty six years
S’écrasent les lèvres et expulsent la fumée, éloignant un instant le morceau d’enfer calé entre ses doigts. Crapule ascendant vaurien. Ça entre ici comme le rejeton d’un des quatre cavaliers. Sans le demander on vient déjà ôter son manteau de ses épaules alors que sa marche ne se tempère pas pour aider celui qui s’affaire. Le regard balaye et les billes des autres esquives son acier comme si une lame les y attendait. Envoûtés par l’idée de liberté et de plaisirs indicibles, ils emplissent la salle de leurs vices et c’est à cette idée que les lèvres de l’autre s’étirent. La chose s’est libéré depuis bien des années, avec la contribution du sieur régent des lieux. Son roi démon qui distille ses messes infernal en bon Méphistophélès emmitouflée dans une peau d’homme, pour ce donner des airs plus convenables, mais qui ne dupe personne. Ici le plaisir n’est pas le moteur, l’argent seul l’est et il entraîne à sa suite plus de supplices que d’allégresse. Les piliers de l’établissement sont fait du sang et des entrailles de ceux qui n’ont su être, qui n’ont su plaire, qui n’ont compris que face à ceux se trouvait les représentants de l’horreur. Les lieutenants du chaos.

coucou petit monstre, on a remarqué que cette fiche n'était pas tout à fait terminée. on te file un balai et un chat, pour chasser ses vilaines araignées pour t'aider ? ta fiche sera archivée dans 3 jours sans nouvelles. peut-être aurais-tu besoin d'un délai supplémentaire d'1 semaine pour le faire ? si tel est le cas, n'hésite pas à nous l'indiquer à la suite de ce message afin que l'équipe t'ajoute du temps pour compléter la rédaction.

Ta chocogrenouille se fait la malle ! Avant de transplaner, sache que tu es convié.e à participer à l'intrigue (voir le lien en page d'accueil), à la loterie rp pour se trouver quelqu'un avec qui rp. il y a aussi la section du marché aux liens pour te trouver des liens. n'hésite pas non plus à éplucher notre face claim et à contacter directement ceux qui te semblent convenir pour un lien. il y a aussi la section rappeltout pour les parrainages, l’évolution et les points. Tu peux aussi flooder, et voter pour que ton groupe ait l'avantage à l'intrigue. Je te laisse par la même occasion le 06 discord du forum. Enfin, au besoin envoie un hibou à l'équipe. Ils aiment bien, ça leur passe le temps.