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 la fièvre

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Bald Ivers
sans camp
Bald Ivers
crédits : avatar (jenesaispas), gif (clem)
face claim : michael fassbender
pseudo : figaro
la fièvre  DSAAuOhV_o
études : poudlard promotion 1885, griffondor, études arretées en 5ème année
particularité : animagus, coup de nez à tous ses professeurs le traitant d'incapable, ours brun tirant vers légérement vers le roux, symbole du gros nounours mal léché
la fièvre  Empty
Message (ϟϟ) Sujet: la fièvre    la fièvre  EmptyMar 30 Juin - 22:23

La suspicion règne, elle est présente, bien trop avec les derniers évènements, avec tout ce qui s’est passé. Oh oui, tout part du mauvais sens, les clients se font plus rares malheureusement, les sorciers ne sortent pas sans leurs précieux pouvoirs pas vrai ? Lui, il a appris à se débrouiller sans mais n’en a même pas l’utilité. La magie fonctionne toujours, contraint la patronne à rester dans ses appartements pour sa propre sécurité. Et je t’y enfermerais par magie si tu refuses, la menace qui en était vraiment une, pour la protéger, pour tout renforcer, pour tout ramener du bon côté, ouai, il le ferait, il continuerait de le faire ! Bordel de merde ! Quand cela allait-il passer ? Les médecins n’en savaient rien et lui ? Il ne pouvait se contenter d’attendre, de ne point savoir, fallait des réponses, beaucoup, trop sans doute. L’esprit perdu dans les pensées, le regard se pose quand même, ne peut faire autrement, la silhouette connue. La silhouette d’un autrefois, d’une mise au point, fallait bien ça pour repartir sur des bases plus sereines pas vrai ? Un coup pour un coup, un baiser pour un baiser ? C’est ainsi que fonctionnait la vie non ? Un rendu pour un donné…  Un échange de circonstances. « Kieran, je te manquais déjà ? » Le sourire en coin, le regard qui se porte au loin, vers ce qui est désert en cette heure encore plus avec les circonstances maudites et tout ce qu’elles peuvent apporter comme désagrément. Le tabouret tout prêt pour accueillir des fesses connues et le verre déjà servi. Parce que non, le Goyle n’a pas l’air au mieux de sa forme même si comme toujours rien ne se montre tellement, c’est plutôt le regard là, un peu différent, pas vraiment le même que les autres fois, que tout ce qui pouvait se passer. Il ne dira rien, il ne mettra pas en avant la gueule de déterré, le trop plein de boulot surement. Avec les emmerdes, être de la coalition ne doit pas être de tout repos. Faut déjà pas être tout juste pour se lancer là-dedans mais ça non plus il ne l’évoquera pas avec l’autre zigoto. Il n’a pas oublié les capacités certaines du Goyle, pour les poings et autre chose aussi. Pas masochiste pour un sou, il ne va pas en redemander de cette partie là en tout cas. Le verre qui vient se remplir, pour la maison ? En aucun cas, seulement la connaissance des gouts de l’homme. « Je n’ai pas crache dedans. » Qu’il lâche comme ça, ouai, pas cette fois en tout cas mais ça non plus il ne l’informera en aucun cas. Ça n’annoncerait rien de bon de toute manière tout comme demander l’état du sorcier. Magie gardée ou prise ? La question qui déclencherait la colère et un Kieran Goyle en colère, même sans magie c’est effrayant.

@Kieran Goyle
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Message (ϟϟ) Sujet: Re: la fièvre    la fièvre  EmptyLun 20 Juil - 20:37



Étouffant. Étouffante. Les murs trop étroits, les heures passées à ne pas pouvoir bouger, la captive râlant toutes les deux phrases, lui aussi sans doute. L’ambiance électrique ou orageuse, souvent les deux à la fois, à deux doigts de s’étriper mutuellement ou de s’attraper.
Parfois il se prenait à penser qu’il avait de la chance d’être là, à la regarder et à sourire sans même vouloir l’énerver, mais en général il préférait grogner entre ses dents qu’il valait mieux qu’un foutu babysitter. Ce qui, ça non plus, n’était pas particulièrement reçu. Il aurait pu faire sa vie tranquillement, comme il l’avait espéré (l’idiot), mais cela aurait nécessité qu’elle reste en place, à gentiment l’attendre.
Elle s’y était (bien sûr) opposée.

Alors, après plusieurs déceptions somme toute bien naïves, prises de bec et envies de meurtre, il avait pris la meilleure décision possible : Leora Dumbledore l’attendait à cet instant précis chez elle. Sans bouger. Parce qu’il l’avait attachée. Puis s’était éloigné d’un pas tranquille, sourd à ses appels d’abord rieurs puis carrément outrés. La dernière chose qu’il a entendue, c’est son nom craché avec tant de rage que ça lui a immédiatement offert une raison de plus pour ne rentrer que bien plus tard — autant profiter de sa dernière soirée en vie.

Libéré et la conscience tranquille, il ricane encore en s’engouffrant dans l’enceinte du Golden Dragon, songeant au fait que peut-être, peut-être pensait-elle encore qu’il allait revenir. L’idée étant suffisante pour le mettre de bien meilleure humeur qu’il ne l’avait été depuis plus d’une semaine, il s’approche du bar avec un enthousiasme presque puéril. S’immobilise cependant en pleine traversée en reconnaissant l’homme occupé à servir les trois uniques clients toujours en possession de leur magie ou n’en ayant rien à faire d’en être privé, au choix, puis reprend sa marche d’une mine nettement moins amusée.
Le karma, si tôt ?

“Kieran, je te manquais déjà ?”

Apparemment.
Sourire en coin se heurte au regard noir qu’il adresse à son ami, peu ravi d’être accueilli avec tant de familiarité. De sa part, en tout cas. S’affalant sur le tabouret, il hausse les épaules. “J’avais oublié que tu travaillais ici.” La voix est sèche, mais l’intonation craque aux extrémités : déjà son propre air narquois refait surface, incapable de rester sérieux trop longtemps. La dynamique est, pour lui, difficile. Non-dits qu’il préfèrerait enterrés six pieds sous terre dont l’autre aimait jouer, souvenir de ses phalanges marquant la chaire, encore et encore, jusqu’à être remplies de sang hurlant sa propre sale culpabilité. En échange, rappel de l’unique poing qu’il avait accepté recevoir. Pour se faire pardonner. Le concept même lui était étranger, mais Bald lui avait toujours été agréable (là était bien le problème, non ?), alors pourquoi pas. Il avait toutefois eu du mal à ne pas répliquer. L’habitude.
En face de lui, déjà, un verre de whisky, et Kieran s’en empare sans rechigner ni aucun merci. Le lève pour y tremper ses lèvres, avant d’être interrompu par le barman, qui lui assure ne pas avoir craché dedans. La main suspendue à mi-chemin entre le bar et sa bouche, il jette un regard incrédule au verre puis à l’homme. Doit décider qu’il n’en a pas grand-chose à foutre, dans tous les cas, puisqu’il vide sa boisson d’une longue gorgée, et fait glisser le verre en direction de Bald. “Vu que le premier était suspect, tu m’l’offres,” et ça devrait être une question mais dans sa bouche ça sonne comme une affirmation, arborant une assurance absolument déplacée.

Ce soir Kieran est mauvais gagnant, persuadé d’avoir remporté le combat du mois en ayant laissé la porte se refermer derrière lui (c’est pas comme si on lui proposait quelque chose de plus intéressant depuis qu’il avait perdu ses pouvoirs, de toute façon). Débordant aussi d’énergie, lion en cage ayant été bridé pendant bien trop longtemps, ses yeux se glissent de visages en visages. À la recherche de… Quelque chose. N’importe quoi. Mais les lieux sont presque déserts, les joueurs sont peu nombreux, personne ne gueule, personne ne se pousse et bientôt il va se faire chier. Pour éviter, il reporte son attention vers Bald, avec dans l’oeil l’étincelle des mauvais jours. “Alors, épargné ?” Le sujet est impossible à éviter : il se lit sur tous les visages, tous les regards qui s’échangent, dans tous les journaux, dans l’aura que dégagent les corps empressés dans les rues de Londres. Eamon Goyle s’est pour sa part félicité de ne pas devoir se reposer sur la magie, déclarant avec une vicieuse emphase que plus aucun sorcier n’oserait se foutre de la gueule des Goyle de s’être mêlés aux moldus pendant des années.
L’orgueil familial, toujours, tente de se rattraper aux branches.
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