the icing on the cake

keeping up with the grindelwalds We are family, I got all my sisters with me. Everyone can see we're together as we walk on by, and we fly just like birds of a feather. I won't tell no lie, all of the people around us they say: "Can they be that close?" Just let me state for the record, we're giving love in a family dose. @Helios Bagshot @Bathilda Bagshot @Leora Dumbledore @Gellert Grindelwald

Le regard ambré descend amoureusement sur le bulgare. Ajustant le noeud qui parfait sa gorge, Albus se délecte du silence qui règne au manoir. Un calme rare, qui lui manque depuis qu'il a quitté son appartement pour lui. “Nous devrions les renvoyer plus souvent.” Glisse-t-il à l’oreille de son aimé avant de l’embrasser langoureusement. Labre contre labre, la simplicité de l’échange lui arrache un sourire. Avec les affaires du Ministère, rares sont les occasions pour Grindelwald et Dumbledore de se retrouver seul à seul, si ce n’est dans les confins de leur couche. Entendant les invités à la porte, il jette un oeil à la pendule et lève les yeux au ciel. Détachant ses lèvres des siennes, une raillerie retentit et s’estompe à la vue de leurs familles. Une vision incomplète mais suffisante au vu des circonstances. La disparition récente de Kingsley Bagshot a davantage rapprochés le gallois de la sorcière. Le récent veuvage de la Cassandre reste logé dans un coin de son crâne de légilimens. Il veut la savoir saine et sauve. Heureuse, même. “Mais… Serait-ce la reine mère ?” Énonce-t-il avec humour. La logeant entre ses bras, il la soulève dans les airs, un rire s'échappant de ses lèvres. La reposant, ses lippes, toujours fendues en un croissant de lune, se posent sur la joue de la jeune femme derrière elle. “Et voici la princesse du ministère.” Il serre Leora contre lui comme le ferait un frère aimant. “Gellert m’a dit que tu lui as demandé une promotion ? On arrête plus l’ambition des serpents.” Un rictus amusé accompagne ses mots. “Je te propose de discuter d’un plan pour le faire craquer, toi et moi, après le repas.”

Se détachant d’elle, il partage enfin une oeillade avec Helios. Le gamin est visiblement mal à l’aise, et Dumbledore n’a pas oublié leur altercation nocturne. Il fait abstraction du souvenir et lui ébouriffe affectueusement les cheveux. “Helios, tu n’es pas ravi de voir tes cousins ?” Le phénix se décale et laisse son parrain le prendre dans ses bras. L'atmosphère familiale qui se répand dans la demeure lui réchauffe le coeur. C’est en cet instant qu’il se sent ici chez lui, près de ceux qu’il aime, aux côtés de Grindelwald. Une allégresse profonde, qu’il sait éphémère, et qui rend le moment d’autant plus fort. Il s’adresse à nouveau à Bathilda tandis que tous prennent place autour de la table. “J'espère que vous avez faim. On a ordonné aux elfes de cuisiner bulgare. J’ai du tenir le ministre éloigné des cuisines.” Il ajoute, prenant place près de sa cousine : “La cracmole a aussi voulu cuisiner un dessert avec moi. Je nous ai fait de la tarte au citron.” Tous assis, la cène peut enfin commencer. Les elfes s’activent autour d’eux et les servent.

Toujours en beauté, Bathilda refusera toujours de ne point être à son avantage devant le regard de ses fils et de son genre. Oh oui, la matriarche attend avec impatience ce dîner, toute occasion de voir ses tendres enfants est une occasion qu’elle ne manquera point, en aucun cas. Le sourire s’étire sur les lèvres tandis qu’elle transplane rapidement jusqu’à cette demeure qu’elle connait tant, bien trop toujours, qu’elle connaitrait à jamais finalement, parce que c’est un peu chez elle également. Parce que c’est le nid d’amour d’un couple qu’elle ne peut qu’aimer, qu’elle ne fait qu’aimer encore, toujours passionnément sans jamais s’arrêterez en aucun cas. Encore plus maintenant que la liberté se lit sur ses traits. Porter le deuil au moins rien qu’un peu, elle devrait, elle le fait, en public mais pas ici, pas dans cette demeure avec ces personnes qu’elle ne connait que trop bien. Oui, avec eux, elle rayonne sans savoir pourtant de quoi sera fait demain… Parce qu’elle était cette femme emprisonnée dans cette cage dorée et même si les barreaux étaient fissurés maintenant tout a disparu et il reste elle et les millions de possibilités maintenant… Le rire qui vient immédiatement en l’observant, elle ne peut faire autrement. « Mais serait-ce le sorcier le plus puissant de la terre ? » Qu’elle répond toujours sur ce même humour tout en se retrouvant tout à coup soulever dans les airs, le rire venant et le secret préservé, entre eux, cette vérité que rien ni personne d’autre ne connaitra. Leurs rires qui se mélangent, qui ne cessent de se mélanger finalement, entre eux, encore une fois. La bouche qui vient contre la joue, les mains serrant le grand enfant et ne jamais le lâcher, pas tout de suite, juste encore un peu avant de laisser la place à la nouvelle arrivante. Celle qui ne manque pas de défendre sa cause, cette place qu’elle désire posséder. Directrice à son âge ? La demoiselle risque de vouloir griller trop d’étapes et si cela arriverait, les gens ne cesseraient de dire que c’est uniquement pour ses relations et non son talent ce qui serait finalement dommage. Les regards se croisent et elle attend la bulgare au moins un bonjour. Son prénom prononcé dans une froideur qui ne lui plait guère. « Leora, cela fait longtemps. » Qu’elle vient dire doucement avant de laisser Albus l’accueillir comme il le fait si bien. « Un petit sourire ne ferait pas de mal sur ton visage. » Un moyen de lui faire comprendre que le manque d’entrain est loin d’être apprécié, quel dommage, elle qui s’apprêtait à lui donner quelques filons pour sa promotion, lui proposer son aide. Parce qu’il faut bien se serrer les coudes dans cette société masculine à souhait pour permettre à plus de femmes d’arriver au pouvoir. D’être autre chose que des faire-valoir. Et finalement le voilà, il arrive et elle sourit tout doucement, elle le trouve beau, comme toujours, elle remarque pourtant d’effort qu’il a fait finalement. Dans sa tenue au moins et cela lui suffit, elle sait qu’il n’est pas au mieux, pas vraiment, toujours plus sombre et elle, elle veut lui voir retrouver plus de bonheur… Plus de sourires aussi mais elle l’aimerait toujours quoi qu’il soit. Mais un peu de soleil lui ferait pourtant le plus grand bien, elle le sait vraiment. Le baiser sur sa joue, elle vient avec douceur caresser sa joue, déposer à son tour un baiser avant de le regarder tout sourire même si l’humeur ne semble pas être la bonne la meilleure. Non, un peu ailleurs, un peu trop finalement. Mais elle continuera pourtant de toujours le traiter de la même manière. « Tu dormais profondément ce matin… » Elle ne sait trop ce qu’elle doit faire, lui laisser vivre sa vie mais l’inquiétude est toujours grande. Mais jamais plus que la protection qui toujours sera là comme ce regard un peu fâché qu’elle lance à Albus quand celui-ci vient parler de son fils. « Laisse-lui le temps d’arriver. » Qu’elle prononce tout sourire, défendre ses petits, toujours, elle n’arrêtera jamais, elle ne veut pas, elle ne le fera en aucun cas…  Le regard se fait plus sombre lorsqu’elle entend à la Dumbledore parler à son fils. Comment ose-t-elle ! Si une œillade pouvait tuer, la sienne le ferait sur le champ. Le sourire revient totalement sur ses lèvres quand elle court vers Gellert pour venir entourer ses bras autour de lui.  La main venant défaire sa chevelure. « Tu m’as manqué. » Parce qu’elle lui manque tout le temps, comme tout ses enfants quand ils sont au loin finalement. La voix de Albus la ramène vers lui et elle sourit, tellement, bien trop tandis qu’elle vient s’assoir à son tour. La place de la reine mère en bout de table regardant l’assemblée comme à son habitude. « Oh bulgare, quelle bonne idée. » L’immense sourire et puis la suite, quelle idée de cuisiner avec une cracmole… Quelle idée de faire quoi que ce soit avec un esclave surtout de la nourriture. « Tu es certain qu’elle ne l’a pas empoisonnée ? » Qu’elle ne peut s’empêcher de lâcher, sa méfiance naturelle revenant toujours trop rapidement finalement…