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 think i got myself in trouble + gabriel

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AuteurMessage
Selina Parkinson
coalition sorcière
Selina Parkinson
crédits : muggle (avatar) - signature (non uccidere) - profil (prue love)
face claim : phoebe tonkin
pseudo : pisces / clémence
think i got myself in trouble + gabriel 200726080540256032
études : (serpentarde, 1892 à 1899) années douces et regrettées
particularité : (legilimens) en formation
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Message (ϟϟ) Sujet: think i got myself in trouble + gabriel   think i got myself in trouble + gabriel EmptyMer 10 Juin - 20:06


think i got myself in trouble - @gabriel potter


La matinée s’étirait de la même façon qu’un animal endormi. Avec la lenteur des muscles qui cherchent à s’assouplir, la langueur d’un cou gracile qui se dévoile, la longueur d’un corps longiligne. Aucunes bosses, aucun rebondissement, pas un chat, pas un bruit, pas un sursaut. Le bureau des aurors était si calme que Selina s’ennuyait quelque peu. Des missives qui s’éparpillent sur le meuble en bois, chacune d’un côté, représentant un degré d’importance : droite, les missives inutiles, un bon paquet, gauche, celles qui étaient relativement utiles ou intéressantes, et une centrale, l’unique, qui annonçait que Lyrae Potter devait être renvoyée. Elle flottait depuis plusieurs jours, et elle se doutait qu’Henry débarquerait tôt ou tard. La question était, d’ici là, aurait-elle le courage de s’opposer à son supérieur et celui qui l’avait protégée ?

Des ongles qui frappent le bois, une plume qui rédige des mots dictés de façon distraites pour conclure un rapport suite aux interrogatoires, quelques éclaboussures à nettoyer dans un bureau pour faire disparaître les traces d’un échange trop sanglant, un sourire sur les lippes en se souvenant qu’elle n’avait eu qu’à claquer la langue pour voir celle de sa victime se délier. Il avait livré des âmes en peine, et quelques rafleurs s’étaient chargés de les récupérer. Du travail efficace, propre, comme elle l’appréciait. Ce côté du terrain lui manquait parfois, mais il suffisait qu’elle plonge le nez dans un dossier mal trié pour que ses subalternes se retrouvent affublés d’une paire de talons derrière eux. Machinalement, elle lisse la jupe, et observe les aurors en train de remplir de la paperasse. De son fauteuil, elle pouvait les voir s’affairer, et observer les arrivés vers le bureau de son supérieur. Place stratégique, aussi bien pour surveiller que pour protéger.

A croire que l’inconnu s’était mué pour combler l’ennui qui la dévorait. Elle se redresse, fronce les sourcils, et pose son menton dans sa main pour détailler le garçon qui se rendait vers le bureau de Potter. Les cheveux sombres, la peau diaphane, le visage neutre, et les traits qui lui rappelle ceux de l’homme mordu dans la lumière de la lune. Elle est à nouveau animée de la même obsession que la nuit où elle a observé ce phénomène étrange. Les cernes qui cerclent les prunelles, et ce sentiment de détenir la pièce du puzzle, sans qu’il rentre cependant parfaitement. Cette soif d’en savoir plus la dévore. Elle sort de son bureau pour le regarder pénétrer dans celui d’Henry, gênée de devoir aller voir la secrétaire pour connaître l’emploi du temps de son supérieur.

Faucett, tu sais qui est dans le bureau du directeur ?” Le garçon, terrifié par sa supérieur, répond d’une voix tremblante. “Oui, c’est Potter.” Un soupir agacé, elle le toise du regard, une main sur la hanche. “Tu me prends pour une moldue, Faucett ? Je sais bien que Potter est dans son bureau. L’autre.” Il la regarde sans comprendre, mais il précise tout de même. “Pardon, je voulais dire que c’est, enfin, c’est Gabriel Potter, le fils de Mr Potter.” Elle sourit de façon énigmatique, parce que son enigme a gagné un nom. Gabriel Potter. Un nom délicieux, Drusilla était surement derrière cette idée. Elle ne prend pas le temps de remercier le blond qu’elle se retourne déjà dans son bureau. Elle retrouve le confort du siège attenant à son bureau, et tente d’organiser les informations qu’elle possède. Elle reste un brin décontenancée de savoir qu’un des enfants de son mentor pouvait être un lycan. Son chef ne devait pas être au courant, sinon le pauvre serait déjà enfermé dans une cave, la clé jeté dans la Tamise. Elle ne connaissait pas les frères et soeur de Lyrae, gardant une distance polie avec celui qui lui avait offert son poste apprécié. Mais le fait de ne rien savoir sur son loup la dérangeait. Elle avait passé tant de temps à essuyer les échecs dans sa recherche, beaucoup de draps salis pour ne rien avoir en retour, mais elle pressentait que ce visage était celui de la nuit qui l’obsedait. La seule façon de sceller son ressenti était surement de trouver la marque sur son corps. Et pour cela, Selina devait faire ce qu’elle savait faire de mieux : l’inviter à laisser s’effondrer ses vêtements pour qu’elle caresse de ses griffes les traces de crocs, quitte à passer en revu un corps plus jeune qu’elle.

Il s’échappe à coup de grandes enjambées. Elle se précipite pour se lever une fois qu’Henry est retourné à son siège. Sa jupe flatte ses chevilles, accordés à la couleur bordeaux de ses lèvres, et elle replace le col noir de son chemisier à dentelles. Les pas qui claquent dans le couloir, elle s’empêche de courir, parce qu’une femme de son rang ne court pas, mais se dépêche. Elle arrive à le retrouver au milieu des visages qui se faufilent entre elle et lui. “Gabriel !” Elle sait que sa voix lui est inconnu, alors, elle tente sa chance à nouveau. “Gabriel !” Il se retourne, elle lui offre un sourire charmant et se présente à sa hauteur., la main tendue “Selina Parkinson, je suis la Cheffe du bureau des Aurors. Nous n’avons pas été présentés.” Elle rattrape l’erreur d’Henry. “Je m’excuse, je suis cavalière, mais je ne voulais pas manquer la chance de se rencontrer, je peux prendre un peu de ton temps ?” Elle se félicite d’avoir soigné sa tenue du jour, tentant de lire dans le langage corporel de garçon si elle avait une chance, ou si elle risquait de se casser les dents dans sa tentative d’approche. En général, les hommes n’avaient pas de difficultés à s’accrocher à son regard, et elle espérait sincèrement qu’il serait de ceux là. Sinon, la chasse en serait plus longue. Plus longue, mais plus délectable.
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Gabriel Potter
fresh muggle of bel air
Gabriel Potter
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pseudo : figaro/amandine
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études : poudlard, serpentard (1900-1908)
particularité : les crocs sortant sous les éclats d'une lune pleine, malédiction cachée
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Message (ϟϟ) Sujet: Re: think i got myself in trouble + gabriel   think i got myself in trouble + gabriel EmptyJeu 11 Juin - 10:17

Les pas avancent, les pas craignent, les pas demande, les pas haïssent aussi, de venir en ce lieu, d’être contraint et forcé de retrouver le ministère. Mauvais derniers souvenirs et puis, le reste, les œillades, les murmures, le fils du grand Henry Potter, qu’est-il devenu ? Loin de la grandeur du père, de la place prévue au ministère. Décision personnelle, premier instant d’une liberté incomprise. Chasseur de primes, l’homme cruel, l’homme à ne point croiser, les proies toujours rapportées dans le pire état autorisé. Presque toujours, l’œil se fait plus sombre, pensées envers la garce à retrouver. Faire payer, pour l’insolence d’un instant, l’incompréhension généralisée, pour tout ce que cela a pu entrainer… Corps tendu, aux aguets, tenter de cacher les signes des insomnies, plus nombreuses depuis que Séléné dans sa vie est arrivée. Contraignant le corps, fatiguant l’esprit, entrainer les pires instincts vers plus de profondeur, moins de contrôle. L’étrange marbre s’avance, prend place dans le bureau, écoute les ordres, la volonté, sait quand il a fauté. Pétrifier un auror sans doute loin d’être la meilleure des idées mais l’idiot sur son chemin se trouvait, l’empêchait d’atteindre la cible tant désirée. Chasseur jamais une proie ne laisse encore moins pour des bureaucrates certains de posséder la science infuse, ne doutant pas un seul instant de leurs propres limites. Le règlement, les limites, le contrôle, non, l’héritier ne laissera personne lui enlever ces instants où tout s’évapore… Où la nature cruelle vient reprendre ses doigts, délivrent rien qu’un instant du poids certain dévorant les entrailles, envahissant l’esprit, perturbant tout sur son passage. Non, la nature n’est pas certaine, l’existence même des impossibles contraires. Dualité compliquant la psyché. Mais point que le patriarche parle, est écouté, toujours, bon petit soldat qui n’arrêtera pas de l’être, qui ne saurait comment changer la mécanique bien huilée, endoctrinée depuis ses jeunes années. Le dernier mouvement de tête, le signe d’une conversation terminée. Henry Potter est un homme occupé et lui ? L’archange méritait bien une détente certaine après cette remontrance, ce rappel d’un certain ordre des choses, de la place à garder. De combien il était idiot de s’en prendre à un employé du ministère par les temps qui courent, encore plus dans sa position.

La fougue de la jeunesse devant se faire pardonner, s’effaçant de l’espace du grand directeur pour retrouver la populace. Les simples dont l’archange n’a que faire, déguerpissant au plus vite de l’odieux endroit. Austère, mal à l’aise certain, non, en observant les sorciers jamais sa place il n’aurait trouvé, trop peu enclin à supporter tout ordre n’émanant pas du roi Potter. A apprécier la compagnie forcée d’autres ridicules, le besoin certain de communiquer, de remplir une paperasse si longue, de respecter des règles. L’enfer sur terre pour le chasseur, pour l’être n’agissant que selon ses désirs, tuant, détruisant, mutilant, rapportant ce qu’on lui demande, dans une certaine légalité, parfois les chasses sont cachées, payées sous le comptoir pour leur nature bien loin d’être réglementaire. Tant que les gallions tombent, l’homme n’en a que faire. Toujours.

Pas après pas, foule certaine, sensations mauvaises, l’homme n’appréciant guère les contacts forcés par l’exigüité des lieux, par l’attroupement des foules. Non, l’endroit ne convient pas, s’en aller rapidement, plus vite que le vent. Prénom raisonnant, l’archange ne se retourne point, ne cherche pas à connaitre la nature de l’appel. Pourquoi lui serait-il désigné ? Le prénom est certainement loin de l’unicité, même si peu sans doute doivent lui ressembler. L’unique Gabriel Potter, la multitude des Gabriel. La non-envie de tomber sur un autre, seulement d’avancer, seulement de continuer, de s’efforcer de quitter le dédalle rapidement pour ne point laisser le volcan exploser. Le prénom encore prononcé, force, proximité, dos contraint de se retourner, de fixer la silhouette s’approchant. Dévisagée même dans ces prunelles noirceurs laissant apparaitre l’agacement certain pour la conversation à venir. Non, le prénom n’est point à aboyer, le chasseur jamais ne répond à l’appel, jamais n’obéit aux inconnues, même si leur beauté n’est pas à prouver. Impossibilité de connaitre les pensées de la souriante, seulement attendre, rien qu’un instant avant de vociférer la non-envie de converser… Pipelette explique, présente des faits écoutés forcé malgré. La mine fermée, l’émotion si lointaine, abandonné, seulement les brilles brillants d’une noirceur certaine, toujours. Contacts sociaux loin d’être fluidité. L’homme bien loin de remarquer la tenue particulière du sexe opposé, ne s’en tenant qu’aux propos… Les détournements dans la psyché particulière, les comprenant d’une manière sans doute loin d’avoir été désirée par l’intéressée. « Votre employé va bien un petit petrificus totalus n’a jamais tué personne. » Persuadé que la douce beauté ne vient que pour réprimander sur les agissements du chasseur… Père ayant déjà fait son œuvre, nulle envie de recommencer devant la Parkinson, celle qui de toute manière n’aurait aucune emprise sur lui. Mieux ne valait pas s’énerver sur la cheffe du bureau des Aurors, pour ne point amener davantage de cheveux gris dans la tonsure paternelle…
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Message (ϟϟ) Sujet: Re: think i got myself in trouble + gabriel   think i got myself in trouble + gabriel EmptyJeu 11 Juin - 16:23


think i got myself in trouble - @gabriel potter


Il ne lui avait fallu que quelques minutes à lier le potter a une sombre affaire, qui avait demandé une promesse d’Henry à Selina. C’était le nom de ce fils là qui était ressorti lors des interrogatoires par une putain de bas-étage. Putain qu’elle connaissait bien, Percy, l’insoumise. Maintenant esclave d’Amos Gaunt. Un Gaunt particulièrement efficace, bien qu’elle le soupçonne de s’être un peu trop régalé lors de l’interrogatoire. Soit, ce n’était pas un drame, après tout, cela ne restait que des nés moldus. Alors, maintenant qu’elle savait quel Potter y était mêlé, elle en faisait une affaire personnelle.

Oh non, cette affaire ? Cet idiot l’a bien mérité. Mais je profite de cette visite fortuite pour un tout autre sujet.C’est de toi, mon loup, dont je veux parler. Pas d’un idiot sans capacité défensive. “Nous y allons ?” Elle lui laisse encore le choix de s’échapper, et se dirige vers l’une des pièces temporaires qui ont accueilli les interrogatoires. Elle referme la porte une fois qu’il est entré, jette un assurdiato, puis collaporta pour la sécurité, on ne sait jamais. “Je ne veux pas qu’on nous entende, au cas où.” Elle lui offre un sourire en coin. “Oh, le ménage a été mal fait ici aussi…” Elle passe sa main sur la table en fer, là, où une tache de sang se trouve, séchée, se rappelant que c’était surement la salle où Henry avait remis à sa place la Scamander. Bien, du sang impur. Une grimace et elle nettoie sa main sur sa jupe. Elle s’assied sur la table, sans lui imposer de se poser sur une chaise, même si elle sait que ses charmes seront plus appréciables si elle se trouvait au dessus de lui, ainsi installée. Elle croise ses jambes qui se découvrent suffisamment pour observer ses bas noirs, une main d’artiste qui passe dans sa chevelure, sachant parfaitement ce qu’elle voulait faire ainsi. Le déconcentrer assez, pour l’amener à se livrer. “Je préfère que nous soyons en sécurité, il ne faudrait pas qu’on puisse nous interrompre.” Selina mène la danse sans le percer à jour. Elle n’est pas impatiente, elle sait que ces choses demandent du temps, c’est son travail, après tout. Elle compte le rassurer, développer un lien de confiance qui lui permettra de déverser les plus sombres de ses secrets, dont celui, elle l’espère, de sa morsure sous l’orbe de la lune. “Je me permets des familiarités, mais il y a bien longtemps que je connais Henry et Drusilla. Leurs confiances m’est chère. Je n’ai simplement pas eu la chance de te rencontrer avant, à regret, d’ailleurs.” Le sourire est si sincère qu’on pouvait s’y fondre. Elle ne compte pas parler trop longtemps, s’il a quelque chose d’autre à faire. “Considère moi d’emblée comme une amie, et scellons ce qui se dira dans cette salle par le verre de l’amitié.

Elle claque des doigts, et l’elfe se matérialise. “Kyla, va me chercher la bouteille de whisky dans mon bureau. Avec deux verres” Pas de remerciement, nul besoin de s’en accoutumer avec les elfes, et Lina lui impose alors le choix de la boisson. Un choix de caractère, les femmes ne buvaient pas ce genre d’alcool, en général. Mais Selina n’avait rien d’une femme classique, lisse et sans saveur. Elle n’avait pas peur de surprendre par ces choix. L’elfe revient presque aussitôt, et dépose les articles sur la table, près de la jeune femme. “Va-t-en.” Hop, la monstrueuse chose disparaît, et Selina s’affaire à lui servir un verre. On frôle midi, il est tôt pour boire. Mais quelque chose lui dit qu’il n’osera pas refuser. “Bien, tu acceptes ? Le verre, l’amitié, plus encore ? La brune n’attend qu’un oui, elle n’acceptera que cela comme réponse. Impétueuse, elle reprend l’échange. “J’ai eu vent de l’affaire malheureuse, une putain qui ose prononcer ton nom en échange de sa survie ?” Elle a l’air désolée, elle l’est, un peu, mais surtout en colère que Persephone puisse oser pareille traitrise. Elle avait bien mérité les traitements infligés par Amos. “Il est évident que ton nom sera blanchi, ton père est sur le dossier, mais je voulais m’y pencher personnellement. M’assurer que le travail sera parfaitement fait.” Elle appuie savamment sur certaines syllabes, et garde son sourire le long de ses lippes colorées.

Elle aurait peut être quelques échecs, mais le but sera atteint. Elle n’en avait aucun doute. Gabriel Potter lui révélera son secret, coûte que coûte.
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Gabriel Potter
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Message (ϟϟ) Sujet: Re: think i got myself in trouble + gabriel   think i got myself in trouble + gabriel EmptyJeu 11 Juin - 22:14

La cheffe des aurors en personne, devant lui, l’idée simple. Venue pour défendre l’idiot qu’il avait pétrifier… L’imbécile incapable de sortir sa baguette à temps, comme tout autre auror, l’image loin d’être idéalisée. Des imbéciles, tous, totalement, et elle, à leur tête, ne devait nullement être meilleure… Sinon pourquoi dirigerait-elle autant d’ignares. Regard loin d’être intéressé quand la position est dévoilée, au contraire, la respect vient se diluer, se perdre totalement, ne reste que la petite dose nécessaire, obligatoire pour ne point décevoir le patriarche, pas totalement. Mais la femme, l’image érodée par la profession, par l’image du métier, des rencontres passées. Toujours tenter de les contrer, toujours réussir à les avoir, à la fin. Le Scrimgeour en était le parfait exemple, bon à rien de première qui toujours finissait par lui laisser emporter la proie, parce que la violence ne correspondait pas aux principes du ministères. Bureaucratie dépréciée personnifiée par la brunette ne cessant de l’observer.

Propos compliquant la compréhension, pourquoi ainsi dévalorisé quelqu’un sur qui elle a autorité. Potter ne sait, Potter ne comprend… Tout autre sujet ? Interrogation du sourcil arqué, s’il n’appréciait pas tant le silence, l’être n’aurait pas hésité à lui faire remarquer que c’était sans doute elle la plus stupide du lot pour suivre les directives, pour engager toujours et encore plus d’incapables… Mais non, l’être se tait, attend avec impatience le reste des propos, le moment où il pourra s’éclipser, continuer sa vie et oublier cette rencontre n’ayant apporté aucune amélioration à son existence bien au contraire… Proposition obligation, pas vraiment le choix que de suivre, que de rentrer dans la pièce, les sorts jetés n’annonçant rien de bon, main déjà sur la baguette, toujours, pour ne jamais être pris au dépourvu, la beauté sans nul doute empoisonnée.

Réminiscence des souvenirs, présents, tellement, trop surement, les interrogatoires, siens, autres, le tout mélangé, le nom, sien sorti pourtant. Mains resserrant la poigne, attendant plus d’explications de la part de la bureaucrate. Ne pas entendre au cas où… Méfiance à son paroxysme qu’aucun de ses sourires ne pourra contrer. Non, au contraire, laisser faire, enlever la tache de sang séchée, l’observer, ne point arrêter, garder l’iris aux aguets pour ne point la laisser la moindre chance de le prendre à revers. Corps posé, là, contre la table, l’homme debout, dans le lointain, défiance certaine, non la place de l’accusé en aucun cas il ne prendra, soupçons à leur paroxysme… Les gestes de la sirène sans effet pour le chasseur, concentré sur tout autre chose que sa beauté… Chaque phrase prononcée ne fait qu’augmenter les présentiments de l’héritier sur les attentions funestes de la sorcière. Chercherait-elle à l’interroger pourtant la baguette toujours dans sa main se trouve.  Pourquoi continuer de la sorte, parler encore et encore, divaguer sans donner le contenu attendu, nécessaire à la compréhension de la situation.

Parler des siens ? Tenter d’amener un élan de sympathie mais le marbre ne comprend guère ce genre de bons sentiments, trop de manipulations inutiles avec l’être passant à côté, se contente d’écouter, encore une fois, de regarder chaque seconde davantage la porte sortie, délivrance d’une conversation sans queue ni tête. Des regrets de ne point l’avoir rencontré ? Rire glacial pourrait se faire entendre si l’archange n’était point concentré sur les actions, sur le but à attendre. Peu de monde regrette de l’avoir manqué, la mauvaise impression bien plus présente que la bonne souvent, si souvent, tellement même… Amie ? L’œillade se fait interrogatrice. L’amitié, valeur compliquée pour l’être, pas besoin de tous les doigts d’une main pour compter ceux qui pouvaient se targuer de posséder un tel titre, son cousin en premier. Non, l’inconnue ne méritait en aucun cas un tel honneur… Alcool pourtant apprécié, venu rapidement par la présence d’un elfe de maison à peine regarder. Verre attrapé, jamais refusé, toujours bienvenu tandis que la beauté de ses propos tente encore d’ensorceler. « Le verre bien sûr. »  Refus du reste de la proposition, non, sa confiance un verre savoureux n’apportera pas, une humeur plus détendue peut-être, si les contenants sont multipliés et que la journée continue de s’allonger.

Malheureux choix de sujet, crispation de l’être, le verre manquant de se casser entre les doigts du sorcier, de peu le verra aurait égratigné sa peau. Interrogatoires, elle, surtout, comprendre non, impossible de savoir ce qui était passée par la tête de la fille du bain. Prénom jeté, complications en cascades… La garce disparue, il l’avait cherchée, totalement, terriblement, dans tout le fol opium détruisant plus d’une grande partie de l’établissement au passage. Point de Perséphone, seulement quelques vestiges abandonnés et cette envie de vengeance se glissant sous l’échine… Trouver la carogne n’ayant point hésité à le sacrifier, lui faire payer, détruire tout ce que le temps avait pourtant créé entre eux, étrangement… Et s’il arrivait à l’être de l’appeler putain, l’entendre prononcer dans la bouche autre dérangeait l’homme. Ne point le prononcer, ne jamais montrer ce qui peut toucher dans le fond… Tout devient noir dans les iris, sujet à ne point abordé, en aucun cas… Lecture de l’interrogatoire, un peu avait apaisé, par instants du moins… Les actes du Gaunt… L’imagination des actes, cruauté du Potter bien moins encline à sortir en compagnie de l’attrapée, étrangeté… Bien lui du pardon, bien loin de cesser toute envie de la punir, de la détruire mais parfois l’image apparait, la peau observée, surement différente maintenant… Coupée… Rage accentuée par le choix du sujet, oh non, nulle sympathie ne sortira de cette perspective. Sa survie ? Potter n’avait point pensé et finalement cela semblait d’une logique implacable, la mort approchant par la main du Gaunt et … Le nom pour s’en sortir, pour ne point finir détruite. Raison pouvant être un jour comprise, pas là, pas maintenant, toujours les ressentiments, les conséquences probables et le besoin de la retrouver, faire payer. Totalement ? Entendre les propos ? Peut-être…

« Avec mon père sur le dossier je n’ai aucun doute à me faire. Les accusations sont infondées, j’ai seulement vendu l’effarouchée au plus offrant. » L’arène payait moins grassement que le bordel mais le chasseur aurait pu, pour punir, pour faire oublier le départ malvenu, la seconde chasse détestée mais non, le fol opium, la solution intermédiaire. Offrant bien des avantages, des poches bien pleines, bourses vidées, une présence étrange également… Tout ce que « l’amie » n’apprendra jamais. « Difficile pour une aurore bureaucrate d’apporter davantage que le chef du département de la justice magique… »  Et c’est  l’unique vérité dont l’être est prêt à discuter.
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Message (ϟϟ) Sujet: Re: think i got myself in trouble + gabriel   think i got myself in trouble + gabriel EmptyVen 12 Juin - 19:50


think i got myself in trouble - @gabriel potter


Non mais qui était assez bête pour se faire stupefixer par un chasseur de primes ? L’affaire lui revient en tête, les morceaux de puzzles s’imbriquent pour dessiner une idée plus clair, et  s’agacer d’autant plus de traîner quelques incapables dans les brigades. Si elles étaient à peu près équilibrées, il en restait encore une qui n’avait aucun sens : un paresseux, une idiote qui avait dû tricher aux Aspics et un prétentieux ? Evidemment, le prétentieux l’avait prise pour une simple administrative et était resté figé lorsqu’elle lui a offert un savon que même sa mère n’aurait pas osé. Soit, il fallait plus de disciplines dans cette équipe, et il était devenue monnaie courante de menacer quiconque s’amusant à faire une grossière erreur d’être muté dans cette brigade. Seulement, il fallait tout de même reporter cet incident et chercher l’homme ayant fait outrage à agent. Il n’avait pas fallu longtemps pour identifier le gamin Potter, et Selina avait trouvé cette coïncidence désopilante. Le dossier bien vite refourgué dans les bras du paternel, les bouches se sont vite scellés, et le prétentieux s’était tu à jamais, ne trouvant ni justice ni réconfort au sein de ses collègues.

Me voilà à devoir travailler pour le reste.” C’est silencieux, mais ça transpire : tant mieux, j’aime le défi. Réalité bien pensante, qui sied parfaitement à la Parkinson. S’il était Kieran, ou dans son genre, elle lui offrirait un clin d’oeil. Elle lui tend le verre de façon à ce que leurs doigts doivent se frôler. Elle maintient son regard dans le sien avec le même sourire, celle d’une fille qui a quelque chose derrière la tête. Mais là n’était pas la place de mettre à exécution les dangers d’une séduction prématurée d’une verve trop acérée. A la place, elle détend ses jambes et lâche un léger soupir en voyant l’état de la pièce. Comme il n’utilisait pas la chaise, elle la traîne d’une main devant ses pieds pour les laisser reposer dessus. Elle sirote la boisson d’un air distrait, n’ayant pas besoin de sentir la brûlure de l’alcool lui caresser la gorge à l’instant précis.

Les gouttes d’alcool qui se logent encore sur sa langue ne l’empêche pas de le voir changer d’expression lorsqu’elle aborde le sujet de la putain. Selina doit se retenir de mordre sa lèvre d’un plaisir ténu. Alors, il y avait quelque chose, n’est ce pas ? Peut être se tapait-il la gamine régulièrement, pas assez bon amant pour être sauver de la bouche de la sang de bourbe, ou plus drôle encore, était-il amoureux ? Il ne semblait pas le genre de garçon à laisser son palpitant s’emballer pour ce genre de chose. Elle sourit alors, en coin, voyant ses délicieuses prunelles tourner au sombre. Etait-ce une réaction similaire qui se produisait lorsqu’il se transformait ? Etait-ce la part animal de colère, de jalousie qui ressortait ? Selina n’avait qu’une envie, la décupler. Le voir perdre ses moyens, sentir le lycan dans la carcasse banale du garçon, si tant est qu’il y avait bien un autre coeur à l’intérieur “Quelque chose à confier sur ta relation avec Persephone peut être ?Hurle, loup, et montre ton visage, laisse moi bousculer tes principes. Je n’ai pas peur de toi. Son regard se fait moqueur, parce que son but, c’est bien de voir jusqu’où il sait se contrôler avant de lâcher la bête. Rien d’éternel, il y avait toujours des failles. Selina n’avait qu’à la chercher, et elle se savait capable de la trouver. Tendre façon de se délecter d’une rencontre à peine terminée. “Peut être que la putain s’est vengée de son amant qui ne l’a pas sauvé ?” Elle se moque, elle ose, elle le provoque volontairement. Elle saura se rattraper. Elle a toujours sur le faire.

C’est le concours de celui qui poussera l’autre à bout, des insultes à peine voilée, comme si elle n’en avait jamais entendu. La Parkinson vivait littéralement de dénigrements et de jugements. Elle n’avais jamais trouvé pertinent de s’en soucier, simplement réglant quelques détails quand les racontards devenaient parole sainte. Mais Selina n’a pas peur de se faire malmener, juger un peu. Qu’il essaie de sortir avant qu’elle lui en offre l’occasion, et elle deviendra un drôle de cauchemar. Syndrôme de Stockholm, il ne voudra plus d’elle dans ses songes mais ne pourra pas s’empêcher d’y penser, c’est l’effet qu’elle avait. “Tu n’es pas le premier à dénigrer une femme de pouvoir.” Phallocratie rassurante, elle la tolérait quand les hommes étaient habiles de leur prétention. Dans tous les sens du terme. Sinon, elle les chassait d'un revers de la main. Elle sourit, fini son verre, lui en propose un autre, chaleur familière qui désinhibe, qui lui fait prendre quelques libertés. Des mots qui coulent contre les lippes de façon si singulière qu’on pourrait croire qu’elle n’a peur de personne. C’est peut être vrai. “Henry risque de ne pas avoir le discernement nécessaire. Il pourrait y mettre trop de sentiments, par inadvertance. J’assure mon soutien, qui pourrait être nécessaire.” La preuve de trop, elle l’effacera, celle qu’Henry ne verra pas par son aveuglement sanguin pour son gamin. Elle, n’avait désormais d’intérêt que pour le loup qui battait dans le corps de Gabriel. Un sourire en entendant dans sa tête le prénom d’ange pour une bête sanguinaire, qui s’allie avec le sien, son pire cauchemar comme sa meilleure alliée, la lune.
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Gabriel Potter
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Message (ϟϟ) Sujet: Re: think i got myself in trouble + gabriel   think i got myself in trouble + gabriel EmptySam 13 Juin - 18:19


Tw – langage cru
L’amitié trop facilement proposée pour ne point continuer à se méfier. Proposition malvenue, totalement, prendre en otage les parents pour tenter d’entrainer chez le fils une quelconque compassion, une envie de se rapprocher d’elle. Discours l’entrainant dans l’autre extrême, contrecourant, toujours, système de penser propre. L’insolence même du Potter, tellement étrange, tellement particulière quand on connait son obéissance au paternel. Le bon petit soldat devenant la plus vile des créatures pour ceux dont il n’a que faire. Et elle ? Elle n’est rien qu’un grain de sable dans le fil de sa journée, au moins le liquide ambré vient aider à supporter l’échange non-désiré. Les envies de tout envoyer balader, de partir, là, tout de suite, maintenant, tout enlever, tout envoyer valser, l’abandonner, sans attendre les autres pensées, savoir certain que rien ne sera d’une quelconque aide. Que pouvait-il donc attendre d’une aurore de toute manière ? Bureaucrate plus habituée à griffonner le papier qu’utiliser la baguette… Toujours la précieuse dans la paume de la main, prête à agir, à défendre en cas de besoin.

Liquide ambré accepté, toujours, même du pire ennemi, ne point laisser quiconque le prive d’un instant précieux sans pour autant lui offrir la contreproposition. Prendre sans rien donner, l’habituel Potter revenant à la charge, agissant comme il le fait toujours, loin des limites, loin de toute raisonnabilité. La langue bien pendue qui ne lâche pas, qui refuse de ne point contrer… Alors elle tentera donc d’obtenir le reste ? D’acquérir son amitié ? Pourquoi ? Questionnement certain, valses des questions, des interrogations, non, loin de la normalité, méfiance venant s’exacerber. Comme seul réponse ses épaules levées, le laconique ne va point gaspiller sa salive pour un combat perdu d’avance. Non, l’alliance ne sera guère, jamais. La précieuse a beau travailler pour le patriarche, l’héritier ne se laissera point tenter. Quelle tente seulement de travailler pour le reste, il sera bien le premier à lui compliquer le parcourt, à laisser les obstacles venir sur sa route, sur sa course effrénée.  Combat de regard quand le verre est attrapé. Si le scepticisme ne remplissait pas autant l’esprit sans doute que le geste aurait dérangé, rappeler au Potter ses complications envers le sexe opposé mais elle n’est point femme. Non, pas à cet instant, elle est le chaos, le piège dans lequel ne point tomber, résister jusqu’à savoir ce qu’elle désire vraiment, les raisons derrière les bonnes volontés étrangères, trop pures pour être réalités. Verre attrapé, bu en partie, toujours trop vite, toujours avec ce besoin de remplir le vide intérieur, de venir combler les incertitudes, de renforcer le marbre à tenir, pour ne pas s’effondrer, pour ne point perdre les repaires nécessaires…

Mise en scène ridicule ainsi offerte, le rire aurait pu sortir si seulement le nom n’avait été prononcé. Le sujet à ne point déborder, donnant envie au monstre des envies de destructions, de tuer, détruire le corps de celle qui a osé donner son nom. Ternir l’image, compliqué la position de sa famille auprès du ministère. Si le chasseur n’en avait que faire, le fils savait combien le père se retrouvait déçu, combien toute la tournure des événements mettait en danger sa place dans la famille, davantage que le secret continuant d’être caché, d’être éloigné. L’impossibilité pour l’œil de ne montrer le dérangement du sujet abordé, des questions intérieurs. Pas de pardon, seulement des circonstances atténuantes qui, pour le moment, restaient au fond, restaient loin de tout, loin des sensations, loin des pensées, loin de tout ce qui pourrait l’empêcher de venir enserrer la gorge jusqu’à cesser toute vie. A jamais peut-être… Haussement soudain pour l’aurore, pour ce choix de mots, pour ce prénom lâché, non, aucun droit de le prononcer, de tenter de ramener les pensées, les souvenirs passés. Tout ce qui ne sera jamais… Tout ce qui n’est toujours que tarifié, des échanges comme tant d’autres, avec d’autres putains, tenter de s’en convaincre assez bien. La moue moqueuse ramène les envies destructrices tout comme les mots. L’action complète venant faire vriller le Potter, point besoin du loup pour que l’envie de violence ne viennent saisir. L’approche est rapide, presque destructrice quand le pied entraine la chaise au loin manquant de faire tomber la beauté à l’équilibre rien qu’un instant devenu précaire. L’entrainer vers sa fin, sa chute, le besoin presque total de venir déposer ses mains autour du cou, de serrer, de détruire le sourire mauvais. « Une putain n’est qu’un vide couille. » Avoué avoir fauter, n’y amener qu’une action corporelle, un besoin masculin, une action sans rien d’autres, sans les discussions, sans les nuitées passées seulement à la dessiner. Réduire le tout à un acte, prendre, se vider et puis abandonner. Oublier le reste… Rien qu’un instant. « Sa mort de mes mains sera l’ultime vengeance. » Et le désir s’y retrouve, de tout détruire, de venger l’affront, de réduire à néant tout espoir. Serrerait-il jusqu’au bout ? Non ! Oui ! Oh oui, il y arriverait, tant qu’il n’est pas devant elle, tant que les pensées ne remontent pas, tant qu’il oublie qu’elle est bien davantage qu’une putain…

L’envie de détruire, l’un et l’autre, de ne laisser rien passer, en aucun cas. Pas besoin d’elle, en aucun cas ! Son père suffit, son père lui apportera ce qui est nécessaire, ce qui sauvera, ce qui protégera, ce qui aidera… Point besoin d’une étrangère qui n’apporterait rien, en aucun cas. Et les mots qui amènent le rire mauvais. Misogynie qui n’est nullement la raison de l’emportement, si la cause féminine n’intéresse en rien le Potter, ce n’est pas point ce qui dirige les propos, en aucun cas. « Le statut de femme n’est en rien responsable de l’incompétence… Seulement le choix de métier. » Il n’en dit guère plus, pas besoin, le sourire mauvais laisse présager de l’avis sur ceux quelles dirigent, le peu de reconnaissance, la sensation d’avoir à faire à une bande d’idiots dont elle est la cheffe, ce qui la rend encore plus imbécile que tout les autres finalement. Attente de pouvoir la laisser, l’abandonner et le verre vider, là, si proche d’elle, toujours en la toisant de sa hauteur, toujours en dédaignant sa personne, point pour ses jambes graciles ou ses cheveux longs mais pour l’insigne porté…

La suite des propos, pire sans doute que les précédents. Le rire ne venant point quand le patriarche est concerné mais l’idée est tout bonnement ridicule. Impossible finalement… « Henry Potter ne fait jamais dans le sentimentalisme… » Et l’ainé le savait plus qu’aucun autre, entrainé pour être soldat, point pour être choyé, seulement pour rendre fier, pour tenter en tout cas. Non, la tendresse ne fait point partie des qualités du père… Nul besoin d’un soutien extérieur, nul besoin de sa présence qu’elle tente pourtant d’imposer, encore et toujours refusant de s’éloigner, de jeter l’éponge… « Pourquoi voudrais-je de votre soutien ? » Question finalement posée, connaitre les attentions cachées au moins rien qu’un peu, tenter de la voir se dépatouiller dans cet entrelacs qui aura tôt fait de l’ensevelir. Quelle galère pour l’incapable aurore.
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Message (ϟϟ) Sujet: Re: think i got myself in trouble + gabriel   think i got myself in trouble + gabriel EmptySam 13 Juin - 20:54


think i got myself in trouble - @gabriel potter


Aurait-elle dû lui proposer un rendez vous, une nuit avec elle, une sortie au casino pour voir la face cachée du garçon ? Devait-elle le dévorer en premier pour découvrir ses secrets les plus sombres ? Gabriel Potter était l’énigme dont elle ne voulait plus se passer juste en quelques minutes après l’avoir rencontré en personne, loin de la morsure qu’elle a observé au loin dans la nuit, événement qui l'obsède littéralement. Rien de logique à attendre qu’il soit à bout, pourtant, c’est bien ça que recherche Selina. Elle frappe de sa langue les mots qui le sortiront de son carcan, qui feront trembler la jeune femme pour son plus grand plaisir. Elle voulait sentir sa colère palpable, ses yeux tourner à l’onyx et sa voix se durcir. Peut être même que sur un malentendu, il laisserait échapper un grognement, toute bête qu’il est.

Le claquement du fer sur le sol carrelé de la pièce résonne. C’est comme le signal qu’elle est allée trop loin. Pourtant, elle ne compte pas s’arrêter là. Déjà, la remarque, franche et violente, vient le frapper.



Elle le pousse encore, provocation supplémentaire, la vulgarité qui coulent sur des lippes rouge sang, la couleur du sentiment qui ravage l’homme face à elle. Elle pourrait lui dire que si c'était le cas, plein d'autres putains pouvaient s'en charger. Ou même, s'il ne voulait pas payer, elle pouvait se dévouer. Elle s’est soulevé de la table pour retrouver les deux pieds à terre. Les talons claquent comme une réponse à la chaise qui s’est effondré sur le côté. La baguette qui sort de la jupe, ses doigts qui jouent le long du bout de bois, d’une main à l’autre. Elle est dévorée par le plaisir de voir enfin une face moins rigide et moins silencieuse. Les corps parlent bien mieux que les langues. Et du sien, elle ne voulait qu’une chose, voir la marque des dents enfoncées dans sa chair, quitte à jouer de sa peau contre la sienne avant. Elle pose sa baguette sur son torse couvert. D’un stupefix elle aurait pu le dénuder et découvrir la marque d’elle même. Trop facile. Pas de défi. Le chasseur sera chassé par nul autre qu’elle, il ne le savait pas encore. La pointe du bois se glisse entre deux boutons pour frôler la peau du sorcier. Elle sait qu’il détestera ça. “C’est ce que tu fais aux putains, tu les tues ? Ou seulement les traîtres et les hybrides ?” Elle relève la baguette, incandescente de désir de le voir devenir flamme, de voir enfin ce qui peut ressortir de lui, en entier.

Et à moi, Gabriel, que vas-tu faire ?

La mordre sans venin ? La frapper sans magie, sortir les poings. La menacer, elle aussi ? Elle l’avait poussé encore plus loin, là où surement peu ont essayé d’aller. Mais il ne pouvait pas s’éteindre devant elle, et elle s’en mordait la lèvre d’anticipation. Parce que jamais ne disparaît le sourire moqueur de son doux visage.

Elle éclate de rire quand elle l’entend juger sa profession. “Métier que ta soeur exerce, l'insulte est mal choisie, puisque je suis sa supérieure, mais tout le monde ne peut pas être chasseur de primes, et je risquerais de te voler la vedette, ce serait dommage, n’est ce pas ?” Elle tourne autour de lui, attend le moment où la violence allait jaillir, tension réaliste, qu’on pouvait presque attraper de la main dans la pièce mal éclairée. Un sourire en coin quand elle le voit se retenir, si fière de lui provoquer autant d’émotions, mais toute dans un seul but : découvrir le visage animal du Potter. Elle apprécie la façon dont ses talons claquent sur le sol, accompagnant ses mots acerbes.

Tu serai surpris de ton père, j’en sais quelque chose. Et si tu ne veux pas de mon soutien maintenant, crois moi qu’un jour tu me supplieras de t’aider, même si c’est contre tes principes.” Les prunelles dans les siennes, elle le défi de répondre à ses provocations, et elle se doute qu’il saisira l’occasion, de ses mains peut être, de sa bouche aussi, tant qu’il y avait quelque chose qui en sortait. Plaisir presque sadique et masochiste, la brune n’était pas saine ni pour lui, ni pour elle. Parce qu’elle portait peut être le poids d’un secret terrifiant pour le garçon, et qu’elle en jouait à coup de langue bien pendu.

Après tout tu es Gabriel Potter, tu n’as besoin de personne, c’est ça ?” Elle se moque encore allègrement de lui. Insupportable, insoumise, elle ne se taira que s’il la force à le faire.
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Message (ϟϟ) Sujet: Re: think i got myself in trouble + gabriel   think i got myself in trouble + gabriel EmptyMer 17 Juin - 18:11

TW VIOLENCE
Enserrer la gorge de ses mains, faire cesser toute vie, toute possibilité, tout envoyer balade, se retrouver avec un cadavre à cacher. Toujours serrer, la voir tenter de respirer, voir la beauté se débattre, perdre peu à peu le combat, se retrouver à corps d’air, cage thoracique ne cessant de se remplir et se vider pour tenter l’impossible. Plus un mot, plus une idée, seulement un cadavre, l’idée enivre devant la ténacité de la créature, le sujet abordé, les incompréhensions certaines. Persephone, comme il aurait aimé ne pas y penser, ne pas retrouver les idées passées… Le questionnement certain sur la trahison, sur l’erreur de parcours, sur la légère faiblesse, le choix de l’égo, de l’envie, mieux vaut penser cela que d’admettre que le mécanique un cœur pourrait posséder, assez pour laisser l’enfant survivre, pour ne point la condamner à l’arène qui aurait eu tout fait de la détruire. Ne plus penser à celle à oublier, à celle qui ne doit exister que pour la détruire, la tuer, la faire payer l’affront, le danger, tout ce qu’elle a créé, les milles et une pensées, lointaines, mélangées, bouleversées par la colère grandissante, par l’envie pressante de fermer à jamais la bouche moqueuse. Le poing devient arme quand les propos sont continués, renforcées, quand le maintien d’une certaine humanité disparait peu à peu, le loup n’a même pas besoin de gronder, l’homme le fait de lui-même. Volcan sur le point d’imploser. La garce chercherait-elle cela ? L’emmener si loin qu’elle pourrait finir par y perdre bien plus qu’elle ne semble l’imaginer ? Répondre reviendrait à rentrer dans le jeu, à continuer, à s’emporter, à venir par ne laisser qu’un corps sans vie, là, maintenant… Frustration non ! Point besoin d’un tel sentiment pour désirer le sens, le vice du malsain, toujours dans le corps, toujours cherchant à sortir, amplifier par la soif de la bête retenue en cage. L’iris noir à elle seule fait comprendre le court des pensées, les atrocités non prononcées, gardées encore pour l’instant, le point de rupture se rapprochant chaque fois que les lèvres pernicieuses décident de s’entrouvrir.

Promiscuité créée, imposée sans laisser le temps de réagir, d’augmenter la distance des êtres, de continuer à ne point tenter le malin. Les eaux su Styx toujours plus proches de la peau semblent se rapprocher, Cerbère finira par mordre, par tout dévorer, par ne point retenir les envies, les idées. Par l’emporter, loin, jusqu’à laisser le carmin s’écouler. L’ennui bruit des talons n’est rien face à la baguette, coincée contre la peau, venant titiller l’intimité corporelle sans ménagement. Violation des barrières, toucher désagréable au possible. Respiration accélérée pour ne point céder, pour ne point craquer, pour ne point l’égorger. Se doute-t-elle à cet instant de la force mentale nécessaire pour ne point céder à l’envie première ? Pour garder le contrôle sur le carnassier ? Sur le volcan que ses mots et gestes ne cessent d’entretenir ? Elle finira par se bruler, pas qu’un peu, trop sans doute, y perdra des plumes, certitude… Et les mots incandescents ravivent les flammes, bien plus, bien trop et la main, là vient contre la gorge, ne se retient plus, prend possession, serre rien qu’un peu. Désir de la sadique de connaitre les pensées du sorcier ? Les envies sur sa carne ? L’avant-gout est-il en train de la satisfaire ? « La destruction reste plus satisfaisante que le dernier souffle. » Le plaisir pris dans les actions précédents le dernier souffle, dans la capitulation des corps, les cris provenant des entrailles, détruire oui, à petit feu, torturer, démembrer parfois mais le dernier souffle rarement pris. Pas totalement vivant, rarement totalement décédé. Un entre deux laissant la marge des possibilités, des envies sadiques, du plaisir pris dans la violence. L’œillade poussée au vice brille d’une nouvelle lumière, là, quand la poigne continue de serrer, pousse de plus en plus limites, attend la réaction, chercher l’instant où l’air viendra manquer, ne passera plus, le moment de doute sur les intentions. Tout détruire où laisser au moins un semblant de vie dans le corps ? L’hésitation certaine jusqu’à ce que l’instant arrive, quelques secondes encore, faire prolonger la torture certaine de ce besoin essentiel. Le sourire mauvais et l’œillade se noircissant à nouveau. « Ne me tente pas de continuer. » Car il pourrait, car il serait capable d’en finir, de venir tout détruire, de mordre, de blesser, de détruire et déjà en s’éloignant, en la laissant retrouver ce souffle lointain, il sait que les marques autour de son cou d’ici ce soir viendront se former. Que durant quelques temps, la main restera imprimée sur la peau beauté. Euphorie de la pensée.

Rire désagréable, les limites dépassées, une fois encore, les pensées bien trop libérées, cette langue que le chasseur pense de plus en plus à couper, détruire, envoyer dans le lointain, plus loin, éternellement. Le serpent ne cesse, crache son venir encore et toujours, ose dans le discours inclure la sœur préférée. « L’exception à la règle. » Glisser avec force, avec rapidité, l’autre moitié de son être que jamais personne ne pourra blesser sans en payer le prix. La prunelle de ses yeux, celle qui le comprend comme aucune autre, étrangement, qui accepte les mauvais côtés, qui tentent parfois de lui apprendre la sociabilité, sans nul doute serait-elle mortifiée de l’échange d’un instant passager. Le service serait sans nul doute bien mieux géré sous les doigts habiles d’une Potter, de Lyrae, la pensée venant, quel meilleur moyen de faire taire l’impossible entêtée qu’en venant lui dérober son précieux poste. « Le service serait moins incompétent sous sa coupe. » Proposer l’idée, l’induire et voir le résultat, le fil des pensées. Susurrer au père l’idée… Et son métier sur lequel elle tente de l’attaquer. Lui, l’homme, le limier, suivre les pistes, tout n’est qu’argent et chasse appréciée. L’argent avant la gloire, toujours, seule la fierté du père est attendue, désirée, le reste importe peu, nul besoin de connaitre son nom, nul besoin de le répéter à l’infini, non, la solitude lui sied. « Comme si une bureaucrate pouvait attraper qui que ce soit… » Rire mauvais, l’imagination qui vient se mettre en place, non, l’incapable se ferait certainement tuer. Peut-être devrait-elle essayer pour qu’il en soit enfin débarrassé ?

Tension à son paroxysme, tenter de ne point céder, de ne point craquer, de ne point donner raison à l’insolente, de ne point totalement fissurer le marbre mais les mots continuent assassinent, détruisent les capacités de retenue, chaque seconde davantage, trop finalement pour tout retenir pour ne point totalement se laisser entrainer vers les enfers. Rire sadique qui ne manque pas ? Est-elle possédée ? Possède-t-elle encore une certaine habilité à penser ou le venin vient d’atteindre le cerveau ? Lui enlevant la capacité même de développer une pensée raisonnée ? « Jamais ! » La réponse est lancée, crachée, jamais il ne s’abaissera à quémander de l’aide, encore moins à cet être ne cessant de développer ses plus affreuses pensées, de toujours le pousser plus loin dans les tréfonds de l’être, dans les capacités de destruction. La mauvaise face de la pièce, la plus destructrice, la noirceur absolue, sans limites si ce n’est celles dont le corps de la cheffe pourra supporter. A quel point les os craqueront-ils ? A quel instant la douleur sera-t-elle qu’elle ne retiendra plus le cri, qu’il étouffera la pièce et remplira les tréfonds du mécanique d’un plaisir indescriptible ? La pique, énième, trop pour ne point défaire toute distance, approcher, baguette venant là, se déposer contre la carotide, les idées déjà multiples. L’esprit susurre les idées, la violence comme étendant ne cessant de se développer, de s’engouffrer dans l’être. Détruire, la seule pensée. La violence venant, possédant, il serait si évident de venir découper la gorge, de voir le sang remplir tout l’espace, de ne plus observer qu’un corps tentant de calmer l’afflux, de rester de ce monde. Tellement facile, trop peut-être. La baguette se retire, le regard ne cesse de détruire, les flammes dansant dans les yeux et pourtant l’homme se force à lui tourner le dos, à s’éloigner, à se diriger vers la sortie. Sur ce point, il ne pouvait lui donner tort. Il est bien Gabriel Potter et il n’a définitivement pas besoin d’elle…
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Message (ϟϟ) Sujet: Re: think i got myself in trouble + gabriel   think i got myself in trouble + gabriel EmptyMer 17 Juin - 23:19


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tw : violence, sexe


Selina a une capacité déconcertante à se délecter des situations les plus improbables. Elle se sentait à sa place entourée d’âmes torturées et volages, de monstres de chair et de sang, d’endroits effrayants et étranges, d’esprits sombres et menaçants. Les mielleux l’écoeuraient, elle cherchait le vice avec application. Comme si son âme à elle, était brisée en mille morceaux par les drôles de choses qu’elle avait pu voir en mission, que les guerres lui avaient apprisent. Elle n’attendait pas d’être jolie et tendre servante dans un foyer insipide. Elle se moquait de passer pour une catin aux yeux de certains, parce qu’elle était une catin digne et fière, emprunte d’un pouvoir dont on ne se satisfait jamais. Des sourires jamais voilés, souvent cachotiers d’idées plus tordus que son visage de poupée pouvait laisser paraître. Fiertée déplacée de son rang, de ses réussites accélérées par des hommes maladroits, certains dont elle n’a même pas eu besoin de lécher quoi que ce soit pour récupérer des biens destinés à autrui, créant la jalousie de son simple regard. Elle s’est toujours battue, pourtant, pour prouver que les manières peu orthodoxes n’étaient pas toujours qu’une affaire d’incompétente. Il fallait ce qu’il fallait pour atteindre ses buts, dans la vie, et Selina était particulièrement douée pour manipuler les esprits, fragiles ou non, des hommes. Les femmes restaient plus coriaces, bien que certaines cédaient à ses oeillades.



Je n’imaginais pas que je te faisais déjà autant d’effet pour que tu puisses avoir le besoin de me marquer. Soit. Je garderais cette trace en collier avec fierté, si c’est cela que tu attends de moi.” Elle n’arrête jamais de le provoquer, même quand il a menacé de la tuer. Instinct protecteur absent, peur de pas assez, toujours, quitte à s'empêtrer dans les pires des situations. Si Gabriel n’était pas habitué à être une proie mais à chasser, il devait s’attendre au pire, elle avait apprit avec l’un des meilleurs dans le domaine. La main qui frotte le cou douloureux, elle tousse un peu par réflexe défensif, et attrape la bouteille, plus de délicatesse et de bienséance, si tant est qu’elle puisse en avoir eu un jour, et avale plusieurs lampées qui donne une toute autre brûlure au creux de sa gorge. L’insupportable qui sourit à nouveau, une fois que sa main a replacé ses cheveux dans un geste distrait, toujours prête à répondre, elle n’abandonnera qu’une fois le corps enfoui sous la terre. Un peu trop opiniâtre pour son bien, elle ne se sépare pas de son air suffisant. Encore une gorgée, elle abandonne la bouteille sur le bord de la table, la trace de son rouge à lèvres sur le goulot.

Puisque tu es si prompt à juger des mes compétences, je verrais avec ton père pour t’accompagner à ta prochaine chasse. Je t’assure que je saurai réagir si tu tentes de me lancer un sort, contrairement à certains de mes subalternes. Je n’ai pas encore eu le temps de les former suffisamment, ça viendra. Mais si tu veux t’adonner à d’autres formes d’amusement, tu sais où me trouver.” Elle mord sa lèvre, déjà dévorée à cette idée, il se sait coincé, qu’Henry pourra l’imposer, et qu’il y a là une occasion dorée de le revoir et de lui imposer sa présence agaçante.

Gabriel ?” Il ralentit à peine à l’entente de son prénom, mais elle sait qu’il entend sa dernière phrase. “A bientôt, je me languis de notre prochaine rencontre.

------------------ RP TERMINE ------------------
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