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 (animation 1 / dans l'univers)

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AuteurMessage
Astoria Black
coalition sorcière
Astoria Black
crédits : alcuna licenza.
face claim : danielle.
pseudo : marie.
(animation 1 / dans l'univers)  1591550339-ezgif-5-693aa069a4fe
études : (les serpents.) serpentard. de 1902 à 1909.
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Message (ϟϟ) Sujet: (animation 1 / dans l'univers)    (animation 1 / dans l'univers)  EmptyVen 8 Mai - 15:57



dans l'univers, y a des milliards de vies,
sur terre, sept milliards d'êtres humains,
peut-être trois milliards de filles mais c'est toi qu'j'veux.


premier baiser qui laisse un goût d’abandon sur les lèvres. quelques secondes plus tôt, et une autre bouche était là, posée sur les lèvres de la gamine. baiser attrapé, sans demander la permission. volé. volé avec joie. comme un secret entre deux gamins paumés. les lèvres encore brûlantes et les joues rouges, indigne du paternel. tu sens le sang monter à tes joues. trop embarrassée pour dire quoi que ce soit, les mots qui se sont perdus dans ta gorge. gamine encore trop jeune pour comprendre. les doigts qui tremblent. le souffle court, la tête qui tourne et les étoiles pleins les yeux. le cœur qui semble vouloir sortir de la cage thoracique : il bat tellement vite, ce n’est pas normal. fantaisies qui deviennent aujourd’hui réalité. les rêves des nuits, les rêves interdis qui se forment devant tes yeux.

pauvre gamine qui croit encore en quelque chose de bien et de vrai. pauvre gamine pas encore bouffée par les idée du paternel. l’âme qui n’est pas encore totalement noircie pas la jalousie et la possessivité. pauvre gamine qui n’est encore que ça, qui croit en la beauté de l’amour réciproque. les doigts qui se perdent sur la peau du black. douceur qui n’est pas caractéristique de la potter. impossible même de chuchoter, de peur de briser le moment. de se réveiller dans le lit, une nouvelle fois perdue dans un rêve fou. princesse qui oublie les conséquences, le fameux fiancé qui attend. princesse qui pose une nouvelle la bouche sur celle du black, dans un espoir fou de pouvoir se perdre dans les bras de celui qui détient le cœur, et qui pourrait le briser d’un seul claquement de doigt.

t'es obsédé par le vide et j'déteste ton mode de vie.
et puis t'as ta part de vices mais c'est toi qu'j'veux.

poupée de cire qui revient bien vite à la réalité. le retour au réel est douloureux, la cage thoracique qui se serre aussitôt. le souffle court à nouveau, mais cette fois ce n’est pas par plaisir. les poings qui se ferment dangereusement, les phalanges qui deviennent blanches. la mâchoire qui menace de se briser face à tant de tension. les yeux bleus qui observent, yeux bleus qui deviennent peu à peu noir face à la colère qui monte doucement. qui va sans doute gronder bientôt. la jalousie qui monte vite, possessivité qui revient alors à la charge. tu le vois le black, avec les autres filles. regard en coin, les mots qui sortent de la bouche pour charmer. même gamine, tu comprends ce qui se passe sous tes yeux. moment d’il y a quelques semaines qui s’est soudainement envolé, remplacé par de la fureur. le verre à la main, la démarche moins confiante, il semble se plaire dans son petit monde de facilité.

un autre serpentard, un peu plus âgé, te proposes un verre. un simple regard et il repart, la tête basse. un sourire satisfait s’étend sur le visage, avant de disparaître aussitôt. fantaisies qui s’étaient alors forgées dans ton esprit après le premier baiser qui disparaissent lentement de l’esprit. la promesse à l’avery revient au galop. princesse qui ne deviendra jamais une black, mais bien une simple avery. le paternel en a décidé ainsi. l’avery semble intéressé, contrairement au black qui se perd dans les étreintes des autres. le cœur qui est douloureux, un peu plus que d’habitude. la réalité qui ne plaît pas, tu voudrais bien l’éviter. pourtant, le myocarde bat pour un seul, et ce ne sera jamais pour le blond.

je sais qu'on serait même pas heureux ensemble.
tu ne m'as laissé que du mal-être et des marques.
on était jeunes, on pensait que s'aimer, c'était se traiter mal.


t’as le souffle court. mais cette fois-ci c’est la colère. princesse se transforme, fini les sourires doucereux. gamine qui pourrait tuer quelqu’un. le regard noir, la rage au coin de l’œil. rire froid, qui pourrait glacer le sang de n’importe qui. princesse qui n’aime pas qu’on se joue d’elle, trop fière pour accepter une telle chose. – oh, you’re sorry ? la voix exempte de compassion. les bras croisés sur la poitrine. furie sur le point d’exploser. la vraie nature de la potter qui ressort finalement, fureur qui ne souhaite que sortir et faire du mal. gamine avide de sang, avide de douleur. mais pas la tienne. aujourd’hui pourtant, c’est bien ce qu’il se passe. – i’ll give you something to be sorry for. tu beugles presque, mais personne ne vient espionner ou calmer, tous trop apeurés pour faire quoi que ce soit. tu en sourirais si c’était n’importe quel jour.
la main qui atterri furieusement sur la joue du black, le bruit qui retenti dans toute la pièce. le black qui s’excuse de se perdre dans les bras des autres, essayant d’oublier la gamine déjà promise à un autre. amour impossible, qu’il dit, les bras pendants. la seule chose à laquelle il a pensé pour passer à autre chose, sans penser à ce que toi tu pouvais ressentir. t’essaies de calmer ta respiration, la fureur qui s’apaise peu à peu après la gifle. violence qui règle tout finalement. tu te rapproches peu à peu, nez à nez. t’as la rage au ventre, t’as qu’une envie c’est lui faire mal aussi. un œil pour un œil, une dent pour une dent. – i could easily give myself to anyone here. won’t you like that, huh ? how would you feel ?

y en a plein mais y en a qu'une c'est toi.


les lèvres qui s’écrasent contre les tiennes, un peu trop violement, un peu trop subitement. gamine pas encore calmée, à peine la tirade terminée. ta main est encore douloureuse, la marque encore présente sur la joue du black. t’as le souffle qui se coupe à nouveau, t’as l’impression de te noyer, de te perdre dans les abysses et bizarrement ça n’est pas mal. tu te ferais engloutir avec joie si c’est pour ressentir ça toute ta vie. t’as le corps brûlant, le cœur qui palpite et cette fois-ci ça te fait du bien. mais tout ça se termine trop vite à ton goût.

antarès s’écarte, les yeux fermés, et pose son front contre le tient. tu vois la marque rouge sur sa joue, et un sourire malsain se forme sur tes lèvres. grand bien lui fasse. – you can’t. qu’il murmure. un murmure à peine audible si t’étais pas aussi concentrée. gamine qui se mord la lèvre inférieure, le goût du black toujours présent. – what ? tu réponds, la voix froide et claire. il ouvre les yeux, le regard noire aussi. t’as un frisson qui te parcours, et tu restes droite et hautaine. gamine qui n’est pas prête de se plier pour le black. – you can’t talk doing that with somebody. somebody who is not me. la jalousie est un vilain défaut, et ça, la princesse le sait pertinemment. tu attrapes une mèche de cheveux d’antarès, la tire violement, petit rictus qui se dessine sur le visage du black. – then you know how i felt watching you with all those girls. stop that or i’ll do the same. les narines de black qui se gonfle face à une telle menace. un sourire en coin se forme sur le visage de la gamine.

on se combat jusqu'à c'qu'on bouffe les pissenlits.

t’as le sens qui bouillonne. la mâchoire serrée, t’as l’impression d’être revenue à poudlard, cette fameuse nuit. cette fois pourtant, t’as le verre à la main. gamine plus âgée, gamine qui a la bague au doigt, prête à se marier dans quelques jours. promise à un autre qu’à l’époque, le paternel qui a finalement cédé aux caprices de la princesse, incapable de dire non à la gamine. et finalement t’aurais peut-être du épouser l’avery. les sentiments qui ne font pas bon ménage avec un mariage qui fonctionne correctement. t’aurais du savoir, avec un père comme le tiens, comment les choses allait évoluer. la jalousie qui aveugle la gamine, incapable de distinguer le vrai du faux. le souffle court et t’as l’impression que c’est devenu ta vie. cette fois c’est la colère qui engendre une telle réaction.

je sais qu'on serait même pas heureux ensemble,
nous sommes de ceux que la rancune sépare.

le black, le futur époux, qui entre dans la pièce, comme si de rien n’était. lui qui s’arrête subitement en voyant ton visage, s’attendant à n’importe quoi. tu bois une gorgée, doucement. – you think i didn’t see you ? tu demandes calmement. tu passes ta langue sur tes lèvres et tu te lèves, face à face avec le promis qui lèvre un sourcil. oh, il veut jouer le stupide. – i’m not an idiot. i’m talking about your stupid obsession with my slave. do you think i’m blind ? le verre qui vole, atterri sur le mur à quelques centimètres du visage du black. tu vois déjà la colère qui gronde, et il ouvre la bouche pour répliquer. – you know what ? don’t say anything. i should have known better and just married cornelius instead.

la réaction qui se fait immédiatement, les yeux qui deviennent noirs et la colère qui fait rage dans les yeux du black. il te plaque contre le mur, princesse bloquée mais qui garde la tête haute. tu reviens plusieurs années plus tôt, l’histoire que se répète à nouveau. – don’t you dare. derrière la fureur t’entends autre chose. il supplie presque, peur d’un gamin de perdre la princesse. tu places une main sur sa joue avant d’ouvrir la bouche. – you are mine. and i am yours. il hoche la tête, les yeux fermés. tu le contrôles, il te contrôle. – i never did anything with her. i swear. et t’aimerais bien le croire, parce qu’il est sincère. et dans des années tu t’en rendras compte. mais t’as l’esprit brumeux, les idées qui se perdent. et tu sais plus quoi penser, qui épouser.

nos cœurs unis par cette danse que ta lumière peut apprendre à mon ombre.
un jour, tu me donneras ton oui et tu prendras mon nom.

t’as le cœur qui palpite et le souffle court, mais c’est fois-ci, c’est à cause de l’anticipation. tu te regardes une dernière fois dans le miroir. on dit que t’es parfait, princesse parfaite avec un parfait futur époux et un parfait mariage. mais t’arrives pas à te calmer, les émotions qui s’entrechoquent. le paternel est là, il attend pour amener sa princesse jusqu’au black. bientôt la princesse ne sera plus une potter mais une black. bientôt tu vas épouser l’homme que tu as aimé toute ta vie. celui qui te fais mal et du bien en même temps, celui que t’arrives pas à oublier. il est là et il t’attend et t’as jamais eu aussi de ta vie. tu t’accroches au paternel comme si ta vie en dépendait. tu vois pas le temps défiler, tout ce qui est dit. on s’adresse à toi, princesse qui est un peu perdue. t’arrives pourtant à sortir deux mots hors de ta bouche. – i do.
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