(animation 1 - on brûlera) it's time to go.

       
        c'est le cœur qui s'emballe c'est l'amour qui trésaille ses longs cheveux d'un brun mordoré qui cascade sur sa nuque dévoilée. beauté incarné dans la douceur d'un feu de cheminée le corps frêle de tout habit laissant les baiser hardie de la reine ayant fait d'elle sa prisonnière. elle passe sa main dans sa chevelure tendresse infime de douceur ne pensant plus à rien seulement à son cœur ayant trouvée le sien. c'est ses bras qui la serrent contre elle son parfum qui l'emprisonne qui l'envoûte encore, pauvre amour volage de n'être que profane. ses lèvres qui trouve les siennes dans un baiser de tendresse le sourire qui peint ses lèvres de sa la salive de la belle. elle la dévore de son regard ne la lâche d'une seconde amoureuse transit de la savoir sienne de la savoir enlacer de ses lèvres. plus rien ne compte en cet instant le monde c'est surement arrêter de vivre quand elle a décidée de l'aimer contre vent et marré. douceur incarné de sa beauté qui l'anime elle ne peut résister à cette douceur qui fait battre frénétiquement son pauvre cœur.
 
      On brûlera toutes les deux
En enfer mon ange  

c'est imparfait de se savoir aimer par un être aussi particulier, femme tendre et enclin à l'aimer à la cajoler pour faire d'elle le bonheur incarné. apaisée oubliant chaque moment de sa douloureuse existence en ses mains elle n'est que fragilité douceur et amour désiré. elle ne peut détacher ses pauvres lèvres des siennes amoureuses transit par ses courbes charnels. elle aime à la regarder dans le coin de la fenêtre le regard déstabilisé par le vent qui fait bouger la marée. elle est insouciante et candide, petite chose qui la rend si faible qu'elle ne peut que la protéger l'entourer de ses bras de ses mains créer pour tuer. elle passe des heures à la regarder à la dévorer de ses yeux intéressés, fantaisie d'aimer une femme aussi belle de se laisser charmer par ses courbes et des mains qui l'entraînent. voguant dans le vent ne réfléchissant plus qu'à leur destin funeste de s'aimer loin des regards et des terribles jugements du monde. elle entoure de ses bras sa taille si frêle son visage qui vient à se percher dans le creux de sa nuque parsemer de tendre baiser. elle ne veut la quitter désirant finir chaque jour à ses côtés. baiser fougueux de n'être que toutes les deux, oubliant le destin, oubliant que l'amour féminin n'est qu'amour incertain. ce n'est que des soupires qui expriment leur peur, préférant cacher leur caprice à la plèbe pleine d'injustice.


c'est comme si l'espoir s'effondre quand ses larmes coulent le long de sa peau blanchâtre elle a les cheveux qui tombent en cascade elle a le souffle qui se rompt dans la peur de son nom. secret qu'elle n'avouera jamais à celle qu'elle aime caresser, dureté de l'amour quand on est pas ce que l'être aimé aurait désiré. elle n'est que foutaise mensonge sang impur qui trône dans ses draps qui l'enlacent à chaque instant lui promettant de l'aimer jusqu'à leur funeste éternité. c'est pourtant le cœur qui tambourine dans sa poitrine de l'aimer comme elle ne l'a jamais fait de ressentir trop de choses pour celle qu'elle devrait détester. ses bras qui ne peuvent la lâcher son regard qui ne cesse de la dévorer elle l'aime profondément intensément cette pauvre enfant qu'elle ne devrait que tuer sous ses griffes acérer...
   
      J'essaie,
Toutes les prières
Tous les vœux
Pour que ça change

c'est les mensonges qui prennent place dans le torrent de leur amour, elle n'arrive plus a pensée à son cœur pur, elle ne voit qu'en elle la trahison éternelle. mais je t'aime ne cesse-t-elle de dire comme pour la convaincre du pire. elle ne peut écouter elle ne peut l'accepter et pourtant chaque instant la ramène dans ses bras dans ses draps l'enlaçant encore le cœur qui bat. elle l'aime follement intensément jalousement de ne pouvoir l'aimer correctement. elles s'embrassent s'enlace encore son corps qui l'appelle qui l'interpelle, beauté tombez du ciel dans ses bras de vipère. elle ne peut se détacher d'elle de son regard de ses étreintes charnel, elle l'aime, c'est le cœur qui bat, ce n'est plus elle, elle n'écoute plus que cette tentation ce besoin extrême de la faire sienne... et pourtant c'est tout un tourbillon de ressentiment qui nait en elle, l'impur l'enlace encore, elle n'est que ce qu'elle doit exterminé elle est sa Némésis, sa tentatrice, car c'est le cœur qui dicte.
       

tout oublier partir loin laisser les dicta dans le dos, arrêter de parler aux dieux, oublier simplement ce qu'elle est aimée, simplement amoureusement l'enlacer chaque jour lui sourire inlassablement l'aimer jusqu'à que le souffle se coupe, battre son cœur à coup de baiser enflammer oublier tout, partir pour ne jamais revenir. n'être plus que l'ombre d'elle, s'oublier dans sa peau dans chaque courbe dénudés, l'aimer à en crever. elle veut encore l'embrasser encore la désirer ressentir en elle cette douceur dingue d'aimer de lui appartenir jusqu'à la fin de sa misérable vie. elle la veut pour elle seule pour qu'elle ne soit plus tentée de fuir pour qu'aucune larme ne vienne à couler le long de son visage de femme fragile. elle l'aime à en crever à s'en déchirer la peau à se briser les os, elle ne veut plus avancer sans tenir sa main entre ses doigts elle veut entendre son souffle tressaillir à son contacte. elle ne veut plus l'oublier elle ne veut plus y penser elle veut l'aimer.
       
        Tu peux écrire tes adieux
À la terre mon ange

c'est le souffle qui vient à se couper alors qu'elle ne veut que l'aimer, dans leurs draps déchiré son corps reste enlacer dans ses bras qui ne peuvent la lâcher. et pourtant c'est le cœur qui tambourine, et c'est l'esprit qui hurle, il faut en finir, malheureuse idylle, elle ne peut plus continuer, elle ne peut plus passer outre sa volonté. elle n'est plus que l'ombre de leur cœur, que le souvenir de ses sourires qu'elle pleure, elle n'est que ce monstre, elle ne veut plus elle ne peut plus... c'est à ses touchés qu'elle bascule car son sang est impur, touché par l'abominable, touché par l'exécrable. le myocarde qui se sert, dégoût qui l'appelle, chantage infime de tenter de l'allonger encore sur le lit. elle capitule encore, et pourtant tout a changé, elle l'aime oh oui elle l'aime et pourtant plus rien n'est pareil. c'est les longs silence qui s'installe, c'est les absences qui se répètent fuyant la vérité de cet amour qu'elle aurait désiré cacher au monde entier. alors elle préfère tout arrêter, que son cœur ne cesse d'exister pour ne plus l'envoûter...


Je t’aimerai encore...