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 (animation 1 - run by daughter) Till we're old and grey

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AuteurMessage
Antarès Black
coalition sorcière
Antarès Black
crédits : @jenesaispas (imageprofil: 0stara)
face claim : Timothée Chalamet
pseudo : Kraeken
(animation 1 - run by daughter) Till we're old and grey Ererffeefefef
études : Les couloirs de Poudlard l'ont vu grandir, la salle commune de Serpentard comme salle du trône. 1901 - 1908
particularité : (EMPOISONNE) Magie sans Baguette, dangereusement silencieux, au sourire meurtrier
(animation 1 - run by daughter) Till we're old and grey Empty
Message (ϟϟ) Sujet: (animation 1 - run by daughter) Till we're old and grey   (animation 1 - run by daughter) Till we're old and grey EmptyMer 6 Mai - 23:19

will you stay with me my love.
I don't know what we're doing, I don't know what we've done. But the fire is coming, so I think we should run.. ]

While I powder my nose, he will powder his gums, & if I try to get close, he is already gone, I don't know where he's going, I don't know where he's been. But he is restless at night, he has horrible dreams.


Le jour n’était pas encore couché, le soleil était timidement caché dans les nuages d’écosse, le lac tremblait doucement, s’écrasant sur les rives de Poudlard, le château en amont pointait ses tours vers le ciel, et un jeune homme, les cheveux bruns tombant presque aux épaules en boucles élégantes, visage d’opale et regard perçant, la cravate légèrement lâche aux couleur vertes et argent,  la cape qui battait légèrement sur l’arrière des jambes. Le gamin marchait doucement vers les portes de Poudlard, roi régnant sur son palais, de quelques soirées qu’il avait de prévu quand la nuit allait tomber, cherchant une raison pour se saouler une nouvelle fois sans craindre le lendemain, s’abandonner encore dans les bras de quelques demoiselles qui trébucherait sur son sourire, le jeu était dangereux, mais il se plaisait a le jour, il se plaisait a faire danser les corps et tourner les têtes, gamin inconscient du danger de ses actes, le nom des Black sur son sourire narquois et son regard froid, sur ce visage parfait au moindre centimètre carré. Il marchait quand tout d’un coup ses pas s’arrêtaient, ses yeux glissant sur un groupe de Serpentards assis dans l’herbe, sur l’une d’entre elles, ce visage qu’il connaissait que trop bien, elle croisait ses yeux, et se levait doucement pour se diriger vers lui, et le cœur battait un peu plus vite, c’était étrange a 16 ans d’avoir ce genre de sentiments, le ventre qui se nouait, et elle avançait, son air joueur son air gamin sur le visage, il la regardait s’approcher, la cousine qui hantait ses nuits plus les jours passaient. Et il se retournait, s’écartant d’elle d’un pas rapide vers la volière, de l’autre côté, il courrait presque, le visage serré, les questions pleins la tête. Les souvenirs des rêves qui s’enchaînaient, et la réalité qu’il ne voulait pas regarder. Alors il l’évitait, depuis quelques jours déjà, il s’envolait quand elle apparaissait. Elle qui n’était que sa cousine aux yeux du monde, pourtant depuis quelques mois, il ne la voyait plus de la même façon, depuis ce jour où ils avaient rit ensemble au manoir des Potter, pour quelques pièges posés pour les plus jeunes des fratries respectives, ou des aînés quand ils se sentaient d’humeur aventureuse. Il s’avançait toujours plus rapide, finissant par courir alors que quelques gouttes commençaient a tomber. Il voulait la semer, qu’elle aille s’abriter sous le château, il arrivait près de la volière, un léger alohomora et la porte s’ouvrait sous les bruits furieux des hiboux ainsi réveillés.

I think we should run, run, run, run.. Run, run, run, run.. Run, run, run, run..

So we lay in the dark, cause we've got nothing to say. Just the beating of hearts, like two drums in the grey. I don't know what we're doing, I don't know what we've done. But the fire is coming, so I think we should run.


Y’avait un sentiment d’interdit dans ses pensées sombres, et son coeur qu’il s’efforçait a fermer à double tour, jetant la clé dans les profondeurs de ce lac qui était devenu sa maison au fil des années passées dans les couloirs froids des cachots où il était roi. Il passait ses mains dans ses cheveux humides, alors que dehors la pluie tombait à grand flots, et derrière lui, la porte qui s’ouvrait à nouveau, il se retournait alors, croisant son regard, ses cheveux tombant trempés sur ses épaules, instinctif, familial, il sortait sa baguette, la pointant sur la demoiselle pour la sécher. « Tu aurais du retourner au château Astoria » Sa voix claquait, froide, comme un éclair dans la tempête qui se présentait, son regard aussi était froid, glacial, alors qu’il dardait ses yeux sur sa cousine, la jeune Potter, deux ans de moins que lui et pourtant son regard a elle était plus mûr, plus sûr, elle avait ce regard qui foudroyait, et le même sourire joueur que lui arborait sans arrêts. Elle avait le même talent pour jouer avec les gens, et ils étaient un duo dangereux quand les familles se regroupaient, pourtant c’était censé s’arrêter là, des jeux d’enfant, des jeux de famille, se mettre les profs et les amis dans la poche en souriant. Mais depuis cet été, il y avait autre choe quand il la regardait, il y avait autre chose quand elle parlait, comme si le soleil avait changé de position, et était maintenant face à lui, éblouissant, aveuglant, brûlant, dangereux, cette chaleur qui risquait de faire fondre la carapace qui se forgeait lentement. Cette faiblesse interdite qu’il n’osait même pas nommer, qu’il n’osait pas décrire. « Et te laisser m’éviter encore combien de temps ? » Il baissait les yeux, la bouche entrouverte sans qu’aucun son ne s’échappe, il n’avait rien a répondre, ne savait plus quoi répondre, lui qui avait toujours une remarque, une pique acerbe a lancer, un crachats a balancer. Il baissait sa baguette, puis tournait le dos à la belle, ses yeux se perdant dans la tempête a venir. « Qu’est-ce qui t’arrives Antarès ? » Elle s’était approché doucement, il pouvait sentir la chaleur de son corps alors qu’elle se tenait encore un peu loin, trop loin. Il restait silencieux encore quelques instants, alors que le bruit de la pluie embrouillait ses tympans et ses pensées, ses idées qui se mélangeait, qui tourbillonnaient sans faire aucun sens, un patchwork d’émotion qu’il n’avait jamais vu, qu’il n’avait jamais senti, il essayait de calmer le flot des idées noires, de se concentrer sur la pluie qui tombait. Et y’avait la main légère qui se posait sur son épaule, lui qui la dépassait d’une tête et quelques centimètres il se retournait doucement vers elle. Et il se piégeait dans ses yeux, dans cet océan violent, dans cet océan bruyant. Et alors ça venait tout seul, c’était presque trop naturel, presque comme si les étoiles cachées par les nuages  le demandaient, réclamaient leur dut, réclamait le prix des nuits où elles avaient brillait sur les deux cousins allongés dans l’herbe, sans se poser de question, sans vraiment savoir pourquoi ils étaient là, et puis il se penchait, rapidement, trop rapidement, et ses lèvres se glissaient sur celles de la jeune fille, et il restait quelques secondes, suspendues dans le temps et le battement des aiguilles. Et elle l’avait rejoint, elle avait répondu, serrant son corps sur le sien, et le secret était scellé, les secondes recommençaient à se balader, et il glissait ses doigts dans les cheveux de la demoiselle, rompant le baiser comme pour reprendre son souffle. Il s’éloignait alors, electrochoc, se rendant compte de ce qu’il s’était passé, son visage se refermait, il tentait de calmer son coeur, et glissait aux côtés pour s’éloigner de la gamine. « Je...Ca n’aurait jamais dû arriver. » Il s’approchait de la porte quand elle saisissait son poignet, le ramenant a elle pour instiguer cette fois le baiser, et les papillons s’envolaient de nouveau dans le ventre de l’adolescent, la chaleur dans la gorge et le rouge grimpant aux joues. « Personne n’a besoin de savoir. »

& I won't tell my mother. It's better she don't know & he won't tell his folks, Cause they're already ghosts. So we'll just keep each other, as safe as we can. Until we reach the border, until we make our plan.


C’était cette nuit là que le secret était né, que le lien s’était créé, alors que la pluie cognait la volière, les deux adolescents s’enlaçaient calmement, sans en demander plus, sans être exigeant, il serrait la demoiselle contre lui. « Pourquoi ? » Il était assis, les genoux remontés, les bras les étreignant, elle avait posé sa tête sur son épaule, comme ils le faisaient toujours, comme a leur habitude. « Parceque c’est ainsi Antarès, c’est tout » sa voix était posée, cassante mais belle, cette symphonie de terreur qui s’accordait a la sienne. C’est ainsi ainsi, et s’était ancré jusque dans ses os que ça n’allait plus changer, il se sentait entier enfin, et son myocarde n’avait cessé de gambader dans sa poitrine de gamin hormoné. Les heures étaient passées, avant qu’il finissent par se diriger vers le château, les mains se lâchant une fois proches de la salle commune, le secret, plus important que tout, il avait simplement murmuré « Tu es mienne » Avant de s’envoler âme rapide brûler les ailes d’autres coqs, rejoignant la valse du monde qui ne s’était pas arrêté, mais il ne voyait qu’elle dans la pièce, sans même avoir besoin de la regarder. Et la foule le noyait, alors qu’il retombait dans ses travers désaxés, mais ce soir pas de demoiselle entre les draps blancs, pas de sourires arrachés à la lune et de soupir étouffés par les rideaux vert et argent. Il n’y avait que le visage de l’autre, qui se perdait dans ses rêves, gravé dans sa mémoire, le picotement des lèvres qui se rappelaient ce premier baiser des amants secrets et tous ceux qui suivraient quand personne ne regarderait, dans cette salle de classe fermée ou ce placard à balai, dans la cabane hurlante ou cachés dans un couloir secret, vérifiant avant de sortir que chaque côté soit dégagé, comme des enfants.


While I put on my shoes, he will button his coat, & we will step outside, checking out the coast is clear on both sides, we don't wanna be seen. Oh, this is suicide.. But you can't see the ropes.

Et les années avaient couru, et lui avait couru avec elles, et il était loin maintenant le temps des 16 ans. Il avait courru avec elle a ses côtés, couru cachés par ce secret qu’ils avaient entretenus, deux amoureux transis entre quatre murs, des héritiers fiers d’une alliance puissante face à la foule. Elle avait joué de ses malices et de ses charmes, convaincu les paternels, alors qu’Antarès avait exposé la nécessité politique de cette décision, parce qu’il savait que les discussion des fiançailles s’intensifiaient, et qu’il ne voulait personne d’autre qu’elle. Ils avaient couru ensemble, ils avaient volé ensemble, sans se brûler les ailes, ils avaient manipulé le monde entier pour cette alliance un peu étrange, deux cousins amoureux, et le monde entier l’ignorait, qu’ils avaient réussi leur coup monté, qu’ils avaient fixé le destin que les étoiles leur avaient envoyés. Et il se redressait sur ce lit aux draps de satin, ils n’étaient plus là les rideaux verts et argentés, et les draps glissaient doucement sur son corps uniquement vêtu d’un sous-vêtement, il posait ses yeux à ses côté, sur le dos légèrement dénudé, sur les cheveux tombant, sur le visage endormi, sur le visage paisible, et son regard se balance, sans vraiment avoir de but, sans vraiment avoir d’idée, vers cette main posée sur son bras, l’alliance brillante sur ses doigts. Ils avaient couru et ils continueraient à courir, jamais séparé, jamais effacé, les amants étaient destinés a errer pour l’éternité, a dominer ce monde oublié. Ils étaient un désormais, et derrière leur porte, le monde avait applaudit l’union des deux familles puissantes, alors que eux, eux étaient comblés, simplement comblés, et il posait doucement des baisers sur le dos de son épouse, glissant ses doigts le long de sa colonne vertébrale, et le nez se glissant dans son cou, humant cette odeur, lui arrachant un sourire malgré le sommeil trop vite arraché. « Je t’aime Astoria Black, pour toujours » et les baisers reprenaient doucement, alors que le murmure s’était envolé sous le rire de l’intéressée, ils étaient perdus ensemble, ils le savaient.

Will you stay with me my love? For another day.. Cause I don't want to be alone, when I'm in this state. Will you stay with me my love? Till we're old and grey. I don't wanna be alone. When these bones decay..

While I powder my nose, he will powder his gums, & if I try to get close, he is already gone, Don't know what we're doing, don't know what we've done. But the fire is coming, so I think we should run.

(c) sweet poison
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